Les dépressifs, mauvais parents pour la DPJ
- Aéroplaneur
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Les dépressifs, mauvais parents pour la DPJ
Un couple ne se qualifie par pour devenir famille d'accueil car le fait d'avoir été dépressif serait un critère d'exclusion, selon la DPJ.
http://plus.lapresse.ca/screens/8ebf576 ... %7C_0.html
http://plus.lapresse.ca/screens/8ebf576 ... %7C_0.html
Napoléon à Laplace :
– Laplace, votre travail est excellent mais il n'y a pas de trace de Dieu dans votre système.
– Sire, je n'ai pas eu besoin de cette hypothèse.
– Laplace, votre travail est excellent mais il n'y a pas de trace de Dieu dans votre système.
– Sire, je n'ai pas eu besoin de cette hypothèse.
- Aéroplaneur
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Re: Les dépressifs, mauvais parents pour la DPJ
Ce qui est questionnable dans ce refus de la DPJ, c'est que le médecin traitant ne pense pas que le fait d'avoir souffert de dépression va affecter les capacités parentales de sa patiente.
Napoléon à Laplace :
– Laplace, votre travail est excellent mais il n'y a pas de trace de Dieu dans votre système.
– Sire, je n'ai pas eu besoin de cette hypothèse.
– Laplace, votre travail est excellent mais il n'y a pas de trace de Dieu dans votre système.
– Sire, je n'ai pas eu besoin de cette hypothèse.
- Aéroplaneur
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Re: Les dépressifs, mauvais parents pour la DPJ
Au final, la question se pose : le fait d'avoir souffert d'une maladie comme la dépression doit-il être un critère d'exclusion afin de devenir parents adoptifs ?
Napoléon à Laplace :
– Laplace, votre travail est excellent mais il n'y a pas de trace de Dieu dans votre système.
– Sire, je n'ai pas eu besoin de cette hypothèse.
– Laplace, votre travail est excellent mais il n'y a pas de trace de Dieu dans votre système.
– Sire, je n'ai pas eu besoin de cette hypothèse.
Re: Les dépressifs, mauvais parents pour la DPJ
Il semble plutôt craindre que madame pourrait rechuter s'il y a retrait de l'enfant.
Moi ce que je trouve questionnable c'est le fait qu'il n'y a pas de contre expertise.
Autrement dit, un québécois sur cinq aura des chances de souffrir de troubles mentaux et à partir de ce constat on vous enlève toute chance de devenir famille d'accueil.
Est-ce un crime d'être atteint de trouble mentaux ?
Lorsque la personne est rétablie est-elle nécessairement inapte à ses responsabilités ?
Plus fragile oui ! Mais inapte ? Pas certaine surtout si la personne est suivi.
Moi ce que je trouve questionnable c'est le fait qu'il n'y a pas de contre expertise.
Autrement dit, un québécois sur cinq aura des chances de souffrir de troubles mentaux et à partir de ce constat on vous enlève toute chance de devenir famille d'accueil.
Est-ce un crime d'être atteint de trouble mentaux ?
Lorsque la personne est rétablie est-elle nécessairement inapte à ses responsabilités ?
Plus fragile oui ! Mais inapte ? Pas certaine surtout si la personne est suivi.
- Aéroplaneur
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Re: Les dépressifs, mauvais parents pour la DPJ
Avoir souffert de trouble mentaux n'est pas un crime, mais c'est une source d'exclusion, en plus de faire montrer votre prime d'assurance vie et d'assurance invalidité.
Napoléon à Laplace :
– Laplace, votre travail est excellent mais il n'y a pas de trace de Dieu dans votre système.
– Sire, je n'ai pas eu besoin de cette hypothèse.
– Laplace, votre travail est excellent mais il n'y a pas de trace de Dieu dans votre système.
– Sire, je n'ai pas eu besoin de cette hypothèse.
Re: Les dépressifs, mauvais parents pour la DPJ
Je comprends parfaitement le choix des compagnie d'assurance. C'est un choix économique une question de rentabilité et ceci fait parti de leur mandat on ne peut pas leur en vouloir.
Par contre, l'exemple de ce couple démontre à mon humble avis que la structure et les moyens d'intervention de la DPJ aurait besoin de révision.
Et peut être a d'autres niveau si on en juge les exemples cités dans l'article.
Qu'en pensez vous ?
Par contre, l'exemple de ce couple démontre à mon humble avis que la structure et les moyens d'intervention de la DPJ aurait besoin de révision.
Et peut être a d'autres niveau si on en juge les exemples cités dans l'article.
Qu'en pensez vous ?
- Aéroplaneur
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Re: Les dépressifs, mauvais parents pour la DPJ
Si la personne avait été diabétique au lieu d'avoir souffert de dépression, l'aurait-on exclu également de la liste des familles d'accueil potentielles ?
