prenons deux enfants, un d'une famille de noir l'autre de blanc. le noir a été exposé au trafic de crac de ses parents. la détresse émotive que l'on observe chez lui a l'age adulte est-elle la conséquence de l'ethnie de ses parents ?Cogite Stibon a écrit : Ben tu n'y es pas du tout.
Prenons le cas deux enfants, Albert et Arthur :
inutile de répondre a cette question.
Dans la pratique, on compare des populations, et il est impossible d'avoir populations qui ne différent que par la variable qu'on veut étudier. Il existe des méthodes statistiques permettant de prendre en compte l'effet d'une autre variable, et de l'isoler. Cela s'appelle "contrôler selon une variable". ...
... Une étude qui prétend étudier l'impact de l'homoparentalité sur le développement de l'enfant se doit donc de contrôler par rapport à cette variable de confusion. L'étude de Sullins ne le fait pas. Il est donc impossible d'en tirer la moindre conclusion.
As with any empirical study, this conclusion should
be evaluated in the context of important
limitations and uncertainties that may lead it to b
e qualified, corrected or rebutted on further
examination. Several of these are worth particular
mention. First, we should be clear that this
study cannot statistically demonstrate causality.
Accordingly, this is the first study
that is able both to credibly discover verifiable d
ifferences between opposite-sex and same-sex
parents and to explore theoretical models that may
explain those differences.
si je comprend bien:
http://www.law2.byu.edu/page/categories ... U_Conf.pdf
a la figure 1 dans l’étude on voit que chez les enfants adopté, ceux de famille homo s'en tirent mieux que les autres.
a la figure 2 on voit que les enfants de parents homo et marié (same-sex spousal)s'en tirent avantageusement par rapport aux autres famille.mais jamais aussi bien que les enfants issus des familles les plus stables, nucléaires. ou de familles reconstituées(hétéro)
moi je conclus que les enfants élevé dans un milieu stable (homoparents adoptif sélectionné par les services sociaux, et homoparent marié) s'en tire bien. cette selection des services sociaux est ce qu'on a de mieux pour attester de la stabilité des parents.
et pour faire cette conclusion j'ai du fractionné le groupe homoparent en 2 groupes, avec de nouveau critère de sélection. l'etude me fournis les données.
(a ma connaissance) les études dites biaisé par la sélection font un peu la même chose. elles comparent un sous-groupe d'homoparent a un échantillons d'heteroparent représentatif. ce qui ''favorise les homoparents''.
sachant qu'un échantillon d'homoparent est biaisé, on peut(dans une certaine mesure) quand même interprété les résultats, si on en tien compte. la difficulté a trouvé en nombre des homoparent a sondé nous force a vivre avec cette imperfection dans les études. et a faire de prudente conclusion. s'est ce que montre bon nombre d’études avec un petit échantillons (trop petit pour etre représentatif) ou avec biais de sélection.
pour finir:
je pense que comparer les homoparents (de toutes sortes) au familles nucléaires est absurde. dans le sens que les nucleaires sont un sous-groupe d'un plus grand ensemble( ce qui est aussi un biais). comparons des familles stables avec des familles stables. (mais il faut en trouver)
j’espère vos commentaire.
