Pepejul a écrit :produire soi-même --> ne pas consommer --> fermeture du magasin --> perte d'emploi --> destruction de richesse (moins de gens qui travaillent) : c'est faux ?
+1Talisker a écrit :Ahma, c'est faux. Si tout le monde passe un peu plus de temps dans son potager ça va juste changer la demande: plus d'arrosoirs, plus de pioches, plus d'eau, etc. L'employé(e) du supermarché ira chercher du travail à Bricorama. Sans compter que la gamme des produits qu'on peut faire soi-même est vachement limitée.
Pepejul a écrit :Consommer dans un magasin --> agrandissement du magasin --> embauche --> création de richesse (plus de gens qui travaillent) : c'est faux ?
+1Pepejul a écrit :Ahma, c'est faux. Si tu consommes un produit, tu n'en consommes pas un autre. Ton magasin préféré va peut-être s’agrandir, augmenter ses bénéfices, mais son concurrent fermera.
Je ne sais pas d'où tu sors que ça ne produit pas de richesse.Pepejul a écrit :C'est là qu'on voit les limites du point de vue économique à mon avis. L'éducation nationale ne produit pas de richesse économique*,
Je ne vois pas en quoi la façon de rémunérer change quoi que ce soit à la production de richesse.Pepejul a écrit :elle fournit un service non-marchand financé par nos impôts.
C'est plus difficile à évaluer. Mais on sait que c'est de la production de richesse.Pepejul a écrit :On ne peut pas évaluer la valeur de sa production.
Mais l'affirmation était que consommer produit de la richesse. Parlons donc de l'impact de trouver un 10$ à terre et d'aller chercher 6 bières avec. Qui a produit la bière?