Cosmologie
Re: Cosmologie
Bonjour
Quelques réponses pour ''IL'' :
--->En ce qui concerne ''IL'' il confond 18 milliards d'années d'expansion avec un ''r'' = Ru0 CONSTANT avec la durée de 180 milliards d'années qui serait l'âge TOTAL de l'Univers ---> (~ 18 + 162 ~180). Ici 18 = durée de l'expansion et ~162 durée de la phase STATIQUE de l'Univers DEOUIS qu'il a STOPPE sa dilatation.
--->Évidemment qu'il y a des NEUTRONS dans l'atome d'hélium ! Merci pour l'information ! Heureusement que ''IL'' il est là...
''IL'' pour moi vous êtes toujours dans votre ''POPOTE'' pour au moins 2 raisons :
1-vous défendez un modèle dominant de plus en plus douteux car il ne tient pas compte des dernières observations et
2-vous ne comprenez pas grand chose aux équations du ''NBBF'' et je vous conseil, gentiment, d'approfondir la thermodynamique aux très basses températures dans des laps de temps interactifs extrêmements courts.
Quelques réponses pour ''curieux'' :
Dans la référence citée ''Z'' n'est pas la charge électrique mais le nombre de proton dans l'atome d'hydrogène donc ''Z'' = 1.
Quant aux autres questions merci de patienter (manque de temps)...
Quelques réponses pour ''IL'' :
--->En ce qui concerne ''IL'' il confond 18 milliards d'années d'expansion avec un ''r'' = Ru0 CONSTANT avec la durée de 180 milliards d'années qui serait l'âge TOTAL de l'Univers ---> (~ 18 + 162 ~180). Ici 18 = durée de l'expansion et ~162 durée de la phase STATIQUE de l'Univers DEOUIS qu'il a STOPPE sa dilatation.
--->Évidemment qu'il y a des NEUTRONS dans l'atome d'hélium ! Merci pour l'information ! Heureusement que ''IL'' il est là...
''IL'' pour moi vous êtes toujours dans votre ''POPOTE'' pour au moins 2 raisons :
1-vous défendez un modèle dominant de plus en plus douteux car il ne tient pas compte des dernières observations et
2-vous ne comprenez pas grand chose aux équations du ''NBBF'' et je vous conseil, gentiment, d'approfondir la thermodynamique aux très basses températures dans des laps de temps interactifs extrêmements courts.
Quelques réponses pour ''curieux'' :
Dans la référence citée ''Z'' n'est pas la charge électrique mais le nombre de proton dans l'atome d'hydrogène donc ''Z'' = 1.
Quant aux autres questions merci de patienter (manque de temps)...
Re: Cosmologie
De nouveaux ... Mario échoue à faire preuve de la plus élémentaire logique:
vous dites "r = 1,68.10 ^ 26 m" c'est à dire "r = 17.8 G.a.l." ... pourquoi ? Nul ne le sait ... c'est comme ça pis c'est tout (comme toute vos affirmations)
Ensuite vous dites que l'Univers est vieux de 180 Gans. De là la CMB que nous voyons à 180 Gans environ (à 300 000 ans près).
Comment diable arrivons nous à voir un objet qui se trouve 162.2 Gans plus loin que le rayon maximal de l'Univers ... voilà quelque chose de magique.
Dans l'Univers de Mario, nous ne devrions plus être en mesure de voir le CMB ... hors nous le voyons toujours.
Quelle misère de faire preuve d'autant d'incohérence.
Visiblement le fait que l'hélium contienne des neutrons semblait vous échapper au vu de votre question
.
avec quelque petit truc qui sortes des clou à 2 sigmas, sachant qu'on considère un effet comme significatif à 5 sigmas. C'est votre ignorance et votre lecture partial des études mené qui vous fait rêver du contraire
.
2-Je ne peut pas comprendre quoique ce soit à des équations mythologique que personne n'a jamais vu
. Et dont les seul manifestation sur ce fil sont une règle de 3 et une analogie avec l'atome d'hydrogène ... je comprend surtout que cela ne constitue pas un modèle cosmologique, mais juste l'expression de la frustration d'un homme en pleine crises de l'age adulte
.
. Cela n'en rend pas l'analogie moins foireuse
.
D'ailleurs le sens physique de cette équation implique de considérer la charge du noyau, puisque l'origine des niveau quantifié de l'atome d'hydrogène vient du potentiel EM ! Encore un truc que Marionnette ne maitrise pas
.
Je repose donc ma question ... pourquoi diable le modèle de Mario devrait-il avoir des passe droit pour ne pas avoir à:
-->être cohérent !
-->être en accords avec les observations !
car le modèle de mario ne reproduit aucune observations ... ce dernier n'a jamais pu fournir une seule figure de comparaison data/model ... bref j'ai fait bien plus de test du NBBF en page 11 que lui au cours de ces 20 dernière années ...
Mario comprendra t-il un jour qu'un modèle cosmologique ce n'est pas un catalogue de publication fait par d'autre qu'il interprète de travers afin de pouvoir continuer à réver
.
On attend toujours la publie
.
G>
vous dites "r = 1,68.10 ^ 26 m" c'est à dire "r = 17.8 G.a.l." ... pourquoi ? Nul ne le sait ... c'est comme ça pis c'est tout (comme toute vos affirmations)
Ensuite vous dites que l'Univers est vieux de 180 Gans. De là la CMB que nous voyons à 180 Gans environ (à 300 000 ans près).
Comment diable arrivons nous à voir un objet qui se trouve 162.2 Gans plus loin que le rayon maximal de l'Univers ... voilà quelque chose de magique.
Dans l'Univers de Mario, nous ne devrions plus être en mesure de voir le CMB ... hors nous le voyons toujours.
Quelle misère de faire preuve d'autant d'incohérence.
Visiblement le fait que l'hélium contienne des neutrons semblait vous échapper au vu de votre question

1- Bah non, tout les résultats, pour lesquels on maitrise les biais, montre que ce modèle est conforme aux obs1-vous défendez un modèle dominant de plus en plus douteux car il ne tient pas compte des dernières observations et
2-vous ne comprenez pas grand chose aux équations du ''NBBF'' et je vous conseil, gentiment, d'approfondir la thermodynamique aux très basses températures dans des laps de temps interactifs extrêmements courts.


2-Je ne peut pas comprendre quoique ce soit à des équations mythologique que personne n'a jamais vu


Ce qui correspond à la charge du noyau en unité de charge électronique !!! Misère, il panne vraiment le MarioDans la référence citée ''Z'' n'est pas la charge électrique mais le nombre de proton dans l'atome d'hydrogène donc ''Z'' = 1.


D'ailleurs le sens physique de cette équation implique de considérer la charge du noyau, puisque l'origine des niveau quantifié de l'atome d'hydrogène vient du potentiel EM ! Encore un truc que Marionnette ne maitrise pas

Je repose donc ma question ... pourquoi diable le modèle de Mario devrait-il avoir des passe droit pour ne pas avoir à:
-->être cohérent !
-->être en accords avec les observations !
car le modèle de mario ne reproduit aucune observations ... ce dernier n'a jamais pu fournir une seule figure de comparaison data/model ... bref j'ai fait bien plus de test du NBBF en page 11 que lui au cours de ces 20 dernière années ...
Mario comprendra t-il un jour qu'un modèle cosmologique ce n'est pas un catalogue de publication fait par d'autre qu'il interprète de travers afin de pouvoir continuer à réver

On attend toujours la publie

G>
Psyricien : La moyenne de 4 et 5 ça peut faire 3 ... Comprendra qui pourra !
Re: Cosmologie
Bein non, Z est la charge électrique du proton, du noyau plus précisément, dans le calcul de l'énergie d'ionisation des atomes on se fiche du nombre de neutrons, le nombre de protons ne reflétant ici que la charge totale électrique associée aux protons. Encore une mauvaise réponse de quelqu'un qui ne connait pas plus la chimie quantique que la cosmologie...Cosentino a écrit :Quelques réponses pour ''curieux'' :
Dans la référence citée ''Z'' n'est pas la charge électrique mais le nombre de proton dans l'atome d'hydrogène donc ''Z'' = 1.
Le rapport entre le fonctionnement d'un atome et celui des planètes, des galaxies et donc de l'univers est complétement stupide, la gravitation n'a aucun rapport avec l’électromagnétisme, même si par le passé ils découlent d'une origine commune (ce qui reste à prouver d'ailleurs) en l'état actuel de l'univers ils sont totalement découplés et ne fonctionnent pas de la même manière.
Le rôle de la physique mathématique est de bien poser les questions, ce n'est que l'expérience qui peut les résoudre. [Henri Poincaré]
Re: Cosmologie
En effet l'électromagnétisme a un terme source vectoriel (tenseur d'ordre 1), le 4-courant. Le photon à donc un spin de 1.la gravitation n'a aucun rapport avec l’électromagnétisme, même si par le passé ils découlent d'une origine commune (ce qui reste à prouver d'ailleurs) en l'état actuel de l'univers ils sont totalement découplés et ne fonctionnent pas de la même manière.
En revanche le terme source de la gravitation est un tenseur d'ordre 2. L'hypothétique graviton à donc un spin de 2.
La seule maigre ressemblance entre la gravitation et l'électromagnétisme viens de la masse nulle des bosons vecteurs associés, qui implique:
-->Une porté infini
-->Une intensité qui décroit en r^2
(PS: le gluons est aussi de masse nulle, mais le fait qu'il porte une charge de couleur, fait qu'il est sujet au phénomène de confinement, et donc à une porté fini.)
Petite digression:
La mesure de niveau quantifié d'énergie dans un champs de pesanteur est actuellement en cours de développement http://lpsc.in2p3.fr/index.php/fr/activ ... nce-granit.
Il est cependant bon de préciser que cela N'EST PAS de la gravitation quantique, car ce n'est pas la gravitation qui est quantifié ici, mais seulement les niveaux d'énergie pouvant être pris par le neutron qui rebondi

