Le Huff,Dominique-Jeanneret, La médecine holistique;

[lefauve]

Dominique-Jeanneret blogueuse et charlatanne sur le huff à décidé de ce mettre à un recyclage non écologique de vieille croyance désuète.

http://quebec.huffingtonpost.ca/dominiq ... 35008.html

[Jean-Marc milhaud]

Bon... Déjà dans les premières lignes elle opère à un glissement confond spiritualité et occultisme (sans citer le second mot)... Ca en dit long...
La suite est un galimatias sans queue ni tête...

[LouV]

*parcourt l'article* Et bien sûr, aucune mention d'essai clinique.
Je ne doute pas de la bonne foi de cette personne, mais ce genre d'article n'a aucun intérêt pour faire véritablement reconnaître sa pratique et faire cesser les "chasses aux sorcières".

Quant à l'argument "Des médecins hospitaliers invitent des guérisseurs dans les hôpitaux", il n'a pas grand poids par lui-même.
- il serait intéressant de savoir pour quelles raisons précisément des médecins estiment qu'il y a une efficacité, et pas seulement sur la base de leur expérience clinique
- ça peut aussi être stratégique, pour éviter que des patients déçus se coupent totalement des hôpitaux publics.

[Christian]

Quant à l'argument "Des médecins hospitaliers invitent des guérisseurs dans les hôpitaux", il n'a pas grand poids par lui-même.

Parlez-vous de ces hospitaliers?

Christian

[lau'jik]

Quelques éléments ici
Pour la Suisse ce doit être le même type de réflexion qui a mené à ces accompagnements.

[Florence]

Quant à l'argument "Des médecins hospitaliers invitent des guérisseurs dans les hôpitaux", il n'a pas grand poids par lui-même.
- il serait intéressant de savoir pour quelles raisons précisément des médecins estiment qu'il y a une efficacité, et pas seulement sur la base de leur expérience clinique
- ça peut aussi être stratégique, pour éviter que des patients déçus se coupent totalement des hôpitaux publics.

J'ai eu au cours de ma carrière plusieurs discussions avec des médecins au sujet de leur réticence à appeler un chat un chat lorsqu'il s'agissait de donner une opinion à la presse à ce sujet. L'argument qui revenait toujours (outre la crainte de se mettre à dos la presse généralement très complaisante envers les "médecines parallèles") était d'éviter que les patients ne se braquent contre la médecine scientifique ...