Moi non plus, je te rassuresPooh a écrit : Je n'ai pas la prétention de connaître le sujet de façon approfondi.

Pooh a écrit :je sais que je suis dans la cours des grands
Je n'en fais pas partie...

Moi non plus, je te rassuresPooh a écrit : Je n'ai pas la prétention de connaître le sujet de façon approfondi.
Pooh a écrit :je sais que je suis dans la cours des grands
Pooh a écrit :Vous m'avez détordu/démêler/ rafraîchi la mémoire sur le pays responsable du 11/09
L'échange fut fructueux et intéressant pour moi.
Pour cela, je vous la laisse la cours des grands.
Peace !
J'oubliais :
Je n'ai pas dit que l'Afghanistan était le pays "responsable" du 11/09.Pooh a écrit :Vous m'avez détordu/démêler/ rafraîchi la mémoire sur le pays responsable du 11/09
Sachant que maintenant l'Arabie Saoudite combat l'EI et donc fait partie de nos alliers dans cette lutte...plus rien n'est clair.Christian a écrit : Compliqué, n'est-ce pas?
En 1996, alors que le couple Charles et Diana vient tout juste de divorcer, Diana est submergée de gigantesques bouquets de fleurs envoyés par Donald Trump. Dans une interview accordée au Sunday Times, la présentatrice confie ainsi : « Il a bombardé Diana de bouquets de fleurs plus grands les uns que les autres, qu’il faisait parvenir à Kensington Palace. Chacun d’entre eux lui coûtait une fortune. Pour lui, Diana représentait la femme trophée ultime ». Avant de poursuivre : « Les roses et les orchidées ont commencé à s’empiler dans son appartement et elle se demandait ce qu’elle devait faire. Elle a commencé à avoir l’impression qu’il la harcelait. Je lui ai donc conseillé de tout jeter à la poubelle et Diana en a rigolé ».
Il était peut-être jaloux d'Aristote Onassis qui s'était "payé" la veuve de Kennedy.Pour lui, Diana représentait la femme trophée ultime.
Oui mais ce genre de discours flatte et rassure les simplets : ils ont ainsi l'impression qu'un papa virtuel très viril approuve leur analyse sommaire de l'état du Monde, leur mépris profond pour le reste de l'humanité, partage leurs angoisses existentielles et va les faire miraculeusement disparaître en deux coups de cuillères à pot.Lambert85 a écrit :Bref, ce n'est pas à coup de "y'a cas y foutre des bombes" qu'on résoudra tous les problèmes.
Dire qu'on a passé à un poil d'une guerre nucléaire qui aurait pu faire des dizaines de millions de morts, pour contrer un système qui allait s'effondrer sur lui même 25 ans plus tard.lefauve a écrit :J'ai beaucoup réfléchi et je regarde Donald Trump allé et je remets en question certaine interprétations de la fin de la guerre froide.
La question que je me pose est si l'ouest à vraiment gagné la guerre froid, ou elle ne l'a tout simplement pas perdu. Dans le sens où oui l'Urss c'est effondré. Mais l'ouest n'en n'est pas la cause mais les causes réel était d'ordre structurel à l'intérieur du système communiste. Bien sûr. Sur le moment et sous la propagande de la guerre froide le monde s'est dit qu'étant donné que le communiste s'est effondré le capitaliste est le seul système viable. Mais ce raisonnement m'a toujours bogué, je le trouvais beaucoup trop simpliste et personne ne s'est vraiment donner la peine d'analysé la chute de l'Urss. Hors, aujourd'hui, mes doutes semble se confirmé, si je me fie aux dernier sondage, Donald Trump est en train d'acheter littéralement la présidence.
Pauvre démocratie
Comme ils disent en anglais: hindsight is 20-20.Invité a écrit : Dire qu'on a passé à un poil d'une guerre nucléaire qui aurait pu faire des dizaines de millions de morts, pour contrer un système qui allait s'effondrer sur lui même 25 ans plus tard.
Allo la géopolitique.
I.