G>
Psyricien : La moyenne de 4 et 5 ça peut faire 3 ... Comprendra qui pourra !
Re: Cosmologie
En clair ça se résume par le fait que les charges électriques peuvent s'écranter l'une l'autre alors que les masses jamais.Psyricien a écrit :En effet l'électromagnétisme a un terme source vectoriel (tenseur d'ordre 1), le 4-courant. Le photon à donc un spin de 1.
En revanche le terme source de la gravitation est un tenseur d'ordre 2. L'hypothétique graviton à donc un spin de 2.
Ce qui fait que dans un atome, les couches d'électrons écrantent partiellement (ou totalement, vues de loin) la charge du noyau alors que les orbites planétaires se perturbent l'une l'autre avec les difficultés qu'on connait pour calculer les positions des planètes avec précision.
Que les planètes puissent paraitre se trouver à des distances quantifiées n'offre pour autant rien de comparable avec la mécanique quantique applicable aux petits objets, les causes pourraient bien être des résonances mais le mécanisme est complétement différent.
Tous les physiciens savent que le modèle de Bohr n'a qu'un intérêt historique pour décrire les "orbites" électroniques et que la MQ n'a aucun parallèle explicatif dans notre monde macroscopique.
Le rôle de la physique mathématique est de bien poser les questions, ce n'est que l'expérience qui peut les résoudre. [Henri Poincaré]
Re: Cosmologie
Bonjour à tous,
''curieux'' il semble exacte de dire que notre Univers est, ''globalement neutre''.
Mais localement nous savons qu'il en va autrement !
Je le rappelle et je le signe : dans ma dernière référence [1] relation notée (2, page 22) 'Z' n'est pas la charge électrique mais le NOMBRE DE PROTON dans n'importe quel atome ayant un électron (comme l'hydrogène,l'hélium une fois ionisé et le lithium deux fois ionisé).
Revenons à la cosmologie...
Voici quelques références qui devraient nous faire sérieusement réfléchir quant à la connaissance présente et futur de notre Univers.
Il semble de plus en plus évident que le Cosmos nous cache encore bien des MYSTERES REDOUTABLES.
Dans nos équations la seule absence d'un paramètre (par ignorance) pourrait tout faire basculer...n'oublions jamais les révolutions, ou paradigmes, qui ont marquées le cours de l'histoire des sciences. Malgré cela nous savons que la science progresse aussi par ses erreurs !
Dans le contexte actuel de la cosmologie moderne nous ignorons totalement ce qu'est en réalité l' ''ENERGIE SOMBRE'' et la ''MATIERE SOMBRE''. Avec ces 2 paramètres INCONNUS nous IGNORONS quelques 95% de la masse totale de notre Univers ! NOTRE IGNORANCE EST DONC QUANTIFIABLE !
Pour moi est donc très dangereux d'utiliser des phrases AFFIRMATIVES là ou il faut plutôt faire preuve de beaucoup de prudence. Pourquoi ? A l'heure actuelle nous prenons de plus en plus conscience que la cosmologie moderne rencontre de véritable défis ! Donc dans l'intérêt de notre compréhension de l'Univers il est légitime et concevable d'envisager des REMISES EN QUESTION et de bâtir de nouveaux modèles d'Univers afin de se rapprocher de plus en plus de la réalité. Donc soyons et restons vigilent en gardant un esprit ouvert à toutes pistes de recherche novatrices car les ''choses'' vont très vite...
QUELQUES MATIERES A REFLEXION...
I-LA ''FATIGUE DE LA LUMIERE'' EST-ELLE UNE HYPOTHESE A METTRE AUX OUBLIETTES OU CONSTITUE-T-ELLE ENCORE UN PROBLEME OUVERT MENACANT L'INTERPRETATION DU DECALAGE SPECTRAL ''Z'' VERS LE ROUGE?
http://www.bulletins-electroniques.com/ ... /20290.htm
Physique
Les photons exerceraient une friction
http://www.bulletins-electroniques.com/ ... /20290.htm
II-UN UNIVERS ''STATIQUE'' AVEC UNE ''FATIGUE DE LA LUMIERE'' EST-IL POSSIBLE ?
http://arxiv.org/abs/1312.0003
Alcock-Paczynski cosmological test
Authors: Martin Lopez-Corredoira
(Submitted on 28 Nov 2013 (v1), last revised 17 Dec 2013 (this version, v2))
III-LA COSMOLOGIE DE PRECISION EST-ELLE MENACEE ?
http://arxiv.org/abs/1311.1818
The Phantom Menace of Galaxy Clustering: Assembly Bias and the Galaxy-Halo Relationship
Authors: Andrew R. Zentner, Andrew P. Hearin, Frank C. van den Bosch
(Submitted on 7 Nov 2013)
Respectueusement
PS : pour ''IL'' j'ai toujours répondu par des ''contre-arguments''...et souvent fondés sur de nombreuses observations et expériences pertinentes !!! Mais se sont ses croyances...
''curieux'' il semble exacte de dire que notre Univers est, ''globalement neutre''.
Mais localement nous savons qu'il en va autrement !
Je le rappelle et je le signe : dans ma dernière référence [1] relation notée (2, page 22) 'Z' n'est pas la charge électrique mais le NOMBRE DE PROTON dans n'importe quel atome ayant un électron (comme l'hydrogène,l'hélium une fois ionisé et le lithium deux fois ionisé).
Revenons à la cosmologie...
Voici quelques références qui devraient nous faire sérieusement réfléchir quant à la connaissance présente et futur de notre Univers.
Il semble de plus en plus évident que le Cosmos nous cache encore bien des MYSTERES REDOUTABLES.
Dans nos équations la seule absence d'un paramètre (par ignorance) pourrait tout faire basculer...n'oublions jamais les révolutions, ou paradigmes, qui ont marquées le cours de l'histoire des sciences. Malgré cela nous savons que la science progresse aussi par ses erreurs !
Dans le contexte actuel de la cosmologie moderne nous ignorons totalement ce qu'est en réalité l' ''ENERGIE SOMBRE'' et la ''MATIERE SOMBRE''. Avec ces 2 paramètres INCONNUS nous IGNORONS quelques 95% de la masse totale de notre Univers ! NOTRE IGNORANCE EST DONC QUANTIFIABLE !
Pour moi est donc très dangereux d'utiliser des phrases AFFIRMATIVES là ou il faut plutôt faire preuve de beaucoup de prudence. Pourquoi ? A l'heure actuelle nous prenons de plus en plus conscience que la cosmologie moderne rencontre de véritable défis ! Donc dans l'intérêt de notre compréhension de l'Univers il est légitime et concevable d'envisager des REMISES EN QUESTION et de bâtir de nouveaux modèles d'Univers afin de se rapprocher de plus en plus de la réalité. Donc soyons et restons vigilent en gardant un esprit ouvert à toutes pistes de recherche novatrices car les ''choses'' vont très vite...
QUELQUES MATIERES A REFLEXION...
I-LA ''FATIGUE DE LA LUMIERE'' EST-ELLE UNE HYPOTHESE A METTRE AUX OUBLIETTES OU CONSTITUE-T-ELLE ENCORE UN PROBLEME OUVERT MENACANT L'INTERPRETATION DU DECALAGE SPECTRAL ''Z'' VERS LE ROUGE?
http://www.bulletins-electroniques.com/ ... /20290.htm
Physique
Les photons exerceraient une friction
http://www.bulletins-electroniques.com/ ... /20290.htm
II-UN UNIVERS ''STATIQUE'' AVEC UNE ''FATIGUE DE LA LUMIERE'' EST-IL POSSIBLE ?
http://arxiv.org/abs/1312.0003
Alcock-Paczynski cosmological test
Authors: Martin Lopez-Corredoira
(Submitted on 28 Nov 2013 (v1), last revised 17 Dec 2013 (this version, v2))
III-LA COSMOLOGIE DE PRECISION EST-ELLE MENACEE ?
http://arxiv.org/abs/1311.1818
The Phantom Menace of Galaxy Clustering: Assembly Bias and the Galaxy-Halo Relationship
Authors: Andrew R. Zentner, Andrew P. Hearin, Frank C. van den Bosch
(Submitted on 7 Nov 2013)
Respectueusement
PS : pour ''IL'' j'ai toujours répondu par des ''contre-arguments''...et souvent fondés sur de nombreuses observations et expériences pertinentes !!! Mais se sont ses croyances...
Re: Cosmologie
Prenons la première phrase de l'intro de cette publie (http://arxiv.org/abs/1303.5090), signée par la collaboration Planck (the largest collaboration to date in cosmology ... qui sera battu en nombre par la futur collaboration EUCLIDMoi, le seul, l'unique a écrit :Je repose donc ma question ... pourquoi diable le modèle de Mario devrait-il avoir des passe droit pour ne pas avoir à:
-->être cohérent !
-->être en accords avec les observations !
car le modèle de mario ne reproduit aucune observations ... ce dernier n'a jamais pu fournir une seule figure de comparaison data/model ... bref j'ai fait bien plus de test du NBBF en page 11 que lui au cours de ces 20 dernière années ...
Mario comprendra t-il un jour qu'un modèle cosmologique ce n'est pas un catalogue de publication fait par d'autre qu'il interprète de travers afin de pouvoir continuer à réver.
On attend toujours la publie.
G>

