LoutredeMer a écrit :Pepejul a écrit :Vos messages à répétition n'ont qu'un seul but : Faire remonter les messages oú votre refus de répondre est visible par tous.
M'enfin Pepejul tu es sérieux là?? tu ne te rends pas compte que c'est toi qui alimentes depuis plusieurs jours par tes réponses l'envahissement du forum par Adélaide, fil après fil (encore un nouveau aujourd'hui) (et tu n'es pas le seul) ?? Tu aimes tant que ca les paranoiaques schizoïdes incultes obsessionnels (lles) fouteurs de merde et désoeuvrés ?
(je vais me faire tuer là

)
Bha moi je fait ça parce-que jetait un " paranoiaque schizoïde inculte obsessionnel fouteur de merde et désoeuvré". Et le suis tjr un petit peu haha.
Déjà
Et aussi parce que on peu ne pas abandonner ses croyances tout en faisant preuve d'un peu plus d’honnêteté dans un échange et en s'informant sur ce qu'est la science sans s’arrêter sur certains acquis.
Je "croie" que c'est même la seule solution pour petit à petit abandonner ses croyances et les relayer à ce qu'elle sont : des hypothèses philosophiques ou simplement des idées même pas utile en art par exemple
Je "croie" qu'avoir la tète dure, c'est une qualité, car ça permet de ne pas gober n'importe quelles rhétoriques, même logique et pertinentes.
Le mieux est que cela permet aussi de préserver "l’indépendance" de ses pensées. En gros, cela permet de pas se plier à un truc sans le comprendre, juste parce-que c'est réel et/ou vrai.
Il est préférable d’adhérer qu'après compréhension. (d'après moi).
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Demi-HS sur des questions et une opinion épistémologique :
Certains proposent de différencier la science et la religion/métaphysique, et il on bien raison des qu'il s'agit de faire de la méthodologie et de montrer du fait.
Après, d'un point de vue plus "philosophique", on ne peut pas dire que l'une et l'autres sois fondamentalement différente.
Ce qui fait leur différences, c'est la méthodologie. Et le fait que la science, matérialiste, dispose donc de base solides pour tester le monde autrement que par le simple exercice de pensée et tout ce qu'il comporte approximatif et d'arbitraire (la science sais s'en défaire,
au mieux, lire Popper).
Mais cela ne veut pas dire que cet exercice de pensée n'existe pas.
Leurs objectif principale (science et métaphasique) reste sensiblement les mêmes : décrire le monde, puis donner des explications.
Un autre truc en commun, c'est la "foi"", attendez, ne me tapez pas dessus...
La fois religieuse est une croyance qui trouve des fondements que difficilement, ou plutôt, pas de fondement réaliste. Elle ne peu pas d’écrire le réel, même si elle peu en être la motivation pour le faire (mais en est incapable si derrière aucunes méthode rigoureuse n'est appliquée).
Le scientifique lui...pratiquant de la science, se doit bien de croire que la réalité est accessible par l'esprit humain pour avoir la motivation d'aller au boulot.
A quoi bon donner du sens à un possible chaos, a quoi bon chercher des connaissances si on ne pense pas qu'elles peuvent exister, sans en avoir la preuve ?
On se rend compte que le "sens" ne coule pas de source à première vue, amha seul l'humain donne un "sens" (pratique) à des descriptions de la réalité pour donner une compréhension de l'observation, le scientifique croie donc qu'il est positif de modéliser la réalité à travers un modèle descriptif, pour accéder à un savoir alors que ce qu'il décrit est possiblement chaotique et rien ne dit que le cerveaux humain peux en comprendre la nature réelle. Les théories sont donc modélisés à travers des outils qui leurs donne un aspect compréhensible (une forme "d'ordre") d'on l’existence n'est même pas une question qui se pose (concernant "l’ordre", qui est plus vue du coté des religieux), (amha).
Point appréhension du réel, sans réflexions humaine consciente.
Attention, je pense que le réel et tout ce qui existe existerait sans nous. Je dit juste que la modélisation théorique demeure indépendante de l'humanité et de la pensée, de ses limites.
Vous l'avez compris, cette "foi" n'a donc rien à voir avec une quelconque attente de résultats avant expérience, comme on pourrait s'y attendre chez des croyants fantasment leurs réalité.
C'est plus une forme de relativisme, trop relativiste, que j'aimerais "mentalement" faire cohabité avec une vision plus objectiviste sans corrompre cet objectivisme.
Ça me parait compliqué, je sais pas si c'est possible, et j'ai pas les compétences requises pour m'en sortir, c'est pour ça que je poste tout ça ici.
Pour finir, il ne faut pas mettre sur un piédestal la méthodologie scientifique, certes, elle permet une pratique forte utile : efficace et non discriminatoire (évitant l'arbitraire et des centaines de biais reconnues).
Ce qui n'est pas rien. Et au passage, que la métaphysique ne propose pas.
Mais on oublie aussi que la science avance parfois par chance et par tâtons, parfois elle teste un truc, et découvre un autre bidule.
Elle est aussi victime des aléas la pauvre Lucette.
Sur ce passage, je vacille un peu, mais il me semble qu'il serait intéressant d'en savoir plus sur la façon d'on les découvertes scientifiques nous arrivent et sur la façon d'on les modèles scientifique naissent.
Je ne sais pas si il y à une discipline pour ça, j'imagine que l’histoire des sciences s'en occupe.
La science, ne fait pas des athées ou des croyants.
Chacun peu y voir un courant d'air à sa propre porte. Certains scientifiques disent qu'il sont devenu athée grâce à la science, d'autre pensent renforcer leurs foi religieuse grâce à la science.
Tant que cela ne se retrouve pas dans le laboratoire et dans la théorie du type, afin de laisser le champ libre le plus possible aux faits descriptif les plus simples, c'est pas un problème en sois.
Je pense qu'on ne peu rien faire contre cet apport sociale de la science, qui dépasse donc son cadre descriptif.
Considérez ceci comme une opinion, un essaie, soumis ici à la critique.
Elle ne reflète pas la pensée de tout mes moments mais une opinion que je partage avec d'autres idées plus différentiables et strictes, or j'essaie justement de comprendre certaines frontières floues qui tournent autour des notions de croyances et de savoir.
Mais cela ne vous empêche pas de me taper sur la gueule

