wiki a écrit :La chanson a été rendue célèbre par son utilisation dans l'intrigue du film L'Homme qui en savait trop, réalisé par Alfred Hitchcock, sorti en 1956.

wiki a écrit :La chanson a été rendue célèbre par son utilisation dans l'intrigue du film L'Homme qui en savait trop, réalisé par Alfred Hitchcock, sorti en 1956.
Posons nous la question.richard a écrit :bonjour Psy ! tu écris que:la relation doit être \({\rm d}t = {\gamma\, \rm d}t'\) puisque célérité et vélocité sont proportionnels à γ ( u = γ v ) mais par réciprocité n'a-t-on pas \({\rm d}t' = {\gamma\, \rm d}t\) et en définitive γ = 1 et dt' = dt ?si \(v \neq u\) (vitesse et célérité) alors \({\rm d}t \neq {\rm d}t'\) par définition puisque:
\(v = \frac{{\rm d}x}{{\rm d}t}\)
et
\(u = \frac{{\rm d}x}{{\rm d}t'}\)
C'est tout ? C'est là tout ce dont tu es capable pour fuir tes divisions par 0 ... c'est faible ... d'aucun dirait minable ...richard a écrit :salut le psy! ce phénomène est appelé "dilatation des durées".
J'aurais écrit: d'aucuns diraient minable ... tu ne devrais pas prendre de risques avec un vocabulaire que tu ne maitrises pas.Psyricien a écrit :d'aucun dirait minable ...
*Les TLs utilisent des nombres réels ... richou fait donc des divisions par 0, qui n'ont pas de senswiki a écrit :La division par zéro consiste à chercher le résultat qu'on obtiendrait en prenant zéro comme diviseur. Ainsi, une division par zéro s'écrirait \(\frac{x}{0}\), où x serait le dividende (ou numérateur).
Dans les branches les plus courantes des mathématiques (ndp: utilisant les nombres réels* où complexes), ce calcul n'a pas de sens. Elle est possible dans certaines branches (ndp : avec des sédénions par exemple), mais cela implique de perdre certaines propriétés simples des opérations courantes (ndp: associativité et commutativité). On déclare donc généralement qu'elle est impossible. D'une manière plus générale, c'est une expression signifiant une tâche impossible ou absurde.
Et oui richou ... tu essaie d'utiliser les équations de la RR ... mais tu fait des erreurs digne d'un élève de primaire ... tu arrives à nous dire que celons toi :Psyricien a écrit :Allons exhumer de vieux messages,
Posons nous la question.richard a écrit :bonjour Psy ! tu écris que:la relation doit être \({\rm d}t = {\gamma\, \rm d}t'\) puisque célérité et vélocité sont proportionnels à γ ( u = γ v ) mais par réciprocité n'a-t-on pas \({\rm d}t' = {\gamma\, \rm d}t\) et en définitive γ = 1 et dt' = dt ?si \(v \neq u\) (vitesse et célérité) alors \({\rm d}t \neq {\rm d}t'\) par définition puisque:
\(v = \frac{{\rm d}x}{{\rm d}t}\)
et
\(u = \frac{{\rm d}x}{{\rm d}t'}\)
Pour arriver à \({\rm d}t' = {\gamma\, \rm d}t\) il faut poser \({\rm d}x = 0\).
Pour arriver à \({\rm d}t = {\gamma\, \rm d}t'\) il faut poser \({\rm d}x' = 0\)
Reprenons le système complet:
\(c{\rm d}t' = \gamma (c{\rm d}t- \beta {\rm d}x)\)
\({\rm d}x' = \gamma ({\rm d}x- \beta c{\rm d}t)\)
Injectons les considérations de richard:
\({\rm d}x' = 0\)
\({\rm d}x = 0\)
il en découle
\({\rm d}t' = 0\)
\({\rm d}t = 0\)
Richard pose ensuite:
\(\gamma^2 {\rm d}t} = {{\rm d}t}\)
Et en tire la solution suivante,
\(\gamma^2 = \frac{{\rm d}t}{{\rm d}t} = 1\) (il ne se rend même pas compte de l'énormité que cela constitue).
