En gros, la science accepterai une preuve d'un effet extraordinaire si preuve était faite.
Mais si elle le fait, c'est que cet effet rentre dans le cadre épistémologique de la science.
Donc l'effet ne serait plus extraordinaire, ni immatériel...
Vue d'ici, ça fait un peu dogmatique...mais ce n'est pas un dogme, c'est plus une forme de credo, pas dans le sens religieux du terme, mais dans le but de délimité un cadre.
Ce "credo" est une essence qui permet au moteur d'avancée.
Il n'est pas dit qu'il n'existe pas une autre essence, mais ce moteur-là ne marche pas avec d'autre.
La seule chance pour la science d'accepter un truc extraordinaire serait d'accepter une forme d'axiome face à la pression "insupportable" que représenterai cet effet extraordinaire face aux subjectifs qui les perçois.
Comme la réalité matérielle, le matérialisme. Qui en fait est une forme d'assertion, un axiome.
Malheureusement pour les transcendantalistes, cette assertion est efficace pour comprendre nôtre monde et nous même car elle à permise l’apparition de la méthodologie scientifique.
Elles (l’assertion et la méthodologie) ne sont possiblement pas parfaite, elles ne répondent pas à toutes les questions, même les plus légitimes, elles n'on pas réponse à tout y compris si cela est factuel, mais elles sont les outils les plus efficaces qu'on connaisse pour se rapprocher de l'objectivité.
On n'accède à la vérité ainsi, mais pas à TOUTE la vérité, ni à LA vérité.
On évite aussi les logique internes, qui pas forcement idiotes (parfois même très poussées) n'apportent souvent que du vent à un moulin sans blé.
Je rêve qu'on découvre d'autres méthodes, mais je doute que ses autres méthodes puissent éviter les axiomes mieux que la science.
Car la science à réussit à prouver comme faux tout un tas de croyances issues d'autres écoles de pensées. Elles prenaient pour acquis des choses pourtant facilement vérifiable, c'est dire à quelle point c'était encrassé…on ne parle donc même plus d'axiomes mais de credo religieux cette fois-ci, de foi.
Alors ok, un axiome est une forme de "foi"…la science à "foi" au matériel.
Mais elle avoue aussi ne pas avoir accès à toute la réalité…alors ok, les religions non plus, elles disent que cette réalité immatériel existe (mais sans l'expliquer réellement).
D'ailleurs, c'est la ou séparer à coup de fronde religion/métaphysique et science/matérialisme est une erreur, du moins historique, amha.
Le pb est que les systèmes de pensés basés sur le transcendantale n'ayant aucune méthode de vérification sure (autre que l'expérience personnelle et le témoignage qui est difficilement ou pas une preuve) ne produisait que des fables. Fables qu'on évite grandement en acceptant la réalité de la matière et en testant la matière avec une méthode simple, logique et qui tente aux mieux (le plus possible) d'éliminer l'expérimentateur du résultat.
C'est tout, c'est plus efficace, point.
Pas parfait, juste mieux.
Ca dit pas que l'immatériel n'existe pas, ça dit que ça prend en compte que la matière car on pense que seulement cela existe.
Dire que l'immatériel n'existe pas demanderai une preuve.
Et dans un cadre scientifique c'est simplement impossible…on affirme donc pas, on considère la matière comme l'unique truc testable de manière sure.
Et pour le moment, rien n'indique que autre chose est plus sure en dehors des témoignages et des opinions.
Parcontre, Denis avait dit que des choses immatérielles existes en donnant un exemple des fractales…bon, ça se discute…il avait aussi laissé penser que d'autres choses immatérielles existait.
J'aimerais savoir quoi…
La discussion est ensuite partie sur le sujet de la conscience et de la pensée disant que le signal électrique était la pensée mais pas la "manifestation" et "l'observation" de celle-ci à travers la conscience.
En gros qu'on connaît le support de la pensée (électrique), mais pas la nature d'une (ou de la) pensée.
C'est un sujet qui pour moi reste difficile à rendre persuasif, peu importe si on est zozo ou zézé.
La conscience reste un problème moderne pour certains et pas pour d'autres.
Bref, revenons à nos moutons et à la science, sois disant outil de l'argent, oui, et non.
Il y à le problème du facteur humain, économique, et politique, qui influence la pratique de la science.
C'est un sujet qui me dépasse un peu, mais qui est sans doute une source de problèmes et qui ralentit possiblement la recherche ou qui l’accélère en fonction des besoins sociaux/économique.
Ceci-dit, un complot ou une "pression" de "castration de la recherche" est quasiment impossible de manière globale, trop de scientifiques sont sur Terre pour pouvoir contrôler toutes leurs recherches à travers un seul intérêt commun.
Trop d’intérêt divergent.
Et dixverges, c'est beaucoup
Ses diversifications des intérêts font "peur" aux politiciens et aux lecteurs de revus scientifiques.
Les scientifiques ne pensent pas tous pareils aux sain de cultures différentes ni n'utilisent la science avec les mêmes motivations, mais cette diversification pousse aussi la science à la remise en question et à une compétition, à un conflit sain :
Si tout le monde dans une salle n'a pas envie ni besoin ou n'a pas d’intérêt à "remettre en question" un acquis, alors on prend le risque de louper une connaissance plus précise voir même d'ignorer une observation par simple principe.
Ce problème peut parfois mener à un biais d'on la science souffre parfois, le biais de résistance (à la nouveauté notamment).
Et un biais de résistance n'est pas toujours un biais, il est parfois un combat contre la manipulation, on utilise souvent le joker du biais de résistance pour essayer de faire passer une idée pseudo-scientifique…Si des allumés n'essayait pas de mettre des bâtons dans les roues des scientifiques peut-être qu'ils seraient moins frileux aussi.
Bref, retour au sujet du facteur sociale…je me plais en tout cas à penser que la diversité est aussi un facteur d’évolution.
Mais à un moment, une influence (intéressée disons) est plus grande qu'une autre.
Heureusement, tous les scientifiques n'ont pas les même intérêts
mais tous doivent suivre la même méthode pour être des scientifique, et ce partout à travers le monde.
Ce qui est sacrement pratique pour éviter ce facteur humain (ou sociale, économique) d'influer sur les résultats d'une étude, justement.
Bien sûr, parfois on peut interpréter un seul résultat de différentes manières (et parfois il y à des influences sociales et économique derrière, ou personnelles/idéologiques), si c'est le cas le débat est bruyant, et il faut se battre, c'est le jeu...c'est pourquoi la liberté de donner son point de vue et si importante.
Mais parfois, la réponse n'est pas prémâchée...
La logique n'est pas que binaire, et parfois tout le monde peut avoir raison (plus ou moins mais pas forcément vrai vs faux…ça peut être 30%et80% etc etc etc).
C'est pour quoi on essaye de chercher les groupes d’intérêts derrière une étude et comment cela influe la recherche.
C'est pourquoi l’autorité est une ennemie de la science.
L'argent est un besoin, la recherche s'en passerait bien si elle pouvait...mais on travaille pas gratuitement dans ce monde et on n'a besoin de moyens pour faire des recherches.