Oui, je sais et tu remplaceras aussi évolution par progression si tu veux parler de quelque chose à l'intérieur d'une lignée. La différence entre évolution et progression, on la connaît tous les deux :Jean-Francois a écrit :Tout d'abord, un être n'évolue pas (au sens biologique). Ce sont des lignées qui se modifient.
Évoluer : Se transformer par étapes successives, passer progressivement d'un état à un autre.
Progresser : Avancer, gagner du terrain, se perfectionner.
Définitions tirées de cette Source : http://www.cnrtl.fr/
Tu ne veux pas utiliser le terme évoluer parce que ce mot tend vers une pensée métaphysique et tu n'aimes pas ça, mais c'est parfaitement subjectif vue la définition donnée dans le dictionnaire. Une forme peut très bien se modifier et évoluer vers sa fin, par exemple. Je sais ça te fatigue, mais c'est quand même une manière de voir.
Quand tu as l'idée de construire une théorie qu'est-ce qui place les éléments ensemble ? Je ne parle pas ici de toutes tes observations réunies, je parle du frames qui va les réunir toutes donnant forme à ta théorie ?Jean-Francois a écrit :Ensuite, tu considères qu'il existe une sorte d'idée qui aurait donnée la forme au chat. Si cette idée/information existait, le chat ne pourrait être autre chose qu'un chat. Pour que les chats puissent évoluer, c'est-à-dire finir par donner d'autres espèces, il faudrait penser que l'idée/information se modifie aussi.
Tu me dis que rien de ce que je dis est vérifiable, laisse-moi te démontrer, peut-être, je dis peut-être parce que j'ai à moitié confiance en moi et à moitié confiance en toi, je me laisse une marge d'erreur, contrairement à toi.
Est-ce que tu savais que l’essence de toute chose existe pour que tu puisses saisir le plus possible la réalité de l’objet de ta pensée. Ce qui te permet de travailler, jour après jour, dans l’organisation du monde physique avec tous tes concepts ou idées qui découlent de cette idée première. C’est loin d’être un appendice inutile, comme tu dis. C’est une réalité qui se forme peut-être par hasard et par nécessité, mais on ne peut travailler sans elle car elle réunit tout ce que toi tu détacheras partie par partie pour en examiner la forme. Prends n’importe quel sentiment, mets-le sur ta table dans son essence et là tu pourras en faire une étude, vis-le et là tu le vivras à travers tes propres sensations, ce qui ne te procureras pas du tout la même vue d'ensemble. On en peut pas séparer une pensée essentialiste d'une pensée matérialiste. Je crois que G. L. est restée lui-même fixé dans une idée fixe à l'intérieur de ses propos sur ce sujet.