richard a écrit :[...] et je ressors réconforté dans ma position.

richard a écrit :Je vais essayer de ne plus intervenir

richard a écrit :[...] et je ressors réconforté dans ma position.
richard a écrit :Je vais essayer de ne plus intervenir
Intéressant cette vidéo.richard a écrit :salut! ben moi aussi je cite une vidéo youtube... sur la relativité du temps
C'est seulement une question d'interprétation puisqu'il considère que le temps ne passe pas mais que ce sont les événements qui passent. Ça revient au même finalement et ça ne change rien à ce qui est prévu par les équations de la relativité.Étienne Klein a écrit :Quand on dit «le temps s'écoule moins vite», c'est une absurdité.
Pour moi le moteur du temps c'est le Big Bang: le temps continue sous l'effet de l'impulsion initiale. Je ne vois pas la nécessité d'avoir un autre moteur.On ne connaît pas le moteur du temps.
Tu as raison d'insister sur la nécessité d'expliciter la distinction que je vais détailler ci-dessous.Psyricien a écrit :Si on fait tendre c vers + l'infini, on obtient les relations d'invariance de longueur et de durée propres à la relativité galiléenne:
dx = dx' (invariance de la longueur des objets lors d'un changement de référentiel inertiel)
dt = dt' (invariance de la durée séparant deux évènements lors d'un changement de référentiel inertiel)
La limite en c tendant à l'infini est : \({\rm d}x' = {\rm d}x - v {\rm d}t\)
Gare à ce genre de confusion !
En RE (relativité einsteinienne) aussi les longueurs impropres sont les mêmes mais en RG (relativité galiléenne) longueur propre et longueur impropre sont égales tandis qu'elles sont différentes en RE...En relativité Galiléenne, quand deux objets au repos dans deux référentiel inertiels distincts ont même longueur propre (longueur propre d'un objet = longueur mesurée dans le référentiel où il est au repos), ils ont aussi même longueur impropre.
Reposons donc la question au richou :richard a écrit :Si l'on pose que la vélocité v d'un corps (par rapport à un observateur donné) est égale à v = c sin θ alors le rapport K, inverse du coefficient de Lorentz, est égal à K= cos θ. On retrouvera là des rotations et des projections, transformations chères à Psyricien, mais différentes de celles qu'il connait.
Moi ? Depuis bien longtemps maintenant ... toi hélas, c'est pas encore çaFacile! non? As-tu compris?
Pour quelles raisons ce que tu racontes serait différent de ce que la RR raconte ?richard a écrit :Si l'on pose que la vélocité v d'un corps (par rapport à un observateur donné) est égale à v = c sin θ alors le rapport K, inverse du coefficient de Lorentz, est égal à K= cos θ. On retrouvera là des rotations et des projections, transformations chères à Psyricien, mais différentes de celles qu'il connait.
Triangle qui découle trivialement de l'expression de l'Energie :Cos(Alpha) = 1 / gamma c'est le B-A BA de la RR enseigné aux débutants.
Par contre, en Relativité Restreinte, contrairement à la Relativité galiléenne, la longueur impropre d'un corps est toujours plus courte que sa longueur propre ( selon le facteur (1-v²/c²)^(1/2) ).richard a écrit :Salut ABC! tu écrisUn même corps a des dimensions propres identiques dans des espaces E et E' distincts (mesurées dans l'espace où il est situé) [quand] ces espaces [sont] en mru.En relativité Galiléenne, quand deux objets au repos dans deux référentiel inertiels distincts ont même longueur propre (longueur propre d'un objet = longueur mesurée dans le référentiel où il est au repos), ils ont aussi deux longueurs impropres égales à cette longueur propre.
x' et t' désignent des coordonnées d'espace et de temps dans le référentiel R' dont l'espace 3D associé (les observateurs au repos dans R') est E'.richard a écrit :Dans un espace de référence E' l'équation q' d'une onde em progressive monochromatique s'écrit
\(q'= a'\,\,{\rm sin} (\omega' t' - k'x')\, avec \,k' = \frac{2{\pi}}{\lambda'}}\)
λ' étant la longueur d'onde et ω' sa pulsation "qu'est-ce que x' et t' désignent dans ces équations?"
Il est facile également de montrer que les transformations de Galilée respectent cette invariance. En effet dans une transformation de Galilée on a x' = x et t' = t, puisqueABC a écrit :Pour ce qui est du passage de (x,t) à (x',t') il est nécessaire d'avoir conservation de l'équation d'onde. Il est facile de montrer que les transformations de Lorentz respectent cette invariance.