Encore une foi, désole pour mon accès de relativisme. J'essaye de le faire cohabité avec l'objectivisme, sans succès, alors que ma confiance quand à la description de la réalité vas vers l'objectivisme, mais je le sent aussi parfois trop prompt (peut-être à tort) à sa propre toute puissance dans la description du réel.
Vous comprendrez que le doigt que j'essaye de mettre sur cette frontière que je voie floue, ne veut pas dire que je considère les deux activités comme identique ou égales en termes de résultats et d'applications pratiques (c'est définitivement pas le cas). Ni même que ses frontières sois vraiment flouent (au quelle cas je suis à l'ouest)
Quand je dit "frontière floues entre croyances et savoir", je ne parle pas des cercles du modèle de la connaissance par Platon (même si l'influence est la).
Pour 2 raison :
- l'objectivité scientifique ne garantie pas sa perfection et l'accès à la Vérité, mais une approche aux mieux (voir Popper)
- Je différencie la science du scientifique, tout en essayant de voir ou cette limite s'estompe épistémologiquement (voir Platon, mais pas trop

)
J'ai conscience de ne pas être très cultivé ni avoir les compétences requises pour tout ça...mais c'est plus fort que moi de vouloir me construire une opinion avec ce que j'ai.
Je suis pas comme les Anglais
Et si je suis à l'ouest...bha...c'est chiant, mais bon, j'ai d'autres slips de rechange
