Mireille a écrit :Comment explique-t-on en biologie notre potentiel à pouvoir agir ?
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Pourquoi ne peut-on voir l’esprit comme un potentiel utilisant toutes nos facultés disponibles pour expérimenter la vie dans cet élan de volonté qui nous est propre ?
Concernant la 2e question: on peut le faire (i.e., "voir l'esprit..."). Ce n'est pas un questionnement scientifique mais de la spéculation métaphysique*, ça ne permet pas de trouver la moindre réponse ni même de structurer une réflexion véritablement rationnelle... mais on peut le faire. D'ailleurs, tu le fais.
En biologie, et en science en général, si on veut obtenir des réponses à des questions on s'arrange pour trouver des questions précises** et non des trucs à base de terminologie ultra-floue (tendance zozofiante). Un "potentiel à pouvoir agir" c'est rien de compréhensible. Alors si tu veux une réponse à ta première question, reformule-là de manière à la rendre intelligible. Autrement la réponse la plus valable restera: la biologie n'explique pas les machins métaphysiques.
Toujours à mon avis, ceux qui tenteraient des réponses à ta question commettraient une erreur importante: celle de croire que ta question à une signification véritable, intrinsèque. Mais si ta question à une signification, c'est celle que tes interlocuteurs y placent (et pas toi, parce que ta terminologie est juste floue, vague, brumeuse, etc.)... ce qui veut dire qu'ils ne répondent pas vraiment à ta question car ils compensent pour son absence de signification véritable.
Note que je n'ai pas regardé ta vidéo vu que ce n'était pas nécessaire.
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Mireille a écrit :unptitgab a écrit :l'esprit non pas comme une cause, mais comme un effet
L’esprit représente l’ensemble de nos capacités. Le considérer comme un effet, c’est dire que le corps de ton poisson rouge est un effet de ce qui le constitue, ça n’a pas de sens.
Effectivement,
ta manière de présenter les choses ne fait pas de sens. Ton obstination à employer une terminologie floue, vague, brumeuse, ... ne le permet pas vraiment.
D'ailleurs c'est assez clair si on remplace "effet" par "cause" dans ta phrase:
"Le considérer comme [une cause], c’est dire que le corps de ton poisson rouge est [une cause] de ce qui le constitue, ça n’a pas de sens."
La manière dont tu présentes les choses ne permet aucune réponse sensée. Mais c'est ta manière, pas la nôtre.
Ajout: je ne savais pas que pisser était une partie de l'esprit (i.e., "l'ensemble de nos capacités"). On en apprend tous les jours
Jean-François
* Parfaitement stérile, à mon avis.
** Ce qui demande qu'on accorde la priorité à ce qui est, ce qui tient de la biologie, et non aux "machins" spéculatifs, surtout mâtinés de superstitieux. C'est pas mal ce que je disais dans un propos récent que tu as dû oublier dès que tu as fini de le lire:
"Ce que j'essaie de te faire comprendre par ailleurs c'est comment on peut procéder rationnellement pour approcher des problèmes complexes. En étudiant et mettant en évidence des faits plutôt qu'invoquer des trucs invérifiables comme une "substance-mentale-immatérielle" indissociable d'un "machin-dont-on-ne-connait-rien-mais-qui-influencerait-la-matière-par-physique-magico-quantique"."