Il a juste oublié un détail ... dans le cas qu'il considère : \(\frac{{\rm d}t}{{\rm d}t} = \frac{0}{0}\),
et ça, ça ne fait pas 1, ça peut valoir n'importe quoi ... le calcul de richou ne nous apprend rien.
L'équation en question \(\gamma^2 {\rm d}t} = {{\rm d}t}\), admet comme solution:
1-->Si \({\rm d}t = 0\) : toutes les valeurs finies de \(\gamma\) !
2-->Si \({\rm d}t \neq 0\) : \(\gamma = 1\).
Mais les considérations utilisées par richou pour aboutir à cette équation imposent \({\rm d}t = 0\), et donc la solution à considérer est la première.
Faire des divisions par 0, ça fait pas sérieux pour un prétendu ingénieur ... on applaudit bien fort.
Aura t-on un jour une réponse à cette erreur digne d'un enfant de primaire particulièrement mauvais en math ?
G>
Biensur que non ! Il est possible d'avoir dx = 0 et dx' = 0, mais cela à comme implication d'avoir dt = 0 et dt' = 0 ... L'évènement étudié est alors un point de l'espace-temps.richard a écrit :bonjour tout le monde! salut le psy! tu démontres qu'il n'est pas possible d'avoir dx = 0 et dx' = 0
Elle n'ont rien d'incompatible en RR ... tant que l'on ne divise par 0 ...mais tout le monde sait que ces conditions ne sont pas compatibles dans le cadre de la RR.
Non plus ... les relation entre les temps de différents référentiel s'établissent dans le référentiel où prend place la comparaisons. Cela peut-être l'un des deux référentiels où les temps sont mesurée comme un troisième.Les relations entre les temps dans des référentiels différents s'établissent avec l'une ou l'autre de ces conditions.
Mais comparé les deux résultats est inepte ! Puisque en le faisant tu divise explicitement par 0.En d'autres termes on regarde comment évolue le temps en un point donné (dx = 0 ou dx' = 0) pour deux observateurs différents.
Je peux supposer que c’est le positionnement relatif en termes de distance entre elles mais ce n’est pas précisé dans ton texte. Cela peux par exemple sous entendre que c’est le positionnement relatif par rapport à l’angle entre elles. Je te demande simplement de le préciser.Science Création a écrit :Q01b01- Je comprendrais si tu m’avais répondu que cela dépend de la distance entre les deux plaques ou de l’angle que forme la ligne qui relie les deux plaques avec l’horizon. Mais je ne comprends pas ce que tu tentes d’exprimer en parlant de positionnement relatif entre les deux plaques. Peux-tu STP préciser ?Psyricien a écrit : Ah bon ? Tu ne comprends pas ce que veut dire le positionnement relatif des deux plaques ?
Le but de ma question est de comprendre comment une personne qui fait l’expérience peut en arriver à cette conclusion.Psyricien a écrit :Pour la grande majorité [des muons qui passent par la deuxième plaque ont passé par la première plaque] ? Oui. Mais la encore ça dépend du positionnement relatif entre les deux plaques ... le flux de muons cosmique au sol n'est pas isotrope ...
Science Création a écrit :Q01b02- Comment sais-tu (le justifier) que c’est la grande majorité ?Psyricien a écrit :En l’occurrence, j'ai par le passé déjà encadré ce genre de TPs.
Q01b02a-Est-ce la formule 4.3 que l’on retrouve à la page 17 de ce document proposé par curieux ?Psyricien a écrit :En outre quand tu connais la géométrie du problème calculé la fraction de muons qui traverse les deux plaques par rapport aux nombre de muons qui en traverse au moins une ... ce résume à deux intégrales
Cela je le savais. Ma question était plutôt de comprendre comment on sait qu’ils ne sont pas corrélés. Pas de raisonnement circulaire STP.Science Création a écrit :Q01d- Pourquoi une distribution uniforme correspond aux coïncidences fortuites ?Psyricien a écrit :les deux muons ne sont pas corrélés
Cela je le savais. Ma question était plutôt de comprendre comment on sait qu’ils sont corrélés. Pas de raisonnement circulaire STP.Science Création a écrit :Q01e- Pourquoi une distribution gaussienne correspond aux coïncidences effectives ?Psyricien a écrit : ils [les deux muons] le sont [corrélés]
À une distribution uniforme ?Psyricien a écrit :À quoi peut donc bien ressembler une distribution de temps aléatoire non corrélé ?