Mario peut-il nous nous dire où il voit ici que le modèle standard don't work ? En fait non, la plus grosse collaboration dans le domaine de la cosmologie de précision state clearly que le modèle standard marche et reproduit toutes les data à notre dispositionToday we have a cosmological model that appears to fit all available data.

Pourquoi dès lors, la Marionnette continue t-elle de nous parler d'observables pour lesquelles no bias are under control (i.e. la formation des galaxies) ?
Voilà la VRAIE question.
It's look like an old guy, qui n'arrive pas à lire son journal, et préfère en inventer le contenu plutôt que de mettre ces lunettes ... hilarant

G>
PS: dsl pour l'éventuel excès de fautessss, repas de noël oblige

Psyricien : La moyenne de 4 et 5 ça peut faire 3 ... Comprendra qui pourra !
Re: Cosmologie
Bonjour MarioCosentino a écrit :Bonjour à tous,
''curieux'' il semble exacte de dire que notre Univers est, ''globalement neutre''.
Mais localement nous savons qu'il en va autrement !
Je le rappelle et je le signe : dans ma dernière référence [1] relation notée (2, page 22) 'Z' n'est pas la charge électrique mais le NOMBRE DE PROTON dans n'importe quel atome ayant un électron (comme l'hydrogène,l'hélium une fois ionisé et le lithium deux fois ionisé).
celle là je ne l'attendais pas mais tu fournis encore le bâton pour te battre.
Si Z était une figure du nombre de protons alors quelle explication peut-on trouver au fait que l'hélium ionisé une fois et le lithium ionisé deux fois n'ont pas un rayon atomique égal au rayon de Bohr ?
Rayon de H = Ao (-13.6 eV)
Rayon ionique de He+ = 0.5 Ao (-54.4 eV)
Rayon ionique de Li++ = 0.33 Ao (-122.45 eV)
Ton explication c'est de la poudre aux yeux, quand on extrait un électron de l'atome d'hélium il reste toujours deux protons dans le noyau et idem, trois protons dans le noyau de lithium.
Manifestement, tu n'as jamais pris le temps de vérifier l'incohérence d'une "théorie" basée sur ce genre de relation, les réponses que tu apportent montrent bien que tu les donnent au fil de l'eau.
La science ce n'est pas l'art et la manière de manier les formules(ça c'est à la portée de n'importe quel collégien curieux), c'est savoir faire des relations entre les faits et comprendre quand et où ils sont reliés.
Conclusion, ta référence au rayon de Bohr comparée au rayon de l'univers c'est de la numérologie, pas de la science et tu signes l’arrêt de mort de ta prétendue révolution.
Le rôle de la physique mathématique est de bien poser les questions, ce n'est que l'expérience qui peut les résoudre. [Henri Poincaré]
Re: Cosmologie
Bonsoir à tous
Décidément je constate, une fois de plus, une incompréhension totale d'une équation qui au fond est très simple !
Avez-vous lu ma référence [1] numérotée (2) page 22 dans ce forum ???...
''Curieux'' on ne détruit pas un travail de recherche comme le ''NBBF'' aussi facilement !!!
Prochainement j'aurai le plaisir de développer d'avantage cette relation où ''Z'' est bien le NOMBRE DE PROTON !
Ainsi pour l'hydrogène
''Z'' = 1 correspondant à 1 proton
pour l'hélium une fois ionisé
''Z'' = 2 correspondant à 2 protons
pour le lithium 2 fois ionisé
''Z'' = 3 correspondant à 3 protons
A bientôt...
Décidément je constate, une fois de plus, une incompréhension totale d'une équation qui au fond est très simple !
Avez-vous lu ma référence [1] numérotée (2) page 22 dans ce forum ???...
''Curieux'' on ne détruit pas un travail de recherche comme le ''NBBF'' aussi facilement !!!
Prochainement j'aurai le plaisir de développer d'avantage cette relation où ''Z'' est bien le NOMBRE DE PROTON !
Ainsi pour l'hydrogène
''Z'' = 1 correspondant à 1 proton
pour l'hélium une fois ionisé
''Z'' = 2 correspondant à 2 protons
pour le lithium 2 fois ionisé
''Z'' = 3 correspondant à 3 protons
A bientôt...
Re: Cosmologie
Bah ... on ne peut pas détruire ce qui n'existe pas voyons
.
Et sans publie peer-reviewed ... ton modèle n'existe pas, cela fait juste 20 ans que tu prétend qu'il existe.
Mais les seul équations que tu as produit c'est:
-->Un trip numérologique qui ne marche même pas (la température du CMB)
.
-->Une règle de 3 basé sur le modèle standard de la cosmo
.
-->Une analogie entre l'Univers et un atome d'hydrogène.
C'est pour le moins anorexique ...
Mario comprendra t-il un jour que faire une listes d'observations qu'il ne comprend pas et interprète de travers, ce n'est ni un modèle scientifique, ni une critique pertinente (du fait des nombreux biais qu'il néglige).
Misère, c'est de pire en pire ... et il n'explique toujours pas pourquoi sont analogie sortie de derrière les fagots entre l'Univers et un atome d'hydrogène serait pertinente ?
-->L'Univers est globalement neutre
-->La gravitation n'a pas le même comportement que la force EM (qui produit le potentiel induisant la quantification des niveaux d'énergie de l'électron pour l'atome d'hydrogène)
-->Le rapport entre les niveaux d'énergie d'un électron dans un potentiel, et la taille de l'Univers ?
Bref on dirait, un petit collégiens qui découvre la vie et cherche à faire des analogie entre tout et n'importe quoi sans:
-->chercher si c'est pertinent (il serait bon de la démontrer en premier lieu
avant de prétendre avoir un quelconque modèle)
-->chercher si c'est conforme aux fait (0 figures de comparaison faits/délires de Mario en 20 ans
)
Qu'est-ce qu'on se marre sur ce fil.
En attendant, entre le vision de la science par Mario et les propos de la collaboration Planck (voir plus haut) ... je vous laisse deviné qui donne:
-->un opinion de la communauté scientifique
-->une interprétation biaisé de textes qu'il ne comprend pas
L'association n'est pas bien dure à faire
.
En attendant nous on fait de la science, on publie et on améliore/développe des modèles qui eux existent et sont sans cesse comparé aux faits !
Et en 20 ans il s'en est passé des choses ... bizarrement la marionnette elle n'a rien fait en 20 ans ...
G>

Et sans publie peer-reviewed ... ton modèle n'existe pas, cela fait juste 20 ans que tu prétend qu'il existe.
Mais les seul équations que tu as produit c'est:
-->Un trip numérologique qui ne marche même pas (la température du CMB)

-->Une règle de 3 basé sur le modèle standard de la cosmo

-->Une analogie entre l'Univers et un atome d'hydrogène.

