"Les neurosciences rejettent le dualisme matière/esprit des religions"
"donc rejettent aussi une conception du libre arbitre qui aurait sa source en une entité immatérielle"
Je suis d'accord avec Jean7
sur ce point (citation).
C'est une "presque" pétition de principe, on rejette le dualisme religieux (ça parait logique en science), DONC la conception du libre arbitre "immatériel"...
Bha...oui ?! Ça me parait logique
Mais qui dit que ce "libre arbitre", si il existe, à une source immatériel ? Pourquoi cette phrase implique dans son énoncé la partie "anti-religieuse" du concept ?
Le reste de l'article est parfois teinté de philosophie...moi j'aime ça

...mais on parle neuroscience.
Le déterminisme à 100% tend vers une dé-responsabilité des individus, il peu se dédouané des choix...en societé et en pratique, c'est impossible à appliquer.
En théorie, c'est plus intéressant.
Car on à bien souvent le choix avant de faire une connerie par exemple...On peu dire "non". Ou tiré à la courte paille...laissé le choix au hasard, et ainssi court-circuité le déterminisme social ou personnel. Mais alors, il devient physique (lois physiques, liée aux hasard avant le choix), sciences dures.
Mais dans le monde microscopique, doit t’ont le mettre de coté sous prétexte qu'il ne nous atteint pas et n'a pas d'effet sur nous ?
On y est poussé (à la connerie prise pour exemple) par tout un tas de facteurs environnementaux et psycho/biologique. Science molle.
Quelle sont leurs relations à toutes ses sciences
sur ce sujet ?
sais on répondre à cette question ?
Le "libre arbitre" à 100% quand à lui tend vers une responsabilité total de l'individu, sois disant en contrôle totale et plus fort que la pression de l'environement (superman quoi...), ce qui est une chimère. L'individu n'est pas tout puissant.
Mais je ne sais pas si il est à 100% impuissant.
C'est mon opinion, je suis pas spécialiste.
Mais je pense que ce genre de d’étude on de fort risques d’être biaisées par les valeurs.
Entre ceux qui "veulent" que l'individu sois 100% responsable de lui, ou 0% responsable...l’enjeu est clairement dirigé sur les valeurs et le
jugement.
On y trouve aussi cela :
Les efforts requis pour faire face à des problèmes matériels de base
épuisent les capacités mentales des personnes pauvres, leur laissant peu d’énergie cognitive pour se consacrer à leur formation
ou leur éducation, souligne une étude publiée jeudi aux États
-
Unis.
Oui, probablement, mais c'est aussi surement symptomatique dans nos sociétés + ou - compétitives et axées sur le confort (j'ai rien contre attention...), qu'en est t'il des "pauvres" qui méditent tte la journée et ne veulent même pas d'argent ?
Ou de ceux qui malgré la pauvreté et la pression sociale arrivent à garder du temps pour reflechir et s'instruire ?
Ils n'existent pas c'est gens la ?
Cette phrase est mal choisie.
Le PDF est bien, il décrit une réalité je pense, mais ne présente trop souvent qu'un coté de la médaille quand il part dans des exemples (lourds et mal choisies à mon gout)...
Bref, Je croie que si on comprenais TOUT les facteurs qui résultent d'une décision, on pourrait appeler au déterminisme.
Or, la psychologie/biologie humaine, face à des problemes, face à un environement changeant sans cesse, n'est jamais la même.
Imaginons qu'on change uniquement le facteur temps T : le facteur chimie, ou même n'importe le quel sur des milliards changera donc avec.
Et le choix sera possiblement différent, ou le même. Si il est réduit à deux choix par exemple...choix réduit.
Je ne croie pas trop au libre arbitre, mais le déterminisme ne peu être stable et connue (amha).
On reste déterministe, mais de quel déterminisme on parle ici ? Il est à peine étudiable.
Et étudier tout cela, sans une bonne dose d'ontologie (de philo) me parait complexe.
Encore une fois, les enjeux sont trop axés sur les valeurs, le jugement de l'individu,
voir son rôle de responsabilité civile face à ses actes.
De quoi biaisé son jugement.
Je suis pourtant, habituellement, un partisan de la de-responsabilité de l'individu, du déterminisme, et du manque de pouvoir des gens sur eux-même et leurs vies, leurs choix.
Tout est mélangé, le déterminisme causé par les lois de la physique, et le déterminisme psychologique, sociale, environnementale (psycho)...en passant par la bio.
A un certain point, cela me semble impossible de se débarrasser à 100% de l’ontologie et de la philo.
On peu aussi parlé du paradoxe d’étudier le déterminisme, si tout est déterminé...l’étudier pour savoir si il existe ou pas n'a pas de sens.
C'est comme si on tentait de savoir si le matériel est seul existant avec des outils matériel...en gros, on dépasse ici le cadre de la science.
Autre paradoxe : comme tout est si déterministe, et que la pression sociale nous pousse vers un non-choix, alors comment savoir si l’étude n'est pas biaisé par la pression environnementale ?
Quels outils propose t’ont pour le voir ?
La science est déterministe, elle n'a pas besoin de le prouver (axiome ?), car ça dépasse son cadre épistémologique.
C'est comme quand Hawking, essaye de "prouver" l’inexistence de Dieu...ça se vend en livre, mais ça en fait pas une théorie scientifique...c'est pas le rôle d'une théorie...
C'est épistémologiquement hors-sujet.
Ensuite, prouver le déterminisme doit s’appuyer
aussi sur une étude de conditions identiques...or des conditions identiques existent telles ?
J'en doute. Je pense que non.
Mais cela ne veut pas dire que le déterminisme n'existe pas (mais alors pas du tout), ça limite juste son étude à des conditions finies, dans une infinité de changements qu'on ne pas étudier...
Après, ça dépend de quelles science on parle, et à quelle échelle...ou ce place le déterminisme ? Comment observer des choses possiblement déterminés mais en apparence chaotiques ?
Ou placer le déterministe à l’échelle microscopique ?
Pourquoi le PDF ne parle pas du déterminisme à cette échelle ?
Pourquoi le PDF ne parle pas du déterminisme religieux ?
Le déterminisme en religion est tout aussi important (voir plus) que le LA ("donné au humain").
Le déterminisme en religion décrit l'univers, connue par "Dieu", ou tout est "ecrit à l'avance".
Le LA ne parle surtout du systeme de valeur du croyant puis de son influence.
La religion ("grands" monothéismes du moins) parle déjà d'une relation complexe entre le LA et le déterminisme.
Ce PDF n'en parle pas...c'est dommage.
Il me semble aussi que les Grecs avait déjà pensé à tout ça avant.
Ce PDF aurait pu mettre à plat (démolir) le concept de déterminisme religieux,
qui existe.
Il ne le fait pas. Dommage.
A part ça, il est pas mal

...je critique mais il est très interessant, et (trop?) simple