Je ne parle pas du déroulement de la guerre froide mais de sa fin. Je sais très bien que la guerre froide à été plutôt chaude lors de la crise des missiles de cuba. Pour faire une comparaison, c'est gagner une course à cause que son seul adversaire s'est tapper une crise cardiaque en plein millieux du parcours. Le gagnant n'a pas gagner à cause qu'était le plus rapide mais à cause d'un malaise de son rival.Invité a écrit :Dire qu'on a passé à un poil d'une guerre nucléaire qui aurait pu faire des dizaines de millions de morts, pour contrer un système qui allait s'effondrer sur lui même 25 ans plus tard.lefauve a écrit :J'ai beaucoup réfléchi et je regarde Donald Trump allé et je remets en question certaine interprétations de la fin de la guerre froide.
La question que je me pose est si l'ouest à vraiment gagné la guerre froid, ou elle ne l'a tout simplement pas perdu. Dans le sens où oui l'Urss c'est effondré. Mais l'ouest n'en n'est pas la cause mais les causes réel était d'ordre structurel à l'intérieur du système communiste. Bien sûr. Sur le moment et sous la propagande de la guerre froide le monde s'est dit qu'étant donné que le communiste s'est effondré le capitaliste est le seul système viable. Mais ce raisonnement m'a toujours bogué, je le trouvais beaucoup trop simpliste et personne ne s'est vraiment donner la peine d'analysé la chute de l'Urss. Hors, aujourd'hui, mes doutes semble se confirmé, si je me fie aux dernier sondage, Donald Trump est en train d'acheter littéralement la présidence.
Pauvre démocratie
Allo la géopolitique.
Mon bref point c'était juste que la géopolitique c'est beaucoup du "guessing" qu'on nous vend comme une science prédictive. Des dirigeants sont prêt à risquer une catastrophe (à laquelle ils ont eux, de bonne chance d'échapper) alors que souvent (pas toujours bien sûr) l'ennemi s'effondre sous le poids de ses contradictions.lefauve a écrit :Je ne parle pas du déroulement de la guerre froide mais de sa fin.
Oui et non,Invité a écrit : Mon bref point c'était juste que la géopolitique c'est beaucoup du "guessing" qu'on nous vend comme une science prédictive. Des dirigeants sont prêt à risquer une catastrophe (à laquelle ils ont eux, de bonne chance d'échapper) alors que souvent (pas toujours bien sûr) l'ennemi s'effondre sous le poids de ses contradictions.
I.
Je pense que tu comprends que ce que je soulève ce sont les décisions qui peuvent mettre en péril l'avenir de l'humanité, comme une guerre nucléaire ou mondiale, pas les aléas ou soubresauts de l'économie.lefauve a écrit :Oui et non,
La géopolitique c'est un peu comme la météo. On peu prédire assez précisément à cours termes mais plus on s'éloingne plus les change de se trompé sont grande.
Toutefois, il y a des principes qui sont prévisible sur le long terme. Comme le principe que l'économie canadiennes varie en fonction du coup du barils de pétrole est là pour encore longtemps. Le syndrome hollandais est aussi un principe qui va durée longtemps.
Oui, c'est un peu la thèse du livre "Random Walk on WallStreet" de Burton G. Malkiel qui en parle mais surtout dans l'optique des prévisions boursières à partir de l'analyse technique (les graphiques). Ceux qui utilisent encore ça sont un peu les zozos de la finance.lau'jik a écrit :@ invité
ça me fait penser à un truc que j'ai lu sur les prédictions économiques qui ne font pas mieux que le hasard.
(ce n'était pas celui-ci mais ici un article qui en parle)
Oui je comprend, toutefois garde en tête que les guerres, les révolutions et etc ont la plus part du temps des motifs d'ordre économique et(ou) et(ou) d'accès aux ressources et(ou) religieux.Invité a écrit :lefauve a écrit : Je pense que tu comprends que ce que je soulève ce sont les décisions qui peuvent mettre en péril l'avenir de l'humanité, comme une guerre nucléaire ou mondiale, pas les aléas ou soubresauts de l'économie.
I.
Pouvez-vous étayez cette affirmation avec des preuves? C'est plutôt la Chine qui a eut la plus grosse part du gâteau.lefauve a écrit :La guerre en Irak a eut pour but de prendre le contrôle du pétrole.