Napoléon à Laplace :
– Laplace, votre travail est excellent mais il n'y a pas de trace de Dieu dans votre système.
– Sire, je n'ai pas eu besoin de cette hypothèse.
– Laplace, votre travail est excellent mais il n'y a pas de trace de Dieu dans votre système.
– Sire, je n'ai pas eu besoin de cette hypothèse.
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Re: Les dépressifs, mauvais parents pour la DPJ
Après tout, elle pourrait mal prendre son insuline, faire un coma, se retrouver hospitalisée et, de facto, abandonner ses enfants.
Napoléon à Laplace :
– Laplace, votre travail est excellent mais il n'y a pas de trace de Dieu dans votre système.
– Sire, je n'ai pas eu besoin de cette hypothèse.
– Laplace, votre travail est excellent mais il n'y a pas de trace de Dieu dans votre système.
– Sire, je n'ai pas eu besoin de cette hypothèse.
Re: Les dépressifs, mauvais parents pour la DPJ
Je ne sais pas ! Je ne connais pas les critères d'adminisibilitéAéroplaneur a écrit :Si la personne avait été diabétique au lieu d'avoir souffert de dépression, l'aurait-on exclu également de la liste des familles d'accueil potentielles ?
Je ne comprends pas le but de cette intervention

- Aéroplaneur
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Re: Les dépressifs, mauvais parents pour la DPJ
En fait, je me demande si un problème de santé, qu'il soit mental ou physique, doit être un critère d'exclusion pour devenir parent de la DPJ, surtout si le problème est bien contrôlé.
Napoléon à Laplace :
– Laplace, votre travail est excellent mais il n'y a pas de trace de Dieu dans votre système.
– Sire, je n'ai pas eu besoin de cette hypothèse.
– Laplace, votre travail est excellent mais il n'y a pas de trace de Dieu dans votre système.
– Sire, je n'ai pas eu besoin de cette hypothèse.
- Aéroplaneur
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Re: Les dépressifs, mauvais parents pour la DPJ
Extrait du texte :
Le dossier médical doit être produit, mais on ne connait pas les critères médicaux d'exclusion.Ils ont posé leur candidature en janvier 2011, produit tous les documents requis, leur dossier médical, l’état de leurs finances, des attestations comme quoi ils n’ont pas d’antécédents judiciaires, des lettres de recommandation. Ils ont rencontré chez eux une travailleuse sociale du Centre jeunesse de Québec, ont répondu à ses questions
Napoléon à Laplace :
– Laplace, votre travail est excellent mais il n'y a pas de trace de Dieu dans votre système.
– Sire, je n'ai pas eu besoin de cette hypothèse.
– Laplace, votre travail est excellent mais il n'y a pas de trace de Dieu dans votre système.
– Sire, je n'ai pas eu besoin de cette hypothèse.
Re: Les dépressifs, mauvais parents pour la DPJ
Voulez vous dire qu'on leur a exclut le privilège d'être famille d'accueil sans critères définis ?
Il est également questionnant qu'ils aient été acceptés pour accueillir deux enfants une première fois..
Il est également questionnant qu'ils aient été acceptés pour accueillir deux enfants une première fois..
Re: Les dépressifs, mauvais parents pour la DPJ
Bonjour Aéroplaneur,
Il est possible que ce couple a été désavantagé à cause du médecin famille de Nathalie, même si il a adoucit par la suite son discours, ça a du peser lourd dans la balance surtout que son conjoint a été traité pour la schizophrénie et aussi pour une dépression. Je comprends la position de Frédéric Aublet de ne pas vouloir prendre de risque pour des enfants fragilisées quand les parents potentiels ont été tous deux affectés par une dépression en plus de schizophrénie. De plus on ne connait pas la gravité de leurs dépressions.
Ceci dit, il devrait y avoir une sorte d'ombudsman pour des cas ou une révision pourrait avoir lieu accompagné d'expertises.
Il est possible que ce couple a été désavantagé à cause du médecin famille de Nathalie, même si il a adoucit par la suite son discours, ça a du peser lourd dans la balance surtout que son conjoint a été traité pour la schizophrénie et aussi pour une dépression. Je comprends la position de Frédéric Aublet de ne pas vouloir prendre de risque pour des enfants fragilisées quand les parents potentiels ont été tous deux affectés par une dépression en plus de schizophrénie. De plus on ne connait pas la gravité de leurs dépressions.
Ceci dit, il devrait y avoir une sorte d'ombudsman pour des cas ou une révision pourrait avoir lieu accompagné d'expertises.