C'est pour le moins anorexique ...
Mario comprendra t-il un jour que faire une listes d'observations qu'il ne comprend pas et interprète de travers, ce n'est ni un modèle scientifique, ni une critique pertinente (du fait des nombreux biais qu'il néglige).
Misère, c'est de pire en pire ... et il n'explique toujours pas pourquoi sont analogie sortie de derrière les fagots entre l'Univers et un atome d'hydrogène serait pertinente ?
-->L'Univers est globalement neutre
-->La gravitation n'a pas le même comportement que la force EM (qui produit le potentiel induisant la quantification des niveaux d'énergie de l'électron pour l'atome d'hydrogène)
-->Le rapport entre les niveaux d'énergie d'un électron dans un potentiel, et la taille de l'Univers ?
Bref on dirait, un petit collégiens qui découvre la vie et cherche à faire des analogie entre tout et n'importe quoi sans:
-->chercher si c'est pertinent (il serait bon de la démontrer en premier lieu

-->chercher si c'est conforme aux fait (0 figures de comparaison faits/délires de Mario en 20 ans

Qu'est-ce qu'on se marre sur ce fil.
En attendant, entre le vision de la science par Mario et les propos de la collaboration Planck (voir plus haut) ... je vous laisse deviné qui donne:
-->un opinion de la communauté scientifique
-->une interprétation biaisé de textes qu'il ne comprend pas
L'association n'est pas bien dure à faire

