J'aurais tout aussi bien pu intituler cette enfilade : De l’audace à en faire perdre l’âme, ou encore : Mais dans quelle tête j'ai bien pu foutre mon âme. J'ai zézité un petit moment

Quand j’ai lu cet article : http://www.parismatch.com/Actu/Sciences ... ans-679022, je me suis rappelée l’histoire du Dr Frankenstein.
Je cite un article du Figaro : http://sante.lefigaro.fr/actualite/2015 ... on-ethique: Nombreux sont les neurologues qui pensent, comme moi, que le cerveau n'est qu'un filtre, que la conscience est générée ailleurs», expliquait Sergio Canavero à Paris Matchen février. C'est l'une des questions éthiques soulevées par le projet «Heaven»: après l'opération, le patient fera-t-il sienne la phrase de Rimbaud «Je est un autre»?
L'appellation «greffe de tête» a certes le mérite de montrer que l'on ne greffe pas uniquement le cerveau. Mais le receveur étant celui dont est gardée la tête, il faudrait plutôt parler de «greffe de corps». Où se cache l'âme humaine? Et après l'opération, le patient restera-t-il lui-même ou sera-t-il un peu l'autre? »
D'après vous, ça va finir par réellement arriver. Imaginez-vous entrain de magasiner un corps ...
Soit il est très audacieux ou complètement fou ...
Quelque chose dans cette article a aussi attiré mon attention et c'est cette phrase : "Des transferts de souvenirs ont été observés à l’occasion d’une greffe de cœur !" Il n'y avait malheureusement pas d'autres références. J'aurais bien aimé en savoir un peu plus ...