C'est surement une des raisons effectivement ... je ne parlerai pas de "normes" sociales mais Paris est une ville hétérogène typée géographiquement en fonction du niveau social (réel ou supposé), de contingences culturelles, professionnelles et/ou économiques, touristiques.David Labrecque a écrit : [...] Peut-être ce genre de comportement disgracieux est-il lié à des normes sociales propres à certains arrondissements de la Ville-Lumière?
Pour ma part j'ai quelques expériences absolument opposées (quoique)
En fait, pour queluq'un qui, comme moi, a vécu quelques décenies à Paris avant de s'établir au Qc, ma premiére perception de la culture nord-américaine francophone fut que : la société Québécoise était très sexuée et trés machiste et que les mâles du coin étaient assez affolés à la vue (voire même à la simple évocation) d'une paire de seins (peut-être que certaines pratiques sur les pages européennes ont contribué à "calmer" notre libido). Au bout de pratiquement 13 ans ... je ne fais plus tellement attention à tout ca et lorsque je retourne en France, les comportements me paraissent ... "spéciaux" (etk fatiguants).
L'expérience que j'en tire c'est que nous ne nous rendons plus comptes des comportements qui nous sont habituels par contre ceux qui semblent sorir de l'ordinaire, de notre quotidien, deviennent encore plus prégnants (surout quand il s'agit de comportements pouvant être associés à une culture différente)
C'était la minute nostalgie de mon'onc Lulu.



 Bref, je ne peux pas me faire une idée des habitudes françaises en matière de regard porté sur le corps féminin à partir d'un échantillon aussi peu représentatif, d'autant plus que, comme vous l'avez si bien dit, «Paris est une ville hétérogène typée géographiquement». J'ai cependant vu que, dans les quartiers plus chics, la pression sociale était également très forte quant à l'habillement -- ne dit-on pas que Paris est la capitale de la mode? En tant qu'étranger de passage, certains détails m'ont sauté aux yeux : tendance au rouge à lèvres plutôt qu'au fard à paupières, souliers vernis et à talons hauts plutôt qu'espadrilles ou bottes, port généralisé du blouson de cuir à Saint-Germain-des-Prés, endémie caricaturale de foulards (pas dans le sens islamique du terme), dédain stylé de la bourgeoisie des Champs-Élysées, etc. Évidemment, j'ai une vision assez littéraire des choses et des gens, avec un goût prononcé pour le grotesque et la dérision (du moins, dans la représentation artistique), alors... je retiens surtout les éléments les plus susceptibles d'alimenter mes satires.
 Bref, je ne peux pas me faire une idée des habitudes françaises en matière de regard porté sur le corps féminin à partir d'un échantillon aussi peu représentatif, d'autant plus que, comme vous l'avez si bien dit, «Paris est une ville hétérogène typée géographiquement». J'ai cependant vu que, dans les quartiers plus chics, la pression sociale était également très forte quant à l'habillement -- ne dit-on pas que Paris est la capitale de la mode? En tant qu'étranger de passage, certains détails m'ont sauté aux yeux : tendance au rouge à lèvres plutôt qu'au fard à paupières, souliers vernis et à talons hauts plutôt qu'espadrilles ou bottes, port généralisé du blouson de cuir à Saint-Germain-des-Prés, endémie caricaturale de foulards (pas dans le sens islamique du terme), dédain stylé de la bourgeoisie des Champs-Élysées, etc. Évidemment, j'ai une vision assez littéraire des choses et des gens, avec un goût prononcé pour le grotesque et la dérision (du moins, dans la représentation artistique), alors... je retiens surtout les éléments les plus susceptibles d'alimenter mes satires.   
  Mais tout cela nous éloigne du sujet principal.
 Mais tout cela nous éloigne du sujet principal. 
 




 praedicator veridicus, inquisitor intrepidus, doctor egregius
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 Denis
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