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Mireille a écrit :Eatsalad, j'en ai plus qu'assez de tes remarques désobligeantes à mon égard depuis que tu es arrivé sur cette discussion, tes ajouts inutiles, du genre :
eatsalad a écrit : "Mireille, l'art de noyer le poisson, ou comment éviter de répondre aux questions gênantes.."
et toutes les autres conneries empruntent de méchancetés.
Si pour toi tout ce que je dis sont des âneries, qu'est-ce que tu fou sur cette enfilade ???
Je t'avertis pour la dernière fois ou tu t'en tiens à commenter ou je ne te réponds plus.
Mais tu n'avais pas repondu aux questions !! tu te contentais de noyer le poisson en citant des textes qui visiblement dépassent ta compréhension!
Comme je l'ai déja dit plus haut, c'est un forum ouvert et j'ai parfaitement le droit de commenter ce que tu écris, de toute facon, je ne pouvait rien faire d'autre car tu ne répondais pas aux questions..
Et la je vois que tu tentes de répondre dans ce message, et je m'en félicite, mieux vaux tard que jamais !
Mireille a écrit :On pourrait décomposer les pièces d’un jeu d’échec jusqu’à en arriver à définir jusqu’à ses éléments microscopiques sans jamais comprendre la nature du jeu d’échec. Remarquez que l’on peut jouer sans s’occuper, par exemple, de son origine (représentation d’une guerre), ni de la beauté du jeu qui se révèle par l’ordre des coups, ou de tout ce que ce jeu peut apporter de sentiment comme d’admiration pour les meilleurs. Ce que je voulais apporter comme argument neuf dans la conversation est que sans la relation entre l’imaginaire du joueur et les pièces, le jeu n’existerait pas parce que qu’on ne pourrait pas comprendre la relation entre les pièces et de ce fait toutes les stratégies possible et tout le reste. Donc comprendre globalement tout ce qui compose le jeu révèle sa nature, soit tout son potentiel.
Ce n'est pas ce que je comprend du texte de Tegmark, lui parle de relations mathématiques pas de relation entre l'imaginaire du joueur et les pièces.
Mireille a écrit :Dans ce que j’ai relevé de M. T., je le cite : « Ce qui définit cette position dans le langage des échecs n'est pas la nature physique des pièces ou de l'échiquier, ni même la nature de l'image par laquelle elles sont représentées. C'est la relation mathématique entre ces pièces et l'échiquier.
"Il en résulte que la nature ne peut pas être expliquée en recherchant jusqu'à l'infini les propriétés de ses composantes ultimes, mai seulement les relations entre ces composantes. » C’est que j’avais trouvé d’intéressant.
C'est ca, il parle de relation mathematique, pourquoi y ajoutes-tu l'imaginaire du joueur la dedans ?
Mireille a écrit :Maintenant, quelle est la relation entre la nature du chat et cette citation, et bien quand je disais, je me cite : « la nature d'un être dépend d'un ensemble de facteurs biologiques, mais aussi de la manière dont il vivra son expérience en rapport avec ses attributs dans sa conscience » et j’aurais du ajouter avec nous, on parle ici de la relation entre nous et l’animal. C’est justement par une vision globale, biologique, comportementale et en relation avec notre regard que nous avons pu déterminer qu’il était d’une certaine nature, ce qui justifie, en mon sens qu’un chat est plus que ses propriétés.
Donc deux chats qui n'ont pas connu les memes expériences ont une nature différente selon ta définition, non ?