Non mais une immigration qu'on est pas parvenu à intégrer a abouti à des zones de non-droits de plus en plus grandes et la crise migratoire actuelle aboutira a des résultat bien pire encore avec tensions ethniques et destabilisations sociales à la clé. Je crois que vous ne dites vous-mêmes pas le contraire, Dés lors pourquoi ne pas admettre cette si désagréable mais néanmoins très probable vérité, l'immigration massive qui s'est mis en place menace les sociétés d'accueil si elle se poursuit?
En faite il faudrait déjà voir ce que sont des zones de non-droits et pourquoi se focaliser la dessus en particulier.
Comme déjà dit, proportionnellement, je ne sais pas si cette population enfreins plus la lois ou des règles de "bon vivre"
(comme par exemple, acheter sur des plateformes d'achat sans taxes empire la crise) plus que la population lambda.
Pour moi, la peur de l’étranger est un danger tout aussi important que le rejet e les crises identitaire.
Elle en sont d’ailleurs un des moteurs.
Entre un jeune paumé de banlieue est un type qui vote extrême-droite, on à le droit à deux personne qui veulent faire péter le même pont.
J'admet que ce que d'on tu parle est un problème qui peu devenir grave.
Or il ne vient ni seul, ni n'est le seul problème.
Non le problème sera des clashs identitaires et culturels sur fond de paupérisation économiques et de radicalisations politiques et idéologiques tout azimut, la scénario cauchemardesque certes mais tout à fait plausible.
Le pire des scénario serait une sorte de guerre civile en cas de crise qui s'empire.
Il y aurait de gros problème identitaires.
Mais qui nous dit que le plus gros de la revendication ne serait pas un conflit entre les classes sociales qui se creusent ? Les identitaire creuseront dans la plaie. Certes.
Sauf que parmi les personnes en difficultés, la majorité demeureront de la même culture que le pays...
Si ce n'est que ce communautarisme est aggravé car non plus seulement économique mais également culturel et génère divers tensions ethniques. Le fait culturel favorisant encore davantage le communautarisme car naturellement on préfère s'installer près de gens qui partagent notre langue, nos coutumes et nos habitus sociaux voir religieux.
Certes mais encore une fois les facteurs culturels et identitaires et culturels sont particulièrement puissants et aggravant.
Oui je suis d'accord.
Encore une fois personne ici ne dit le contraire, mais répéter que ce n'est pas le seul facteur ne change rien au caractère probablement prépondérant de la dimension culturel de la crise migratoire en question, facteur culturel sur fond de déséquilibre démographiques et de basculement démographique dans certaines villes.
C'est parler de ce problèmes comme étant un problème centrale qui "m’énerve", sur fond de crise etc.
Les gens préfèrent parler des étrangers qui viennent prendre leurs argent plutôt que de l'argent que leurs voisin ne payent pas sur Amazon et d'ont l'Etat (qu'ils veulent pourtant sauvegarder) ne verra pas la couleur des taxes...ou de rester dans leurs entreprise malgré qu'elle s’évade fiscalement...etc...
Je veut bien parler des étrangers...car je pense comme toi que l'immigration durant une période chômage peut être problématique.
Mais ça reste à voir sur d'autres critères que celui de l'identité.
Qu'en savons nous réellement ? Du ratio bon/mauvais ?
La crise amplifie les crises identitaires, et croire que c'est un phénomène qui vient surtout de l’extérieur du pays (des étrangers) est une grave erreur. C'est un problème complet.
On peut douté mais je ne pense pas que l'on peut raisonnablement continué la politique migratoire actuelle sous prétexte qu'une catastrophe n'est pas sûr comme on dit mieux vaut prévenir que guérir.
C'est un raisonnement compliqué.
Entre raisonnable et pante glissante. Le même problème se pose en écologie...Et il est exagéré est destructeur dans les deux sens.
C'est la PEUR qui contrôle.
Entre ceux qui veulent stopper l’économie et la consommation et ceux qui en on rien à fiche de la nature...rien ne me plait, les deux me font bien plus peur que la réalité...
Au milieux ya des gens qui existent...et ils sont majoritaires, malgré qu'ils soit peu bruyants.
Donc : ça dépens
comment tu veut prévenir.
On fait quoi ?
Oublie cette formule simpliste, ce n'est pas l'étranger mais une immigration massive de gens aux cultures et mentalités souvent incompatibles avec les sociétés d'accueil et une société d'accueil elle-même incapable de les intégrer économiquement et de les acculturer suffisamment.
Pour finir, si demain la crise s'empire, est que des guerres civiles éclates, avec des fonds de communautarise violent.
Il faut savoir que c'est pas les problèmes identitaires des étrangers ou l'immigration massive qui en serait responsable, malgré les conflits de classes ou de culture qui en donnerait l'impression aux idéologues.
La crise est bien encrée, et elle à des raisons bien plus variées que cela de l’être.
Là tu changes de sujet je vais donc m'arrêter là et ce malgré tout le mal que je pense également de la finance internationales et de ces magouilles hautement délétère pour une large part de l'humanité.
C'est la ou je veut en venir

On ne peut pas utiliser l'immigration pour parler des problèmes actuels, car elle est un facteur noyé dans pleins d'autres.
Sont problème principale est d’être d'actualité dans une période d'attentats majeurs et de tensions idéologiques.
Ça ne veut pas dire qu'il ne faille pas traiter et parler du problème et des problèmes ! Il faut.
Ça veut "juste" dire que le faire demande de relativiser son poids par rapport à la réalité.
Or dans nos discours, rien ne vient démontrer le poids du problème...
On échange des idées, mais rien d'autres.
Quand à la finance internationale, elle à sont lot de bonne choses.
Elle permet à plusieurs peuples d’échanger et de se lier économiquement,
et de se rapprocher culturellement.
Elle permet l'accès a des biens de manières rapide et de développer l’économie et les services entre plusieurs types de richesses différentes.
Elle est une des raisons qui explique de la période paix actuelle sur la planète.
La mondialisation pose des problèmes, mais apporte aussi sont lot de positif.
Il serait une erreur par exemple de nuire à l’existence du business internationale à cause des "graves" problèmes qu'elle cause.
Il faudrait traiter c'est problèmes sans forcement jeter le bébé avec l'eau du bain.
Chose trop souvent évoqué par les discours touchant au politique, écologie, et économie.
A Tanto