À une distribution gaussienne ?Psyricien a écrit :À quoi peut bien ressembler une distribution de temps centré sur une valeur moyenne avec des incertitudes gaussiennes ?
Q01d01- Pour quels raisons ?Psyricien a écrit :la distribution des coïncidences fortuites n'est pas exactement uniforme, elle est quasi uniforme
Moi, je pense que le deuxième muon ne sera pas détecté par la première plaque. Si on est dans un cas de figure ou le premier muon ne se rend pas à la deuxième plaque tandis que le deuxième traverse en laissant un signale sur les autres plaques alors le temps total de passage sera augmenté en confondant les 2 muons.Science Création a écrit :Q01f01- Que ce passe-t-il si le délai entre 2 muons qui traversent la première plaque est plus petit que le délai entre l’émission de la lumière par l’effet Tcherenkov et l’enregistrement du temps ?Psyricien a écrit :Absolument rien
Je pose la question afin que justement la réponse que l’on va m’apporter va m’aider à comprendre.Science Création a écrit :Q01g- Avec les données fictives suivantes présente moi la distribution de temps que l’on obtient en m’indiquant à quel couplet on soustrait tel autre couplet : 1 : (Pl2, 3); 2 : (Pl2, 4); 3 : (Pl1, 5); 4 : (Pl2, 6); 5 : (Pl1, 7); 6 : (Pl1, 9); 7 : (Pl1, 10); 8 : (Pl2, 11); 9 : (Pl1, 12); 10 : (Pl1, 15); 11 : (Pl1, 16); 12 : (Pl1, 19); 13 : (Pl1, 20); 14 : (Pl2, 23);
Voici la syntaxe de ces données et son explication : # du couplet: (# plaque que le muon a frappé, temps enregistré en nanoseconde par le chronomètre);Psyricien a écrit :si toi tu répondais à ta question ...
Bravo, tu as mis le doigt sur un point que je ne comprends pas.Psyricien a écrit :Pour info, tu ne sembles même pas avoir saisie le principe de l'expérience ... puisque tu donnes une liste d'évènements ... et non une liste de coïncidences
Je supposais que dans le montage expérimental, les deux câbles de même mouture avaient la même longueur. Il me semblait que je pouvais donc prendre pour acquis que le temps passé par le signal dans les câbles était à tout de fin pratique identique entre eux.Science Création a écrit : Le temps enregistré pour le passage du muon à travers la première plaque = Le temps pris pour l’amplification du signal + le temps pris par le signal à traverser la câble, qui a une longueur de moitié de la distance entre les 2 plaques, pour ce rendre au boîtier–interface + le temps pour enregistrer le temps par le boîtier interface ou l’ordinateur Le temps enregistré pour le passage du muon à travers la deuxième plaque = Au temps pris par le muon pour ce rendre à la deuxième plaque + le temps pris pour passer à travers le même processus qui a enregistré le temps pour le passage du muon à travers la première plaque. Si je soustrais ces 2 temps alors il me reste le temps pris par le muon pour ce rendre à la deuxième plaque. Il me semble que ce faisant, je me suis affranchi de l’effet systémique des « câbles ».Psyricien a écrit : Sous l'hypothèse où tu connais exactement le temps mit pour parcourir les câbles (le temps mit dans les câbles pour le signal venant de la plaque A, n'est pas forcément le même que celui pour le signal venant de la plaque B) ... et généralement ce temps est imprécis (tu le connais avec des barres d'erreurs).
Voyons voir :Psyricien a écrit :Une façon de faire qui supprime cette incertitude systématique est la suivante: -->Tu mesure le temps de vol t1 entre les plaques A et B séparé de 1 mètres.
