La vitesse de la lumière.
La vitesse de la lumière.
Bonjour,
La vitesse de la lumière est un sujet qui a passionné Einstein et sa théorie fit rapidement son chemin dans les milieux scientifiques.
(je précise que je ne me contente pas de faire des copiés/collés, mes renseignements sont de sources diverses glanées lors de mes études et autres entretiens avec des amis chercheurs. Mes affirmations quant à elles sont personnelles et mon propos est issu de l'un de mes livres : "Qui parle de mystère ?" dont l'objet est "Épistémologie et explications des mystères de la vie", ceci dit pour ceux qui pensent que pour être crédible il suffirait de citer une ou plusieurs sources)
Pour en revenir à la théorie d'Einstein, comme chaque fois en pareil cas, il existe toujours des personnes prêtes à ramasser les «miettes» pour placer leur grain de sel et bénéficier de l'impact d'une découverte. C'est ainsi qu'un physicien américain du nom de Gilbert LEWIS, aura l'idée, 19 ans plus tard, d'appeler « photons » les «grains de lumière » de Einstein, grains que le savant avait signalés comme porteurs d'énergie (les quanta). Donc les photons sont simplement les «grains de lumière» (découverts par Einstein) qui empliraient l'Univers en tous sens.
Ils seraient très nombreux : d'après les scientifiques. Ils seraient un milliard de fois plus abondants que n'importe quelle autre particule... et de plus, ils n'auraient pas de masse et seraient pure énergie. Plus fort encore, ils ne pourraient jamais s'immobiliser et n'auraient qu'une seule vitesse qui serait de 300.000 Km/seconde (après avoir été ramenée à 299.743 Km/s, nos savants actuels la situent à 299.792 Km/s) dans le vide !
Qui oserait contester une telle précision ? Ces calculs laissent chacun admiratif... comme la certitude des confirmations de centaines de milliers de scientifiques qui, depuis, ont fait leur cette théorie. Le seul qui n'ait pas été vraiment affirmatif, et moins encore admiratif... c'est Einstein lui-même (A savoir que j'ai longuement travaillé sur ses travaux en vue d'écrire sa biographie... non à paraphrasant d'autres biographies, mais en étayant mes conclusions sur des témoignages directs de ses contemporains, mais surtout sur une analyse psychologique approfondie reposant sur la graphopsychologie et la morphopsychologie scientifique, disciplines que j'enseignais en fac, en Suisse) !
Certains détails lui échappaient encore (il était certain que la lumière était soumise à la gravitation... ce qui, effectivement, changeait bien des données et compliquait les choses), il en avait fait état à plusieurs de ses proches mais, comme c'était insignifiant, tout le monde de la science est passé outre, et pourtant !
Einstein a réalisé une découverte en expliquant l'effet photoélectrique, la preuve en est apportée par les centaines de milliers d'appareils qui aujourd'hui fonctionnent selon ses théories. Mais, comme pour lui, ces explications sur la nature même de la lumière restent encore très «obscures», si j'ose dire. Voyons ce qu'il en est.
Les trois éléments principaux des explications scientifiques ne cadrent pas pour satisfaire une analyse objective et logique, il n'est pas utile de sortir d'une université pour s'en rendre compte :
- les photons de LEWIS seraient un milliard de fois plus nombreux que n'importe quelle autre particule ! Qui peut prétendre en apporter la preuve et par quel moyen les compter ? Il s'agit là d'une affirmation gratuite invérifiable qui n’a d’égal que son ridicule, dont le but est simplement de masquer l'ignorance sur ce sujet : c'est un effet psychologique qui est recherché, non un élément de preuve scientifique.
Je peux être aussi «tatillon» que les «scientifiques officiels» si je veux. Continuons à analyser leurs affirmations sans fondement et simplement impossibles à concevoir parce qu'elles sont en contradictions entre elles :
- les photons, considérés comme particules n'auraient pas de masse et seraient de l'énergie pure, sont-ils alors des particules ?
- ils ne peuvent jamais s'immobiliser et ils n'ont qu'une vitesse : 300.000 km/s dans le vide, affirme la science, sans même considérer «l'éther», cette sorte de «vapeur», dont l'espace serait rempli, presque immatérielles qu'affirmaient avoir découvert, en 1887, les physiciens Albert MICHELSON et Édouard MORLEY suite à de nombreuses expériences... sur Terre ! Quelle prétention stupide là encore !
La lumière aurait une vitesse unique dans le vide : pourtant, la même science affirme que l'Univers tout entier est rempli de photons en quantité énorme que la décence m'interdit de chiffrer, sans même parler de l'éther (sic), où est le vide en tel cas ?
Le fait qu'une grande quantité de molécules gazeuses soient retirée d'un récipient ne suffit certainement pas à obtenir un vide absolu (sans même parler des très nombreuses particules inconnues des scientifiques à qui les corps matériels, telles que les parois des récipients, ne font pas obstacle...