En attendant nous on fait de la science, on publie et on améliore/développe des modèles qui eux existent et sont sans cesse comparé aux faits !
Et en 20 ans il s'en est passé des choses ... bizarrement la marionnette elle n'a rien fait en 20 ans ...
G>
Psyricien : La moyenne de 4 et 5 ça peut faire 3 ... Comprendra qui pourra !
Re: Cosmologie
Bonjour,
Comme promis voici un approfondissement avec une écriture plus simplifiée de la relation qui est le sujet de notre discussion.
Cette relation s'écrit :
r1 = n1 ^2 a0/ Z
Nous savons que dans le modèle de l' ATOME DE BOHR Z = 1 (atome d'hydrogène ayant 1 électron et 1 proton - donc ---> Z = 1)
ainsi nous avons pour le calcul de r1
r1 = n1 ^2 a0
donc pour le calcul de n1
n1 = (r1 / a0 ) ^0,5
avec
n = nombre quantique principal = 1, 2, 3, … en fonction des « orbitales quantifiées électroniques ». Les électrons peuvent occupés uniquement que ces « orbitales ». Dans l'image d'une distribution classique TOUTES les valeur de r sont permises (ESPACE EN CONTINUUM).. Alors que la mécanique CLASSIQUE prédit que tous les rayons r, à partir du noyau, sont acceptés il n'en va pas de même dans la mécanique QUANTIQUE où nous avons à faire à d'une distribution dite quantifiée comme l'atome de Bohr.
Rappelons, au passage, que
« Le résultat de Bohr est en bon accord avec les résultats expérimentaux se rapportant à N'IMPORTE QUEL atome à un électron, (...) » ...[1]page 628.---C'est moi qui souligne.
Continuons nos explications
a0 = rayon de Boht
Z = NOMBRE DE PROTON
En ce qui concerne la signification de Z voici ce que nous lisons dans la référence [1] citée page 22 de ce forum (S.V.P. ''curieux'' et ''IL'' faites en une bonne lecture en ouvrant bien vos yeux) :
« Considérons un atome qui se compose d'un noyau de dimension faible et de masse élevée et contenant Z PROTONS, et d'un électron qui se trouve sur une orbite circulaire de rayon r centrée sur le noyau. »...page 625.---C'est moi qui souligne.
Concernant Z voici une autre référence plus récente [2] :
«(...), et Z le NOMBRE DE PROTONS dans le noyau. » ...page 75.---C'est moi qui souligne.
''PRINCIPE DE CORRESPONDANCE'' (''PC'') , ''NOMBRE QUANTIQUE PRINCIPAL DE L'UNIVERS'' (''NQPU'') , ''EXPANSION QUANTIFIEE'' (''EQ'') DANS UN ESPACE-TEMPS EN ''QUASI-CONTINUUM'' (''QC'') , UNIVERS AVEC UN BIG-BANG FRACTAL (''NBBF'') STOPPANT SON EXPANSION
1--->LE ''PRINCIPE DE CORRESPONDACE'' ( ''PC'')
Historiquement le ''PC'' , fut introduit par Bohr en 1920.
Ce ''PC'' peut se traduire ainsi
« PC ») => nh >> h
L'approximation du ''PC'' est très fructueux lorsqu'on traite la quantification des états de Rydberg, où nous pouvons avoir un n environ à 50 ou supérieur.
2--->LE ''NOMBRE QUANTIQUE PRINCIPAL DE L'UNIVERS'' (NQPU'')
Par l' utilisation du ''PC'' il est possible, par une simple extrapolation, de donner un ''NOMBRE QUANTIQUE PRINCIPAL'' (''NQPU'') à notre Univers. Ce nombre qui va être utilisé pour comprendre comment pourrait se dérouler une EXPANSION QUANTIQUEE (''EQ'') du Cosmos au cours de sa DILATATION d'une durée de 18 milliards d'années.
Donc au cours de l' ''EQ'' nous avons pour le calcul nU de l'Univers l'expression
nU = (rU / a0 ) ^0,5
Par contre lorsque le Cosmos STOPPE son expansion nU devient nU0. Dans ce cas la relation précédente devient
nU0 = (rU0 / a0) ^0,5
nU0 = ''Nombre Quantique Principal de l'Univers'' (''NQPU0'') lorsqu'il STOPPE son expansion = 1,78.10 ^18.
Avec ces relations il n'est pas difficile d'obtenir la valeur du rayon de courbure ''rU0''de l'Univers lorsque ce dernier STOPPE son expansion. Ce rayon de courbure rU0 = 1,68.10 ^26 m. Cette valeur se justifie par une cohérence interne qui existe entre la constante de structure fine α et, bien évidemment, avec le reste des équations du ''NBBF'' .
3--->UNE ''EXPANSION QUANTIFIEE (''EQ'') ABOUTISSANT A UN ''QUASI-CONTINUUM (''QC'') QUI SE TREMINE AVEC UNE DIMENSION FRACTALE ''D''
Le calcul nous montre que plus nous approchons de la fin des 18 milliards d'années ''EQ''plus nU augmente et plus nous constatons que le ''PC'' nous donne un espace-temps en ''QUASI-CONTINUUM'' (''QC'') . Si l'on combine une ''EXPANSION QUANTIFIEE (''EQ'') donnant un espace-temps en ''QC'' avec l'hypothèse d'un Univers qui serait devenu globalement FRACTAL (avec une dimension fractale ''D'' = 2,726 8...ou ''éponge de MENGER'' ) alors une première approche explicative semble justifier pourquoi après cette durée de 18 milliards d'années d' ''EQ'' l'Univers STOPPE sa dilatation. En effet, dans une ''EQ'' l'espace entre une « orbitale» et la « suivante » tend vers 0 (ainsi que l'énergie) au fur et à mesure des « SAUTS QUANTIFIEES ».
NB :Dans certaines expériences menées à l' École Polytechnique (France) on constate que des « frontières fractales » peuvent STOPPER certains phénomènes. Par exemple nous savons que des structures à dimensions fractales peuvent ainsi STOPPER des phénomènes chimique (comme la corrosion), mécanique (comme l'absorption du son ou isolation sonore ),etc.
UNE EXTRAPOLATION QUI N'EST PAS INTERDITE
Une extrapolation du ''PC'' utilisé et appliqué dans le cadre du modèle cosmologique du ''NBBF'' nous donne un moyen d'obtenir une équation qui régit une ''EQ'' aboutissant à un espace en ''QC'' et enfin se terminant par un Univers ayant une géométrie globale à dimension fractale ''D'' qui STOPPE son expansion.
Il n'est pas interdit d'appliquer la mécanique de l'atome d'hydrogène (avec Z = 1) à un Big Bang donnant naissance à une sorte de « SINGULARITE » avec une sorte d'« ATOME PRIMITIF » (de Georges Lemaître) et de voir où cette extrapolation nous conduit. Nous savons que dans l'histoire des sciences il est courant de faire, d'utiliser des extrapolations.
Ce qui est intéressant c'est qu'avec le « PC »
''(…), on retrouve un QUASI-CONTINUM pour l'énergie ainsi que le concept classique de « trajectoire » de l'électron autour du proton (cf. Leçon 17).''...page 84. ---C'est moi qui souligne.
Ainsi avec une simple extrapolation judicieuse du ''PC'', faite dans le cadre du ''NBBF'' , on retrouve aussi un ''QUASI-CONTINUM'' dans l' EXPANSION QUANTIFIEE de notre Univers au cours des 18 milliards d'années de DILATATION QUANTIQUE...
CONCLUSION
Après cette présentation de ce petit cours de physique ou de mécanique quantique ''curieux'' et ''IL'' faites nous connaître S.V.P., dans ce forum, votre point de vue concernant la signification de Z dans ce contexte qu'est l' ATOME DE BOHR???
Bien sur qu'il existe des équation où la charge électrique on la fait apparaître. Mais, dans un souci de simplification il est possible de la faire disparaître.
Alors ''curieux'' et ''IL'' dans l'équation (attention : PAS UNE AUTRE !) utilisée dans ce contexte le paramètre Z est-il la charge électrique OU le NOMBRE DE PROTON ???
Sur ce coup là je fait appel à votre humilité et à votre modestie...
Par contre si vous contournez ma très simple question (par une autre équation) il est inutile de poursuivre la discussion sur ce sujet. Dans hypothèse d'un ''silence tombal'' je vous laisse au « PAPOTAGE » de votre « POPOTE » !
Maintenant que vous l'hypothèse du ''NBBF'' vous l'acceptez ou non c'est votre point de vue et je le respecte !
En ce qui me concerne j'ai assez montré, dans ce forum, par de très nombreuses observations qu'il y a quelque CHOSE de grave, de PATHOLOGIQUE qui ''CLOCHE'' dans le modèle dominant expansionniste...alors pour sauver le « modèle » on ajoute des hypothèses sur des hypothèses à la PTOLEMEE...
Respectueusement
Références
[1] PHYSIQUE : Joseph Kane et Morton Sternheim, InterEditions, Paris, 1986, pp. 624 à 630.
[2] Quantique fondements et applications : José-Philippe Pérez, Robert Carles et Olivier Pujol, De Boeck, septembre 2013, pp. 70 à 84.
Comme promis voici un approfondissement avec une écriture plus simplifiée de la relation qui est le sujet de notre discussion.
Cette relation s'écrit :
r1 = n1 ^2 a0/ Z
Nous savons que dans le modèle de l' ATOME DE BOHR Z = 1 (atome d'hydrogène ayant 1 électron et 1 proton - donc ---> Z = 1)
ainsi nous avons pour le calcul de r1
r1 = n1 ^2 a0
donc pour le calcul de n1
n1 = (r1 / a0 ) ^0,5
avec