-->Tu mesure le temps de vol t2 entre les plaques A et B séparé de 5 mètres. Le tout sans toucher au système acquisition.
Tu regardes la grandeur t2-t1 et ça te donne directement le temps de vol sur une distance de 4 mètres sans que tu n’ais besoin de connaitre le temps de parcours dans les câbles.
Voici la suite de notre conversation sur ce point :Science Création a écrit :Ayant convenu avec toi que 10 mètres est une distance acceptable entre les 2 plaques voici ta réponse à ma question :
Q05- Combien de temps cela a pris (donner la réponse en unité de temps) pour traverser (plus précisément pour partir et arrêter le chrono) ces 2 plaques ?
Psyricien a écrit : Pour le temps ... tu prends la distance et tu divises par la vitesse de la lumière ... ça te donnera l'ordre de grandeur
Reste dans le contexte de ma question. Je veux savoir le temps obtenu dans l’expérience pour le déplacement du muon sur une distance de 10 mètres (ou sur une autre distance en me donnant la distance si tu ne l’as pas pour 10 mètres). Pas le temps qu’on devrait obtenir mais le temps qui a été obtenu expérimentalement.Science Création a écrit :Je ne te demande pas un ordre de grandeur. Je te demande dans les fait cela donne quoi comme résultat.Psyricien a écrit : Et moi je te dis ... tu prends la distance et tu divises par la vitesse du muons (~c) et tu auras le temps ... une division tu sais faire ? Où ça aussi c'est trop dur ?
Et la réponse est ?Science Création a écrit : Q05a- Dans l’expérience que tu tentes de m’expliquer, on arrête le chrono lorsque le muon traverse la deuxième plaque ou on fait simplement enregistrer les différents temps avec le même chrono pour les différents évènements (traverse la première plaque, traverse la deuxième plaque) ?Psyricien a écrit :Non mais relis tes questions sérieux ... ça descend tellement bas ... c'en est pathétique
que tu sais lire mais que tu ne comprends rien à ce que tu lis.Science Création a écrit :Et la réponse est ?
Voici une autre façon qui le démontre malgré que le temps de passage de A est différent dans les 2 expériences :Science Création a écrit :J'ai un problème ici. La formule indique que les 2 t passage A s'annulent mais dans les fait ils ont des valeurs différentes car l'expérience sur la distance AB ce fait à un autre moment que l'expérience sur la distance AB'. Quel est la solution ?
et tu as raison mais ce n'est pas alors très intéressant. Pour comparer les mesures effectuées dans différents référentiels il est nécessaire d'avoir deux événements distincts.Il est possible d'avoir dx = 0 et dx' = 0, mais cela [a] comme implication d'avoir dt = 0 et dt' = 0 ... L'évènement étudié est alors un point de l'espace-temps.
Bien-sur que j'ai raison.richard a écrit :salut le psy! tu écris qu'et tu as raison mais ce n'est pas alors très intéressant. Pour comparer les mesures effectuées dans différents référentiels il est nécessaire d'avoir deux événements distincts.Il est possible d'avoir dx = 0 et dx' = 0, mais cela [a] comme implication d'avoir dt = 0 et dt' = 0 ... L'évènement étudié est alors un point de l'espace-temps.
Comme je te l'ai expliqué 100 fois (non vraiment, c'est pas une façon de parler, c'est au minimum 100 fois).richard a écrit :alors comment fais-tu pour comparer les mesures d'une longueur et celles d'une durée par des observateurs en mru l'un par rapport à l'autre?
Pour définir une longueur ne faut-il pas deux événements simultanés en des endroits différents? Pour déterminer une durée ne faut-il pas deux événements qui ont lieu au même endroit à des moments différents?Psyricien a écrit :Pour comparer des mesures, tu mesures le même évènement (1 et 1 seul, pas deux différents), depuis deux référentiels différents, puis tu rapatries une des deux mesures dans le référentiel de l'autre (c'est cette action qui définit [quel] "référentiel" est projeté sur l'autre, dans lequel prend place la comparaison).
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