Il n'y a qu'un expert qui saurait le dire ou plutôt des experts puisqu'ils ne s'entendent pas toujours.Aéroplaneur a écrit :En fait, je me demande si un problème de santé, qu'il soit mental ou physique, doit être un critère d'exclusion pour devenir parent de la DPJ, surtout si le problème est bien contrôlé.
Re: Les dépressifs, mauvais parents pour la DPJ
Ah ben désolé Aéroplaneur soit j'ai passé votre dernier post ou bien nous avons écrit en même tempsAéroplaneur a écrit :En fait, je me demande si un problème de santé, qu'il soit mental ou physique, doit être un critère d'exclusion pour devenir parent de la DPJ, surtout si le problème est bien contrôlé.

Bonne question !
Re: Les dépressifs, mauvais parents pour la DPJ
Il faut d'abord comprendre que l'adoption n'est pas un droit et n'est pas quelque chose qui se merite.
Ca peut sembler injuste mais satisfaire les desirs des demandeurs d'adoption, quels que soient leurs efforts et leur bone volonté, est la derniere des priorités.
Apres lecture de l'article, il n'est pas illogique de ne pas vouloir confier des enfants qui sont des cas tres difficiles a des personnes qui ont une vulnerabilité latente (encore une fois, c'est pas une question d'efforts ou de merite).
Ca peut sembler injuste mais satisfaire les desirs des demandeurs d'adoption, quels que soient leurs efforts et leur bone volonté, est la derniere des priorités.
Apres lecture de l'article, il n'est pas illogique de ne pas vouloir confier des enfants qui sont des cas tres difficiles a des personnes qui ont une vulnerabilité latente (encore une fois, c'est pas une question d'efforts ou de merite).
- Aéroplaneur
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Re: Les dépressifs, mauvais parents pour la DPJ
Bien sûr, être famille d'accueil ou parents adoptifs demeure un privilège, et non pas un droit. Normal. Et les candidats doivent présenter un bon dossier pour être éligibles, je comprends aussi.
Par contre, il ne semble pas, dans le cas dont nous parlons, que la DPJ fasse appel à son propre expert en santé mental pour évaluer les candidats potentiels. Elle s'est contenté du rapport médical du médecin traitant, qui au final ne voyait pas d'empêchement pouvant affecter les capacités parentales de la dame.
Il semble nous manquer des informations, mais à vue de nez, l'exclusion de la dame ne paraît pas être appuyée sur grand-chose. Je me demande si la DPJ n'est pas en train de rejeter une candidature sur la base de simples préjugés ? Ce n'est pas comme si les candidats à devenir famille d'accueil étaient légion.
Comme le disait un intervenant plus haut, il faudrait peut-être une contre-expertise.
Par contre, il ne semble pas, dans le cas dont nous parlons, que la DPJ fasse appel à son propre expert en santé mental pour évaluer les candidats potentiels. Elle s'est contenté du rapport médical du médecin traitant, qui au final ne voyait pas d'empêchement pouvant affecter les capacités parentales de la dame.
Il semble nous manquer des informations, mais à vue de nez, l'exclusion de la dame ne paraît pas être appuyée sur grand-chose. Je me demande si la DPJ n'est pas en train de rejeter une candidature sur la base de simples préjugés ? Ce n'est pas comme si les candidats à devenir famille d'accueil étaient légion.
Comme le disait un intervenant plus haut, il faudrait peut-être une contre-expertise.
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Re: Les dépressifs, mauvais parents pour la DPJ
Une famille d'acceuil n'est pas une famille d'adoption, mais la question se pose dans les deux cas.Aéroplaneur a écrit :Au final, la question se pose : le fait d'avoir souffert d'une maladie comme la dépression doit-il être un critère d'exclusion afin de devenir parents adoptifs ?
Je dirais que la bonne réponse dépend de la gravité de la dépression, de l'époque où elle est apparue et d'un ensemble d'autres variables. S'il y a un risque pour l'enfant dM'être exposé à un substitu parental dépressif, la réponse est "non"!
Quoi qu'il en soit, c'est le seul bien de l'enfant qui doit entrer en ligne de compte et la DPJ ne doit absolument pas se laisser intimider par des revendicateurs de "droits" à assumer le rôle de famille d'acceuil ou de droit à l'adoption. Ça n'exsite pas ces droits là et il ne faut pas faire semblant que ça existe.
« Dans les temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire. » George Orwell
- Aéroplaneur
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Re: Les dépressifs, mauvais parents pour la DPJ
Bien sûr, c'est ce que sous-entendait ma réponse.Kraepelin a écrit :Une famille d'acceuil n'est pas une famille d'adoption, mais la question se pose dans les deux cas.Aéroplaneur a écrit :Au final, la question se pose : le fait d'avoir souffert d'une maladie comme la dépression doit-il être un critère d'exclusion afin de devenir parents adoptifs ?