n = nombre quantique principal = 1, 2, 3, … en fonction des « orbitales quantifiées électroniques ». Les électrons peuvent occupés uniquement que ces « orbitales ». Dans l'image d'une distribution classique TOUTES les valeur de r sont permises (ESPACE EN CONTINUUM).. Alors que la mécanique CLASSIQUE prédit que tous les rayons r, à partir du noyau, sont acceptés il n'en va pas de même dans la mécanique QUANTIQUE où nous avons à faire à d'une distribution dite quantifiée comme l'atome de Bohr.
Rappelons, au passage, que
« Le résultat de Bohr est en bon accord avec les résultats expérimentaux se rapportant à N'IMPORTE QUEL atome à un électron, (...) » ...[1]page 628.---C'est moi qui souligne.
Continuons nos explications
a0 = rayon de Boht
Z = NOMBRE DE PROTON
En ce qui concerne la signification de Z voici ce que nous lisons dans la référence [1] citée page 22 de ce forum (S.V.P. ''curieux'' et ''IL'' faites en une bonne lecture en ouvrant bien vos yeux) :
« Considérons un atome qui se compose d'un noyau de dimension faible et de masse élevée et contenant Z PROTONS, et d'un électron qui se trouve sur une orbite circulaire de rayon r centrée sur le noyau. »...page 625.---C'est moi qui souligne.
Concernant Z voici une autre référence plus récente [2] :
«(...), et Z le NOMBRE DE PROTONS dans le noyau. » ...page 75.---C'est moi qui souligne.
''PRINCIPE DE CORRESPONDANCE'' (''PC'') , ''NOMBRE QUANTIQUE PRINCIPAL DE L'UNIVERS'' (''NQPU'') , ''EXPANSION QUANTIFIEE'' (''EQ'') DANS UN ESPACE-TEMPS EN ''QUASI-CONTINUUM'' (''QC'') , UNIVERS AVEC UN BIG-BANG FRACTAL (''NBBF'') STOPPANT SON EXPANSION
1--->LE ''PRINCIPE DE CORRESPONDACE'' ( ''PC'')
Historiquement le ''PC'' , fut introduit par Bohr en 1920.
Ce ''PC'' peut se traduire ainsi
« PC ») => nh >> h
L'approximation du ''PC'' est très fructueux lorsqu'on traite la quantification des états de Rydberg, où nous pouvons avoir un n environ à 50 ou supérieur.
2--->LE ''NOMBRE QUANTIQUE PRINCIPAL DE L'UNIVERS'' (NQPU'')
Par l' utilisation du ''PC'' il est possible, par une simple extrapolation, de donner un ''NOMBRE QUANTIQUE PRINCIPAL'' (''NQPU'') à notre Univers. Ce nombre qui va être utilisé pour comprendre comment pourrait se dérouler une EXPANSION QUANTIQUEE (''EQ'') du Cosmos au cours de sa DILATATION d'une durée de 18 milliards d'années.
Donc au cours de l' ''EQ'' nous avons pour le calcul nU de l'Univers l'expression
nU = (rU / a0 ) ^0,5
Par contre lorsque le Cosmos STOPPE son expansion nU devient nU0. Dans ce cas la relation précédente devient
nU0 = (rU0 / a0) ^0,5
nU0 = ''Nombre Quantique Principal de l'Univers'' (''NQPU0'') lorsqu'il STOPPE son expansion = 1,78.10 ^18.
Avec ces relations il n'est pas difficile d'obtenir la valeur du rayon de courbure ''rU0''de l'Univers lorsque ce dernier STOPPE son expansion. Ce rayon de courbure rU0 = 1,68.10 ^26 m. Cette valeur se justifie par une cohérence interne qui existe entre la constante de structure fine α et, bien évidemment, avec le reste des équations du ''NBBF'' .
3--->UNE ''EXPANSION QUANTIFIEE (''EQ'') ABOUTISSANT A UN ''QUASI-CONTINUUM (''QC'') QUI SE TREMINE AVEC UNE DIMENSION FRACTALE ''D''
Le calcul nous montre que plus nous approchons de la fin des 18 milliards d'années ''EQ''plus nU augmente et plus nous constatons que le ''PC'' nous donne un espace-temps en ''QUASI-CONTINUUM'' (''QC'') . Si l'on combine une ''EXPANSION QUANTIFIEE (''EQ'') donnant un espace-temps en ''QC'' avec l'hypothèse d'un Univers qui serait devenu globalement FRACTAL (avec une dimension fractale ''D'' = 2,726 8...ou ''éponge de MENGER'' ) alors une première approche explicative semble justifier pourquoi après cette durée de 18 milliards d'années d' ''EQ'' l'Univers STOPPE sa dilatation. En effet, dans une ''EQ'' l'espace entre une « orbitale» et la « suivante » tend vers 0 (ainsi que l'énergie) au fur et à mesure des « SAUTS QUANTIFIEES ».
NB :Dans certaines expériences menées à l' École Polytechnique (France) on constate que des « frontières fractales » peuvent STOPPER certains phénomènes. Par exemple nous savons que des structures à dimensions fractales peuvent ainsi STOPPER des phénomènes chimique (comme la corrosion), mécanique (comme l'absorption du son ou isolation sonore ),etc.
UNE EXTRAPOLATION QUI N'EST PAS INTERDITE
Une extrapolation du ''PC'' utilisé et appliqué dans le cadre du modèle cosmologique du ''NBBF'' nous donne un moyen d'obtenir une équation qui régit une ''EQ'' aboutissant à un espace en ''QC'' et enfin se terminant par un Univers ayant une géométrie globale à dimension fractale ''D'' qui STOPPE son expansion.
Il n'est pas interdit d'appliquer la mécanique de l'atome d'hydrogène (avec Z = 1) à un Big Bang donnant naissance à une sorte de « SINGULARITE » avec une sorte d'« ATOME PRIMITIF » (de Georges Lemaître) et de voir où cette extrapolation nous conduit. Nous savons que dans l'histoire des sciences il est courant de faire, d'utiliser des extrapolations.
Ce qui est intéressant c'est qu'avec le « PC »
''(…), on retrouve un QUASI-CONTINUM pour l'énergie ainsi que le concept classique de « trajectoire » de l'électron autour du proton (cf. Leçon 17).''...page 84. ---C'est moi qui souligne.
Ainsi avec une simple extrapolation judicieuse du ''PC'', faite dans le cadre du ''NBBF'' , on retrouve aussi un ''QUASI-CONTINUM'' dans l' EXPANSION QUANTIFIEE de notre Univers au cours des 18 milliards d'années de DILATATION QUANTIQUE...
CONCLUSION
Après cette présentation de ce petit cours de physique ou de mécanique quantique ''curieux'' et ''IL'' faites nous connaître S.V.P., dans ce forum, votre point de vue concernant la signification de Z dans ce contexte qu'est l' ATOME DE BOHR???
Bien sur qu'il existe des équation où la charge électrique on la fait apparaître. Mais, dans un souci de simplification il est possible de la faire disparaître.
Alors ''curieux'' et ''IL'' dans l'équation (attention : PAS UNE AUTRE !) utilisée dans ce contexte le paramètre Z est-il la charge électrique OU le NOMBRE DE PROTON ???
Sur ce coup là je fait appel à votre humilité et à votre modestie...
Par contre si vous contournez ma très simple question (par une autre équation) il est inutile de poursuivre la discussion sur ce sujet. Dans hypothèse d'un ''silence tombal'' je vous laisse au « PAPOTAGE » de votre « POPOTE » !
Maintenant que vous l'hypothèse du ''NBBF'' vous l'acceptez ou non c'est votre point de vue et je le respecte !
En ce qui me concerne j'ai assez montré, dans ce forum, par de très nombreuses observations qu'il y a quelque CHOSE de grave, de PATHOLOGIQUE qui ''CLOCHE'' dans le modèle dominant expansionniste...alors pour sauver le « modèle » on ajoute des hypothèses sur des hypothèses à la PTOLEMEE...
Respectueusement
Références
[1] PHYSIQUE : Joseph Kane et Morton Sternheim, InterEditions, Paris, 1986, pp. 624 à 630.
[2] Quantique fondements et applications : José-Philippe Pérez, Robert Carles et Olivier Pujol, De Boeck, septembre 2013, pp. 70 à 84.
Re: Cosmologie
Re bonjour,
Prochainement je reviendrai sur la Tcmb...
A bientôt...
NB: "PAS DE MORT THERMIQUE POUR NOTRE UNIVERS"
Prochainement je reviendrai sur la Tcmb...
A bientôt...
NB: "PAS DE MORT THERMIQUE POUR NOTRE UNIVERS"
Re: Cosmologie
Mario, se répéter en boucle ne rend tes propos moins absurdes est incohérents avec les faits.
Comme démontré dans deux publies récentes, Tcmb varie avec le redshift.
Tu prétends le contraire !
Et entre les faits et la Marionnette, les faits (Tcmb, le spectre de puissance du CMB, la distance duality relation, la thermodynamique ...) gagnent
.
C'est fou d'être dans un tel déni de réalité
.
Pourquoi diantre Mario refuse t-il la comparaison aux faits ? 20 ans et 0 comparaison ça ne fait pas sérieux
. Cette bonne veille page 11, ce qu'elle peut faire mal à la Marionnette, qui évite plus que tout de revenir sur tout ces propos INVALIDES par les FAITS
.
Alors cette publie elle arrive ... 20 ans de préparation, ça doit être ENORME
G>, qui adore voir un zozo en pleine fuite en avant dans son déni de réalité ... c'est tellement marrant à observer
.
Comme démontré dans deux publies récentes, Tcmb varie avec le redshift.
Tu prétends le contraire !
Et entre les faits et la Marionnette, les faits (Tcmb, le spectre de puissance du CMB, la distance duality relation, la thermodynamique ...) gagnent

