ça ne saurait tarder

La seconde caméra n'a rien capté et ceci pourrait être tout simplement un "glitch" informatique (quoique je trouverais cela très étonnant avec la très haute qualité du matos de la NASA en 2014). Ceci dit, le fait que la seconde caméra n'a pas capté cette lumière pourrait très bien s'expliquer par la différence (infime) de synchronisation des deux caméras stréoscopiques. Si l'écart entre les deux caméras est de quelques millisecondes et si le phénomène (si phénomène il y a) a duré moins que cet écart, une caméra pourrait très bien capter un truc que l'autre ne verrait pas. Dans ce cas, ça ne peut pas être un effet dû à un solide mais plus un phénomène lumineux de nature transitoire. L'autre élément à considérer est la sensibilité des cellules photovoltaïques des caméras en question.Carlos-Henri a écrit :Ah ? Visiblement cette nouvelle n'émeut pas (encore) les zozos !
ça ne saurait tarder
Comme la planète Mars approchait de l’opposition, Lavelle, de Java, fit palpiter tout à coup les fils transmetteurs des communications astronomiques, avec l’extraordinaire nouvelle d’une immense explosion de gaz incandescent dans la planète observée. Le fait s’était produit vers minuit et le spectroscope, auquel il eut immédiatement recours, indiqua une masse de gaz enflammés, principalement de l’hydrogène, s’avançant avec une vélocité énorme vers la Terre. Ce jet de feu devint invisible un quart d’heure après minuit environ. Il le compara à une colossale bouffée de flamme, soudainement et violemment jaillie de la planète « comme les gaz enflammés se précipitent hors de la gueule d’un canon ».
Il y a quelques ingés à la NASA aussiNEMROD34 a écrit :Et juste un bug dans la transmissions des données numériques vu la distance, c'est un truc de dingue ? Il y a t'il un ingénieur(e) dans la salle ?
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