The U.S. imports from Iraq of crude oil in 2012 were less in volume in comparison before the invasion. For example in the 2002, the United States imported from Iraq 485 thousand barrels of crude oil per day (bpd), while the figure from China was almost zero. However, in 2012, America imported 473 bpd of crude oil; in comparison the volume of China’s total imports from Iraq hit about 315 bpd. (b) The first oil license awarded by Iraq’s government after the U.S.-led invasion was to state-run China National Petroleum Corp. (CNPC) who won a US $ 3.5 billion development contract for Iraqi oil field Al-Ahdab in November 2008
de mémoire... la chine a négocier une part du pétrole irakien en échange de son appui au conseil de sécurité de l' ONU.Pardalis a écrit :Pouvez-vous étayez cette affirmation avec des preuves? C'est plutôt la Chine qui a eut la plus grosse part du gâteau.lefauve a écrit :La guerre en Irak a eut pour but de prendre le contrôle du pétrole.
http://english.alarabiya.net/en/views/2 ... a-War.html
The U.S. imports from Iraq of crude oil in 2012 were less in volume in comparison before the invasion. For example in the 2002, the United States imported from Iraq 485 thousand barrels of crude oil per day (bpd), while the figure from China was almost zero. However, in 2012, America imported 473 bpd of crude oil; in comparison the volume of China’s total imports from Iraq hit about 315 bpd. (b) The first oil license awarded by Iraq’s government after the U.S.-led invasion was to state-run China National Petroleum Corp. (CNPC) who won a US $ 3.5 billion development contract for Iraqi oil field Al-Ahdab in November 2008
http://www.cnpc.com.cn/en/Iraq/country_index.shtmlCNPC in Iraq
CNPC commenced oil negotiation with Iraq since 1997 and signed a service contract on the development of Al-Ahdab Oilfield with the Iraq's Ministry of Oil in November 2008. CNPC also provides oilfield services in the country.
In June 1997, Al-waha Petroleum Co., Ltd, a joint venture of CNPC and China North Industries Corporation, signed an agreement with Iraq's Saddam Hussein government to develop the al-Ahdab oil field, which was postponed by the UN sanctions on Iraq and the following U.S.-led invasion to the oil-rich state. In November 2008, CNPC signed a Development Service Contract of Al-Ahdab Oilfield with Iraq's Ministry of Oil.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Chronolog ... k#Mai_2003Jeudi 22 mai 2003 : le Conseil de sécurité de l’ONU vote la résolution 1483, présentée par les gouvernements des États-Unis et du Royaume-Uni, qui lève les sanctions contre l’Irak, entérine la prise de contrôle du pays, l’exploitation de ses ressources pétrolières par la principale puissance occupante dénommée « autorité ») et associe l’ONU à l’organisation et à la mise en place d’un processus politique devant déboucher sur des élections et sur la formation d’un gouvernement; la résolution 1483 du Conseil de Sécurité de l’ONU autorise la constitution d’un gouvernement de transition en Irak, le Coalition Provisional Authority.
http://www.un.org/press/fr/2003/CS2538.doc.htmM. WANG GUANGYA (Chine) s’est félicité de l’adoption de la présente résolution dans la mesure où la Chine a toujours estimé que les Nations Unies devraient jouer un rôle efficace en Iraq. Nous appuyons l’établissement de la Mission d’assistance des Nations Unies en Iraq (MANUI) le plus rapidement possible. La Chine se félicite en outre de la mise en place du Conseil de gouvernement de l’Iraq, le 13 juillet 2003.
Si je fie à cette article ici. c'était bien le but initial. Que la chine leur ait jouer un tours de Real Politik aux anglais et aux américain est autre choses.Pardalis a écrit : Pouvez-vous étayez cette affirmation avec des preuves?
Par ailleur, je vois mal quelle autre motivation pourrait-il avoir.The papers, revealed here for the first time, raise new questions over Britain's involvement in the war, which had divided Tony Blair's cabinet and was voted through only after his claims that Saddam Hussein had weapons of mass destruction.
The minutes of a series of meetings between ministers and senior oil executives are at odds with the public denials of self-interest from oil companies and Western governments at the time.
The documents were not offered as evidence in the ongoing Chilcot Inquiry into the UK's involvement in the Iraq war. In March 2003, just before Britain went to war, Shell denounced reports that it had held talks with Downing Street about Iraqi oil as "highly inaccurate". BP denied that it had any "strategic interest" in Iraq, while Tony Blair described "the oil conspiracy theory" as "the most absurd".
But documents from October and November the previous year paint a very different picture.
Five months before the March 2003 invasion, Baroness Symons, then the Trade Minister, told BP that the Government believed British energy firms should be given a share of Iraq's enormous oil and gas reserves as a reward for Tony Blair's military commitment to US plans for regime change.
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