C'est fou d'être dans un tel déni de réalité

Pourquoi diantre Mario refuse t-il la comparaison aux faits ? 20 ans et 0 comparaison ça ne fait pas sérieux


Alors cette publie elle arrive ... 20 ans de préparation, ça doit être ENORME

G>, qui adore voir un zozo en pleine fuite en avant dans son déni de réalité ... c'est tellement marrant à observer

Psyricien : La moyenne de 4 et 5 ça peut faire 3 ... Comprendra qui pourra !
Re: Cosmologie
Je trouve ça complétement débile, le rayon de Bohr n'a rien à voir avec une orbite circulaire, pour quelqu'un qui veut comparer la MQ avec le rayon de l'univers c'est pas fort.
Je l'ai déjà souligné, l'atome de Bohr est purement historique, il ne décrit en rien la réalité physique.
Mario, tu décris le rayon de Bohr comme s'il était tracé au compas, ou comme si l'électron tournait en orbite, hors, on sait qu'il n'en est rien (une bille électron qui tourne c'est un électron qui s'écrase sur le noyau en quelques milliardièmes de secondes par rayonnement de freinage).
Cette dimension n'est que le rayon où on trouve l'électron avec un maximum de probabilité, expérimentalement on le trouve entre r=0 et r=5 Ao
Donc aucun rapport avec une orbite planétaire.
Je l'ai déjà souligné, l'atome de Bohr est purement historique, il ne décrit en rien la réalité physique.
Mario, tu décris le rayon de Bohr comme s'il était tracé au compas, ou comme si l'électron tournait en orbite, hors, on sait qu'il n'en est rien (une bille électron qui tourne c'est un électron qui s'écrase sur le noyau en quelques milliardièmes de secondes par rayonnement de freinage).
Cette dimension n'est que le rayon où on trouve l'électron avec un maximum de probabilité, expérimentalement on le trouve entre r=0 et r=5 Ao
Donc aucun rapport avec une orbite planétaire.
Vous ne pouvez pas consulter les pièces jointes insérées à ce message.
Le rôle de la physique mathématique est de bien poser les questions, ce n'est que l'expérience qui peut les résoudre. [Henri Poincaré]
Re: Cosmologie
Je n'ai pas changé d'avis, dans le calcul de Ao la masse du proton n'a strictement aucune influence, ce qui influe c'est sa charge électrique et pas le numéro atomique du noyau.Après cette présentation de ce petit cours de physique ou de mécanique quantique ''curieux'' et ''IL'' faites nous connaître S.V.P., dans ce forum, votre point de vue concernant la signification de Z dans ce contexte qu'est l' ATOME DE BOHR???
Le noyau pourrait tout aussi bien être composé de mésons pi positifs ou de Kaons+ que ça ne changerait rien au rayon Ao = 0.0528 nm
Et donc, quand a=Ao/Z le nombre Z correspond bien à la charge électrique du noyau.
Je le prouve :
Ao = hbar²/(mel * ke²)
tu le vois où le proton là dedans ?
ke² est une référence à la force électromagnétique entre les charges électriques.
mel est la masse de l'électron.
hbar la constante de planck réduite
Je l'ai dis et je signe : un noyau atomique pourrait être composé de n'importe quelle particule élémentaire dotée d'une charge électrique positive que Ao, le rayon de Bohr serait exactement le même. Donc aucun rapport avec le proton.
Mario, quand on calcule l'énergie d'ionisation d'un atome quelconque, on se sert d'une équation du style E = Eo Z²/n²
et là, le nombre Z est un nombre qui ne reste même pas entier au fur et à mesure qu'on monte dans le tableau des éléments. (n non plus d'ailleurs, on parle de Z effectif et de n effectif)
Et pourquoi Z varie ?
Tout simplement parce qu'il représente la charge électrique du noyau partiellement écrantée par les électrons de chacune des orbitales vues par les électrons les plus externes au noyau.
Autrement dit, si Z était le nombre de protons on se demande bien comment les protons pourraient se fractionner dans la bagarre...
Explique donc.
Si tu ne peux pas, je peux aussi te faire un cours de chimie quantique, t'inquiètes donc pas.
Le rôle de la physique mathématique est de bien poser les questions, ce n'est que l'expérience qui peut les résoudre. [Henri Poincaré]
Re: Cosmologie
Bonjour
Comme nous pouvons facilement le constater ni ''curieux'' ni ''IL'' ne répondent pas explicitement par oui ou par non à ma simple question concernant la signification de Z!
''curieux'' , encore une fois, vous me répondez par une autre équation ( en insistant que ''le nombre Z correspond bien à la charge électrique du noyau'' ) !!!
Vous ne répondez pas à la mienne!!!
Pourquoi cette DIVERSION???
A travers les 2 ouvrages de PHYSIQUE, en référence, nous sommes 6 personnes à vous dire la même chose concernant la signification de Z (NOMBRE DE PROTON)!!!
Alors, encore une fois, --- POURQUOI CETTE DIVERSION en ne répondant pas EXPLICITEMENT par OUI ou par NON à ma simple question concernant une simple relation???...
''curieux'' je vous conseil gentiment de relire ma dernière intervention sur au moins 4 points :
1--->qui vous parle que le rayon de Bohr a une ''orbite circulaire'' ?
2--->je vous signale que : le résultats du modèle de l' ''ATOME DE BOHR''
«Le résultat de Bohr est en bon accord avec les résultats expérimentaux se rapportant à N'IMPORTE QUEL atome à un électron, (...) » (C'est moi qui souligne)--- comme l'hydrogène (Z=1proton), l'hélium 1 fois ionisé (Z=2 protons), le lithium 2 fois ionisé (Z= 3 protons)... Pour d'avantage de détails dans les calculs voir la référence [1]
3--->qui vous parle d'un 'électron qui tournerai en orbite comme si c'était une orbite CLASSIQUE (comme si l'électron était une mini-planète)?
4--->qui vous parle de ''la masse du proton'' ?
PETITS RAPPELS CONCERNANT L' ''ATOME DE BOHR''
Calcul de l' énergie d'un état stationnaire
Quant on calcule le ''rydberg'' (Ry) on trouve E~13,61 eV
par la relation
E ~ Ry / n ^2
Que donne la valeur précise pour E?
Cette dernière est de
Ry = 13,605 691 93(34) eV ou ~ 2,2 .10 ^-18 J
Ce qui est très remarquable, entre le modèle de Bohr et l'expérience, c'est que l'incertitude relative (actuellement admise) est de 2,5 x 10 ^ -8 ---Voir là la page 73 de la référence [2] déjà citée dans ce forum.
Or il est intéressant de voir que dans le calcul du Ry on utilise le
--->''rayon de Bohr'' a0 (et non pas une autre valeur ou une valeur proche de 0)
--->la charge électrique e
--->la constante de structure fine α, etc.
Pour la valeur de 13,61 eV on utilise aussi le symbole E0 qui représente la quantité permise la plus basse pour un électron. L'état de cet électron est appelé ETAT FONDAMENTAL.
Voilà sur quoi repose un des POSTULATS du ''NBBF'' . Ce POSTULAT repose sur une extrapolation de l' ETAT FONDAMENTAL prenant en compte les différentes relations de l' ''ATOME DE BOHR'' et pas un autre ''ATOME'' !!!
A travers cet exemple (pour le calcul des énergies caractéristiques) nous constatons que le modèle de l' ''ATOME DE BOHR'' est (en première approximation) en accord avec les expériences.
Bien sur que ce modèle a ses limites !
Voilà pourquoi l'extrapolation de l' ETAT FONDAMENTAL de l' ''ATOME DE BOHR'' est utilisée dans le cadre du ''NBBF'' . Le ''NBBF'' prend en compte uniquement les relations que nous avons avec l' ''ATOME DE BOHR''. Toute autre ''ATOME'' n'est pas pris en considération pour en faire une extrapolation à l'Univers !!!
DONC ''curieux'' il est inutile de vouloir dire que :
''Z est un nombre qui ne reste même pas entier au fur et à mesure qu'on monte dans le tableau des éléments (...)''.
L'extrapolation de l' ''ATOME DE BOHR'' , utilisée par le ''NBBF'', ne va pas au-delà !!!
Elle ne monte pas "à mesure qu'on monte dans le tableau des éléments"...cela c'est que ton point de vue...
Donc un des POSTULATS, du ''NBBF'', repose sur une extrapolation fondée sur des expériences (les résultats concernant les ''atomes de Bohr'' ) et non sur du BLA...BLA...BLA...
''curieux'' accepte-tu la valeur Ry ~ 13,61 eV ?
E0 = ke ^2 / a0
Dis moi --- ici qu'elle la plus forte probabilité est-ce d'avoir une valeur proche de 0 ou celle d'avoir a0 ???...et pas de diversion S.V.P.!!!
Respectueusement
« PAS DE MORT THERMIQUE POUR NOTRE UNIVERS »
Comme nous pouvons facilement le constater ni ''curieux'' ni ''IL'' ne répondent pas explicitement par oui ou par non à ma simple question concernant la signification de Z!
''curieux'' , encore une fois, vous me répondez par une autre équation ( en insistant que ''le nombre Z correspond bien à la charge électrique du noyau'' ) !!!
Vous ne répondez pas à la mienne!!!
Pourquoi cette DIVERSION???
A travers les 2 ouvrages de PHYSIQUE, en référence, nous sommes 6 personnes à vous dire la même chose concernant la signification de Z (NOMBRE DE PROTON)!!!
Alors, encore une fois, --- POURQUOI CETTE DIVERSION en ne répondant pas EXPLICITEMENT par OUI ou par NON à ma simple question concernant une simple relation???...
''curieux'' je vous conseil gentiment de relire ma dernière intervention sur au moins 4 points :
1--->qui vous parle que le rayon de Bohr a une ''orbite circulaire'' ?
2--->je vous signale que : le résultats du modèle de l' ''ATOME DE BOHR''
«Le résultat de Bohr est en bon accord avec les résultats expérimentaux se rapportant à N'IMPORTE QUEL atome à un électron, (...) » (C'est moi qui souligne)--- comme l'hydrogène (Z=1proton), l'hélium 1 fois ionisé (Z=2 protons), le lithium 2 fois ionisé (Z= 3 protons)... Pour d'avantage de détails dans les calculs voir la référence [1]
3--->qui vous parle d'un 'électron qui tournerai en orbite comme si c'était une orbite CLASSIQUE (comme si l'électron était une mini-planète)?
4--->qui vous parle de ''la masse du proton'' ?
PETITS RAPPELS CONCERNANT L' ''ATOME DE BOHR''
Calcul de l' énergie d'un état stationnaire
Quant on calcule le ''rydberg'' (Ry) on trouve E~13,61 eV
par la relation
E ~ Ry / n ^2
Que donne la valeur précise pour E?
Cette dernière est de
Ry = 13,605 691 93(34) eV ou ~ 2,2 .10 ^-18 J
Ce qui est très remarquable, entre le modèle de Bohr et l'expérience, c'est que l'incertitude relative (actuellement admise) est de 2,5 x 10 ^ -8 ---Voir là la page 73 de la référence [2] déjà citée dans ce forum.
Or il est intéressant de voir que dans le calcul du Ry on utilise le
--->''rayon de Bohr'' a0 (et non pas une autre valeur ou une valeur proche de 0)
--->la charge électrique e
--->la constante de structure fine α, etc.
Pour la valeur de 13,61 eV on utilise aussi le symbole E0 qui représente la quantité permise la plus basse pour un électron. L'état de cet électron est appelé ETAT FONDAMENTAL.
Voilà sur quoi repose un des POSTULATS du ''NBBF'' . Ce POSTULAT repose sur une extrapolation de l' ETAT FONDAMENTAL prenant en compte les différentes relations de l' ''ATOME DE BOHR'' et pas un autre ''ATOME'' !!!
A travers cet exemple (pour le calcul des énergies caractéristiques) nous constatons que le modèle de l' ''ATOME DE BOHR'' est (en première approximation) en accord avec les expériences.
Bien sur que ce modèle a ses limites !
Voilà pourquoi l'extrapolation de l' ETAT FONDAMENTAL de l' ''ATOME DE BOHR'' est utilisée dans le cadre du ''NBBF'' . Le ''NBBF'' prend en compte uniquement les relations que nous avons avec l' ''ATOME DE BOHR''. Toute autre ''ATOME'' n'est pas pris en considération pour en faire une extrapolation à l'Univers !!!
DONC ''curieux'' il est inutile de vouloir dire que :
''Z est un nombre qui ne reste même pas entier au fur et à mesure qu'on monte dans le tableau des éléments (...)''.
L'extrapolation de l' ''ATOME DE BOHR'' , utilisée par le ''NBBF'', ne va pas au-delà !!!
Elle ne monte pas "à mesure qu'on monte dans le tableau des éléments"...cela c'est que ton point de vue...
Donc un des POSTULATS, du ''NBBF'', repose sur une extrapolation fondée sur des expériences (les résultats concernant les ''atomes de Bohr'' ) et non sur du BLA...BLA...BLA...
''curieux'' accepte-tu la valeur Ry ~ 13,61 eV ?
E0 = ke ^2 / a0
Dis moi --- ici qu'elle la plus forte probabilité est-ce d'avoir une valeur proche de 0 ou celle d'avoir a0 ???...et pas de diversion S.V.P.!!!
Respectueusement
« PAS DE MORT THERMIQUE POUR NOTRE UNIVERS »
Re: Cosmologie
Bonjour,
Et plus globalement, est-ce que vous pourriez nous donner les postulats du ''NBBF'', parce que je vous avouerais que pour moi, c'est extrêmement flou ...
Quel postulat, s'il vous plaît ?Cosentino a écrit :Donc un des POSTULATS, du ''NBBF'', repose sur une extrapolation fondée sur des expériences (les résultats concernant les ''atomes de Bohr'' ) et non sur du BLA...BLA...BLA...
Et plus globalement, est-ce que vous pourriez nous donner les postulats du ''NBBF'', parce que je vous avouerais que pour moi, c'est extrêmement flou ...
Le fait que je sache que quelque chose est vrai n'est pas une preuve. 