Napoléon à Laplace :
– Laplace, votre travail est excellent mais il n'y a pas de trace de Dieu dans votre système.
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- Aéroplaneur
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Re: Les dépressifs, mauvais parents pour la DPJ
Grave pénurie de familles
Sarah-Maude Lefebvre
Samedi, 18 mai 2013 20:50
MISE à JOUR Samedi, 18 mai 2013 21:27
Les Montréalais sont de moins en moins intéressés à devenir famille d'accueil. Le nombre de foyers qui hébergent des jeunes de la DPJ chute radicalement chaque année, laissant des centaines d'enfants en attente d’un foyer stable. [...]
La suite sur : http://www.journaldemontreal.com/2013/0 ... e-familles
Napoléon à Laplace :
– Laplace, votre travail est excellent mais il n'y a pas de trace de Dieu dans votre système.
– Sire, je n'ai pas eu besoin de cette hypothèse.
– Laplace, votre travail est excellent mais il n'y a pas de trace de Dieu dans votre système.
– Sire, je n'ai pas eu besoin de cette hypothèse.
Re: Les dépressifs, mauvais parents pour la DPJ
Oui, important problème! Il faut trouver des solutions. Élargir les critères de la DPJ n'en n'est pas une. Ce serait créer de nouveaux problèmes par dessus les anciens.Aéroplaneur a écrit : Les Montréalais sont de moins en moins intéressés à devenir famille d'accueil. Le nombre de foyers qui hébergent des jeunes de la DPJ chute radicalement chaque année, laissant des centaines d'enfants en attente d’un foyer stable. [...]
« Dans les temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire. » George Orwell
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Re: Les dépressifs, mauvais parents pour la DPJ
Je suis assez d'accord. Mais une partie de la solution serait peut-être d'exclure des familles d'accueil potentielle sur la base d'une expertise plus rigoureuse lorsqu'il d'agit d'une exclusion pour trouble dépressif.Kraepelin a écrit :Oui, important problème! Il faut trouver des solutions. Élargir les critères de la DPJ n'en n'est pas une. Ce serait créer de nouveaux problèmes par dessus les anciens.Aéroplaneur a écrit : Les Montréalais sont de moins en moins intéressés à devenir famille d'accueil. Le nombre de foyers qui hébergent des jeunes de la DPJ chute radicalement chaque année, laissant des centaines d'enfants en attente d’un foyer stable. [...]
Napoléon à Laplace :
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Re: Les dépressifs, mauvais parents pour la DPJ
La DPJ a un très grave problème de sous financement et de conservation de ses effectfs comptent.Aéroplaneur a écrit : Je suis assez d'accord. Mais une partie de la solution serait peut-être d'exclure des familles d'accueil potentielle sur la base d'une expertise plus rigoureuse lorsqu'il d'agit d'une exclusion pour trouble dépressif.
Pour travailler à la DPJ, il faudrait :
1- Avoir au minimum un Bac;
2- Avoir un bon jugement;
3- Avoir beaucoup d'expérience;
Dans la réalité, les intervenants de la DPJ ont:
1- Un diplôme technique;
2- Un jugement très variable;
3- Ils débutent leur carrière à la DPJ et prennent la fuite dès qu'un autre emploi leur est ouvert ailleurs.
« Dans les temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire. » George Orwell
- Aéroplaneur
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Re: Les dépressifs, mauvais parents pour la DPJ
Le roulement de personnel est assez élevé, en effet. Il s'agit d'un travail assez ingrat. Rares sont les parents qui sont heureux de voir débarquer la DPJ chez eux. Mais le contraire est aussi vrai : beaucoup font des signalement et se plaignent ensuite que ceux-ci ne sont pas retenus.Kraepelin a écrit :
Dans la réalité, les intervenants de la DPJ ont:
1- Un diplôme technique;
2- Un jugement très variable;
3- Ils débutent leur carrière à la DPJ et prennent la fuite dès qu'un autre emploi leur est ouvert ailleurs.
La DPJ, c'est un peu comme la police : on n'est pas heureux de les voir arriver, mais on n'est pas heureux aussi de constater leur absence quand on souhaiterait leur présence.
Napoléon à Laplace :
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– Sire, je n'ai pas eu besoin de cette hypothèse.
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– Sire, je n'ai pas eu besoin de cette hypothèse.
- Aéroplaneur
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- Inscription : 22 sept. 2007, 20:30
Re: Les dépressifs, mauvais parents pour la DPJ
En sommes, la DPJ comme la police, provoquera généralement de l'insatisfaction. 

Napoléon à Laplace :
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– Sire, je n'ai pas eu besoin de cette hypothèse.
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– Sire, je n'ai pas eu besoin de cette hypothèse.
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