lionel62 a écrit :Sur ce que je vois, vous basez ces certitudes sur un très faible nombre de communications. Qu'est ce qui vous fait donner plus de poids à ces quelques données par rapport aux résultats beaucoup plus nombreux qui ne vont pas dans ce sens ?
Lionel, tu demandes "Qu'est ce qui vous fait donner plus de poids à ces quelques données par rapport aux résultats beaucoup plus nombreux qui ne vont pas dans ce sens ?"
Alors qu’avons-nous !
Du côté des réchauffistes-catastrophistes nous avons
une centaine de modèles qui ne rendent pas compte de la réalité.
Les différents modèles retenus par le GIEC ne prennent pas en compte l’influence des rayons cosmiques sur l’influence de la température. (cf, rapport du GIEC page 82/222 – FAQ 10.1)
Nous avons
le CERN, avec son projet CLOUD, qui démontre que les rayons cosmiques ont une influence sur le climat par l’entremise d’aérosols troposphériques.
A cet effet, le GIEC reconnaît que la formation des aérosols troposphériques est l’une des plus grande incertitudes de leurs modèles.
Lohle et al., avec son modèle basé sur les cycles solaires, prennent en compte la totalité des effets du soleil (lumière et rayons cosmiques) conséquemment l’influence des aérosols troposphériques sur le climat.
Contrairement aux modèles du GIEC, leur modèle rende comptes de la réalité en expliquant les hausses comme les phases plateaux des 100 dernières années. D’ailleurs, ils ont réussi une prédiction juste des 5 dernières années de l’évolution du climat avec leur modèle, ce que les modèles du GIEC sont évidemment incapables de faire.
La différence majeure entre les modèles du GIEC et celui de Lohle est justement l’influence, dans sa globalité, du soleil. De ce fait, il en tire la conclusion que le RCA est un phénomène réel et non négligeable d’une ampleur comparable à celui du Soleil. Ce qui m’apparaît une conclusion beaucoup plus raisonnable que l’hypothèse que le RCA est LA principale cause. Rappelons que le GIEC à statué que le soleil à une influence négligeable (+ 0.05 oC -GIEC p.14) sur le climat.
Alors, une attitude scientifique veut que l’on cherche à comprendre. Lorsque le premier réflexe est de discréditer l’auteur, plutôt que de chercher à comprendre le message en toute objectivité, ce n’est pas une attitude très productive. Le problème avec les sceptiques du Québec et certains réchauffistes-catastrophistes c’est qu’ils sont convaincu de détenir la vérité. Or, chaque éléments qui vient remettre en cause leur vérité, déclenche un mécanisme mental fort de défense afin réduire un état de tension ou d’inconfort mental. Ce processus est inconscient et s'appel la
dissonance cognitive. Ils appliqueront systématiquement l’une des 3 stratégies suivantes. Généralement, la 2e, la 3e ou les deux à la fois.
Festinger affirmait qu’on pouvait réagir à une dissonance cognitive de trois façons différentes, qu’il ne considérait pas mutuellement exclusives.
1. On peut tenter de changer une ou davantage de ses croyances, opinions ou comportements dissonants.
2. On peut tenter d’acquérir de nouvelles informations ou croyances qui vont intensifier la consonance existante, et ainsi réduire la dissonance totale.
3. On peut tenter d’oublier ou de réduire l’importance des cognitions entrées en dissonance (Festinger 1956, p. 25-26).
https://www.sceptiques.qc.ca/dictionnai ... nance.html
Je termine ici en soulignant ma déception vis-à-vis ce regroupement qui se dit sceptique mais qui, en réalité, ne font que retenir leur information en fonction de leur source plutôt que de leur plausibilité - un gouvernement, un organisme officiel ne ment jamais, même lorsque des milliers de milliards de dollars sont en jeux.