Re: Cosmologie
T'inquiète pas, c'est flou aussi pour luiChanur a écrit :Bonjour,Quel postulat, s'il vous plaît ?Cosentino a écrit :Donc un des POSTULATS, du ''NBBF'', repose sur une extrapolation fondée sur des expériences (les résultats concernant les ''atomes de Bohr'' ) et non sur du BLA...BLA...BLA...
Et plus globalement, est-ce que vous pourriez nous donner les postulats du ''NBBF'', parce que je vous avouerais que pour moi, c'est extrêmement flou ...

-->Il est incapable de décrire le prétendu modèle ... après 20 c'est un vrai gag

-->Il incapable de fournir un résultats qui ne ressemble pas à du bricolage foireux de niveau collège.
-->Il est incapable de fournir une comparaison data/modèle.
Alors à partir de là ... il ne reste plus que le "flou", pour essayer de faire genre

G>
Psyricien : La moyenne de 4 et 5 ça peut faire 3 ... Comprendra qui pourra !
Re: Cosmologie
Si tu ne sais pas lire, j'ai répondu non, Z représente la charge électrique du noyau et pas le nombre de protons.Mario a écrit :Alors ''curieux'' et ''IL'' dans l'équation (attention : PAS UNE AUTRE !) utilisée dans ce contexte le paramètre Z est-il la charge électrique OU le NOMBRE DE PROTON ???
Sur ce coup là je fait appel à votre humilité et à votre modestie...
Tu te sers du rayon de Bohr comme s'il avait une signification bien précise en physique, ce n'est pas le cas, c'est une dimension qui ne donne que la probabilité maxi d'y trouver l’électron dans l'atome d'hydrogène. Voir mon message précédent pour comprendre dans quel flou artistique tu patauges en donnant une relation précise entre Ao et la température du CMB alors que cette dernière est très précisément mesurée...
Tu te sers d'une expression floue pour aboutir à une mesure précise, voilà où se trouve le problème.
Que ce soit Ao, la longueur d'onde de Compton de l'électron ou son rayon classique, ces valeurs n'ont aucune signification physique particulière. Encore moins s'il s'agit de les relier à des valeurs gigantesques comme le rayon de l'univers.
Quant à ton Ry = 13,605 691 93(34) eV ou ~ 2,2 .10 ^-18 J, personne ne met ça en doute, ce que je mets en doute c'est ta façon de t'en servir depuis Ao.
Puisqu'un électron dans l'atome de Bohr se trouve entre 0 et 5 Ao, les lois de conservation le feront passer sur une orbitale supérieure qui correspondra au même intervalle, autrement dit la MQ dit qu'en doublant le rayon d'un facteur n, on trouvera encore l'électron entre [n*0] et [n*5 Ao]. Fais l'extrapolation en choisissant "n" pour aboutir à TON rayon de l'univers et observe donc le résultat... Quelle est la valeur de "n" ?
Je le répète, tu fais dans la numérologie en pratiquant de la sorte.
Ton postulat de base est de considérer l'univers comme un atome, et bien pour ma part je considère ça comme une hypothèse invérifiable, ce n'est donc pas un postulat. Sans postulat on est devant un scénario ou un roman de science fiction.
J'aime la science fiction, à condition qu'on ne cherche pas à me faire croire que c'est de la science.
Le rôle de la physique mathématique est de bien poser les questions, ce n'est que l'expérience qui peut les résoudre. [Henri Poincaré]
Re: Cosmologie
salut curieux! je n'ai pas trop suivi ce fil, mais comme tu écris que
je voudrais juste rappeler ce qu'est un postulat:curieux a écrit :Ton postulat de base est de considérer l'univers comme un atome, et bien pour ma part je considère ça comme une hypothèse invérifiable, ce n'est donc pas un postulat.
2. SC. Principe non démontré que l'on accepte et que l'on formule à la base d'une recherche ou d'une théorie.

Re: Cosmologie
Non démonstration et invérifiable sont deux choses fondamentalement différentes.
Ici on parle de physique, donc de choses observables, si on commence à postuler n'importe quoi parce qu'on en a rêvé une nuit alors n'importe qui peut se bombarder physicien et prétendre pondre une théorie.
C'est le leit motiv de tous les zozos d'ailleurs, sous prétexte qu'on ne peut démontrer le contraire de leurs divagations alors l'idée devrait être acceptée comme possible.
Dans le cas de Mario, il est facile de démontrer qu'un atome (ici c'est plus précisément de la couche électronique externe de l'atome d'hydrogène qu'il est question de comparer à l'univers dans sa globalité) est régit par les forces électromagnétiques et qu'un ensemble de matière constitué de galaxies n'a rien à voir avec l'électromagnétisme ou la physique quantique.
Une planète ne tourne pas autour de son étoile par le biais de leurs charges électriques, ni les étoiles autour de leur galaxie.
Accepter un postulat ne demande pas de prendre des vessies pour des lanternes mais de bâtir autour d'un fait et aussi que les faits observés ne demandent pas d'introduire un tas de nouvelles hypothèses toutes aussi éloignées des connaissances acquises que le prétendu postulat de base.
Ce n'est pas parce qu'un scénario semble tenir la route qu'il a le droit à l'appellation "théorie scientifique", à ce tarif tous les croyants postulent que leur Dieu existe grâce à toutes les hypothèses invérifiables brodées avant eux par leurs ancêtres. Un postulat qui ne repose que sur une conclusion, c'est un raisonnement circulaire et surement pas le départ acceptable d'une théorie.
Ici on parle de physique, donc de choses observables, si on commence à postuler n'importe quoi parce qu'on en a rêvé une nuit alors n'importe qui peut se bombarder physicien et prétendre pondre une théorie.
C'est le leit motiv de tous les zozos d'ailleurs, sous prétexte qu'on ne peut démontrer le contraire de leurs divagations alors l'idée devrait être acceptée comme possible.
Dans le cas de Mario, il est facile de démontrer qu'un atome (ici c'est plus précisément de la couche électronique externe de l'atome d'hydrogène qu'il est question de comparer à l'univers dans sa globalité) est régit par les forces électromagnétiques et qu'un ensemble de matière constitué de galaxies n'a rien à voir avec l'électromagnétisme ou la physique quantique.
Une planète ne tourne pas autour de son étoile par le biais de leurs charges électriques, ni les étoiles autour de leur galaxie.
Accepter un postulat ne demande pas de prendre des vessies pour des lanternes mais de bâtir autour d'un fait et aussi que les faits observés ne demandent pas d'introduire un tas de nouvelles hypothèses toutes aussi éloignées des connaissances acquises que le prétendu postulat de base.
Ce n'est pas parce qu'un scénario semble tenir la route qu'il a le droit à l'appellation "théorie scientifique", à ce tarif tous les croyants postulent que leur Dieu existe grâce à toutes les hypothèses invérifiables brodées avant eux par leurs ancêtres. Un postulat qui ne repose que sur une conclusion, c'est un raisonnement circulaire et surement pas le départ acceptable d'une théorie.
Le rôle de la physique mathématique est de bien poser les questions, ce n'est que l'expérience qui peut les résoudre. [Henri Poincaré]
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Re: Cosmologie
Vu que c'est ce que richard fait lui-même, il ne verra sans doute pas le problème.curieux a écrit :si on commence à postuler n'importe quoi parce qu'on en a rêvé une nuit alors n'importe qui peut se bombarder physicien et prétendre pondre une théorie
Jean-François
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("La foi est la blessure que le savoir guérit", Le dit d'Aka)
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Re: Cosmologie
Salut Curieux,
Il me semble que le mot postulat n'a pas le même sens en Physique et en Mathématiques. On peut même dire plus que la Science ne fait aucun postulat au sens où on l'entend en Mathématiques. Elle fait des hypothèses testables qui lui permettent, après vérification de créer des modèles qui décrivent la réalité.
On ne postule pas une structure planétaire de l'atome, par exemple. On l'imagine compte tenu des observations déjà faites et de sa créativité. On teste le modèle qu'elle entraine. Si aucun fait ne la contredit et qu'elle permet de prévoir ce que rien ne permettait de prévoir avant lui, on a une théorie scientifique ... jusqu'à ce que le raffinement de la technologie propose d'autres faits qui la mettent en défaut. Il ne reste alors qu'à le raffiner ou d'en changer.
Les Mathématiques peuvent vivre extrêmement longtemps sur les mêmes postulats. La Science, n'a pas de modèle fixé ad vitam aeternam. Elle doit faire évoluer ses modèles aux rythme du progrès de son corpus*. Sinon elle meurt !
le mot postulat devrait être banni du vocabulaire scientifique (ou laissé au zozos qui ne sont jamais à une connerie près)
* Non, je ne fais pas l'apologie des "savants" dérangés que sont Constantino et richard. Ce qu'ils proposent est aussi "scientifique" que le Créationnisme peut l'être.
Il me semble que le mot postulat n'a pas le même sens en Physique et en Mathématiques. On peut même dire plus que la Science ne fait aucun postulat au sens où on l'entend en Mathématiques. Elle fait des hypothèses testables qui lui permettent, après vérification de créer des modèles qui décrivent la réalité.
On ne postule pas une structure planétaire de l'atome, par exemple. On l'imagine compte tenu des observations déjà faites et de sa créativité. On teste le modèle qu'elle entraine. Si aucun fait ne la contredit et qu'elle permet de prévoir ce que rien ne permettait de prévoir avant lui, on a une théorie scientifique ... jusqu'à ce que le raffinement de la technologie propose d'autres faits qui la mettent en défaut. Il ne reste alors qu'à le raffiner ou d'en changer.
Les Mathématiques peuvent vivre extrêmement longtemps sur les mêmes postulats. La Science, n'a pas de modèle fixé ad vitam aeternam. Elle doit faire évoluer ses modèles aux rythme du progrès de son corpus*. Sinon elle meurt !
le mot postulat devrait être banni du vocabulaire scientifique (ou laissé au zozos qui ne sont jamais à une connerie près)
* Non, je ne fais pas l'apologie des "savants" dérangés que sont Constantino et richard. Ce qu'ils proposent est aussi "scientifique" que le Créationnisme peut l'être.
Les faits ne pénètrent pas dans le monde où vivent nos croyances. Marcel Proust
Gloire à qui n'ayant pas d'idéal sacro-saint
Se borne à ne pas trop emmerder ses voisins ! Georges Brassens
Mon Dieu ! Mon Dieu ! Pourquoi m'as-tu abandonné ? Dieu
Gloire à qui n'ayant pas d'idéal sacro-saint
Se borne à ne pas trop emmerder ses voisins ! Georges Brassens
Mon Dieu ! Mon Dieu ! Pourquoi m'as-tu abandonné ? Dieu
Re: Cosmologie
Je ne ferais juste que souligner une partie de cet article de wiki:
Constatant une fois encore que « le passage d'un paradigme en état de crise à un nouveau paradigme d'où puisse naître une nouvelle tradition de science normale est loin d'être un processus cumulatif, réalisable à partir de variantes ou d'extensions de l'ancien paradigme», [Kuhn] remarque que les premières étapes en sont, d'abord, la focalisation sur le problème, puis l'apparition de propositions théoriques multiples. Il souligne la « nature divergente des nombreuses solutions partielles qui se proposent.

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