L'équation \(\partial^2/\partial t^{2}\,-c^2 \, \partial^2/\partial x^{2}=0\)ABC a écrit : x' et t' désignent des coordonnées d'espace et de temps dans le référentiel R'.
nerichard a écrit :Il est facile également de montrer que les transformations de Galilée
pasrichard a écrit : respectent
comme le confirme d'ailleurs l'expérience de Morley Michelson.richard a écrit : cette invariance,
+vtrichard a écrit : En effet dans une transformation de Galilée on a x = x'
Il faut refaire le calcul de mon précédent message avec les transformations de Galilée en lieu et place des transformations de Lorentz.richard a écrit : et t = t'. L'équation \(\partial^2/\partial t^{2}\,-c^2 \, \partial^2/\partial x^{2}=0\) devient donc dans R'...
Le choix est crucial pour déterminer la transformation qui lie deux espaces de référence distincts.ABC a écrit :x' et t' désignent des coordonnées d'espace et de temps dans le référentiel R' dont l'espace 3D associé (les observateurs au repos dans R') est E'.
On va y revenirPsyricien semble partisan de la première solution —sinon d'après lui on changerait d'événements étudiés— ABC de la seconde.
La partie en rouge est comique ... l'équation en question étant complètement indépendante de la vitesse de la source (pour une onde "non-massique") ... on ne voit pas ce que cette condition vient faire là, sinon montrer une confusion de la part de richourichard a écrit :Dans l'équation d'onde \(\frac{\partial q'^2}{\partial t'^{2}}=c^2\,\frac{\partial q'^2}{\partial x'^{2}}\) quand la source est mobile par rapport à l'espace de référence considéré, E' la variable x' peut désigner soit la grandeur O'M, fonction du temps (M ε E), soit la grandeur O'M' indépendante du temps (M' ε E').
Quand la source (le bateau) est mobile par rapport au milieu de référence dans lequel il avance (l'eau) et que les changements de systèmes de coordonnées sont galiléens (t = t' et x = x'+vt'), alors l'onde (la vague d'étrave) se propage à vitesse conde -v vers l'avant par rapport à la source (le bateau) et à vitesse conde +v vers l'arrière par rapport à cette même source.richard a écrit :Dans l'équation d'onde \(\frac{\partial q'^2}{\partial t'^{2}}=c^2\,\frac{\partial q'^2}{\partial x'^{2}}\) quand la source est mobile par rapport à l'espace de référence considéré, E' la variable x' peut désigner soit la grandeur O'M, fonction du temps (M ε E), soit la grandeur O'M' indépendante du temps (M' ε E').
Non seulement je suis d'accord avec les remarques physiques et mathématiques de Psyricien, mais j'ai pris la peine de mettre les transformations de Lorentz sous la forme de rotations hyperboliques comme il en a souvent souligné la possibilité.richard a écrit :Psyricien semble partisan de la première solution —sinon d'après lui on changerait d'événements étudiés— ABC de la seconde.
Ce qui est crucial c'est de noter que si on utilise les transformations de Galilée, alors, lors d'un changement de référentiels inertiels, du fait :richard a écrit :Le choix est crucial pour déterminer la transformation qui lie deux espaces de référence distincts.ABC a écrit :x' et t' désignent des coordonnées d'espace et de temps dans le référentiel R' dont l'espace 3D associé (les observateurs au repos dans R') est E'.
Elle confirme car on suppose que la terre bouge dans cette expérience. Je le suppose moi aussi. Par contre, il y a une expérience que j'aimerais tenter. Faire la même expérience de Morley Michelson mais cette fois-ci dans un véhicule qui ce déplace en ligne droite à vitesse constante. Nos instruments de mesure sont-ils présentement assez précis pour détecter une frange dans un véhicule d'une longueur et vitesse appréciable et faisable actuellement ?ABC a écrit :Le résultat de l'expérience de Morley Michelson confirme ce qu'on savait déjà avant cette expérience.
que se passe-t-il quand les changements de systèmes de coordonnées sont lorentziens?Quand la source (le bateau) est mobile par rapport au milieu de référence dans lequel il avance (l'eau) et que les changements de systèmes de coordonnées sont galiléens (t = t' et x = x'+vt'), alors l'onde (la vague d'étrave) se propage à vitesse conde -v vers l'avant par rapport à la source (le bateau) et à vitesse conde +v vers l'arrière par rapport à cette même source.
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