Il multiplie les sources d'erreur mais de ne pas distinguer la portion physique de la portion physiologique de la vision en est bien une. On peut toutefois difficilement dire qu'il comprend vraiment la physique vue la manière dont il s'obstine à penser que sa remarque sur la disparition de l'éclair à la moindre importance ou lorsqu'il prétend qu'on "devrait exister à l'endroit où sont les choses qu'on voit pour pouvoir les voir"*.drzinn a écrit :Je crois que j'ai compris (ah le péché d'orgueil !), l'erreur de Zaber n'est pas due à une incompréhension de la physique mais de la physiologie
Ce qui est vraiment pathétique, c'est que zaber semble l'admettre**. Sauf qu'il se retranche dans des histoires de "sensations externes" et autres "voir en-dehors de son système visuel", qui ne servent qu'à entretenir sa confusion et à refuser avec entêtement qu'on lui explique ce qu'il ne comprend pas.Ce que l'on voit est une interprétation du monde extérieur faite par le cerveau en fonction des stimuli reçus
Jean-François
* Ex. (je souligne), "Vous verrez un jour qu'avec un peu de pratique, il vous arrivera d'ouvrir les yeux, de regarder par la fenêtre, de voir une voiture qui passe, de la regarder s'éloigner, et de vous dire :
"tiens, c'est étrange, je vois un objet en mouvement là-bas, à un endroit où je n'existe pas,
et ne devrait donc pas avoir de sensations....""
N'importe qui, qui comprend un peu la physique, réalisera qu'il n'a pas besoin d'exister là où est la voiture pour la voir puisque ce sont les photons qui arrivent à la rétine. Toutefois, rendu là on touche à une seconde couche génératrice d'erreurs: la confusion sémantique.
** En utilisant une formulation confuse dans laquelle il dit que la réalité est l'interprétation du monde réel (i.e., "extérieur") par le cerveau/les sens. Deux exemples:
""[l]a réalité est l'interprétation de ce monde réel au travers de la perception que nous en avons""
"je dis depuis le début que ce qu'on appelle réalité est pour moi le monde réel, ou fondamental si vous préférez vu à travers ce que nos sens nous permettent d'en appréhender..."