Cette notion de vide est donc très relative, ce qui retire toute crédibilité à leurs mesures... et de là à prétendre que la lumière a une vitesse unique et que les photons ne s'immobilisent jamais... il faut être des plus stupides pour le croire : pourquoi en tel cas, si la vitesse de la lumière est unique, avoir besoin de préciser «dans le vide» ?
Les molécules gazeuses constitueraient donc «un frein» à la vitesse des photons, donc leur vitesse n'est plus «unique» ! Il en va de même dans l'affirmation selon laquelle les photons, ne peuvent jamais s'immobiliser... : que deviennent alors ses grains de lumière en traversant des corps physiques opaques ne réfléchissant pratiquement pas les rayons lumineux... perceptibles par l'oeil humain ?
Pourquoi, puisqu'ils ne s'immobiliseraient jamais, ces «grains de lumière» ne viennent-ils pas «éclairer» ce qui est à l'intérieur d'un récipient opaque ? Pourquoi encore, une simple lampe n'éclaire-t-elle pas à l'infini ?
Je pose simplement quelques questions... mais il y en a beaucoup d'autres auxquelles les théories scientifiques sur la lumière n'apportent pas de réponse satisfaisante et logique... simplement parce qu'elles sont erronées.
Nous venons de voir que les scientifiques considèrent que des «grains de lumière» libèrent les électrons des atomes composant la cible, entraînant l'apparition d'un courant électrique, un courant «photoélectrique». Ce phénomène expliqué par Albert Einstein ne me satisfait pas vraiment. De toute évidence, toutes ces théories sur la lumière cherchent à cerner la réalité… mais une chose leur échappe, même Einstein n’était pas totalement certain de sa théorie. C’est donc une hypothèse que je vais proposer ici, car les moyens techniques des physiciens ne permettent pas encore, de nos jours, d’en vérifier l’exactitude.
Pour l’ensemble de mes recherches, je fais largement appel à mon intuition et ensuite je cherche à apporter des explications logiques de ce que je «pressens». Il en est ainsi de mes explications sur la nature de la lumière. Je considère, en effet, que les chercheurs d’avant Einstein n’avaient pas tort… sans avoir totalement raison, et il en va de même d’Einstein !
Il est des choses que les mathématiques, en raison de leurs imperfections, ne parviennent pas à expliquer ou à démontrer : il en va ainsi de la nature de la lumière… comme de nombreuses autres observations que nous pouvons effectuer chaque jour !
Je considère que la lumière est bel et bien générée par des ondes électromagnétiques… mais ces ondes ne sont pas lumineuses.
Ces ondes sont plus ou moins puissantes, selon leur source, et d’un type particulier : elles possèdent en effet la particularité de rendre perceptible à l’œil (donc visible) les corps physiques (solides, gaz ou liquides) qu’elles traversent ou qu’elles viennent heurter. C’est pour cette raison que l’espace qu’elles traversent, faute d’atomes réagissant à leurs passages, reste noir à nos yeux… mais si un corps solide fait obstacle à leur passage, les atomes de ce corps matériel sont alors «activés» et ce corps devient visible à nos yeux, précision importante : ces atomes ainsi activés produisent aussi de la chaleur.
Les «grains de lumière» d’Einstein ne sont pas des «grains» comme il le pensait, mais simplement la réaction d’une infinie quantité d’atomes au passage des ondes électromagnétiques de lumière, cette multitude d’atomes pouvant aisément être pris pour des «grains de lumière», d’autant plus facilement qu’une grande quantité d’entre eux sont entraînés, véhiculés si vous préférez, en fonction de leur nature par ces ondes électromagnétiques.
Conscient du fait que la science est encore très loin de tout connaître en matière d’atomes, le plus grand nombre d’entre eux lui étant, et pour longtemps encore, inconnus, tels que ceux dont notre corps astral est constitué, c’est parmi ces atomes, infiniment plus petits que ceux connus «physiquement», qu’il faut rechercher ces atomes qui, par réaction au «bombardement» des ondes électromagnétiques de lumière, ont été appelés par Einstein : «grains de lumière», ne trouvant pas d’autres explications… et pensant remettre à plus tard ses recherches sur ce sujet qui lui échappait en parti.
Einstein n’avait donc pas complètement tort… pas plus que les physiciens qui l’avaient précédé : par intuition donc, je suis certain que ces ondes électromagnétiques existent bel et bien et que c’est la réaction d’une quantité infinie d’atomes qui a fait penser à Einstein qu’il existait des «grains de lumière»… mais ces «grains de lumière» ne constituent pas de l’énergie pure, et c’est là une erreur, ils ne sont que des atomes qui réagissent simplement sous l’effet des ondes électromagnétiques «de lumière», tout en transformant une partie de cette énergie en énergie thermique (chaleur), réduisant ainsi une partie de l’énergie des ondes électromagnétiques de lumière (raison pour laquelle la lumière de nos ampoules n’est pas visible « à l’infinie » : ce sont les atomes de l’air qui absorbent rapidement leur énergie, au point de la réduire à néant).
La lumière en elle-même n’est donc pas «matérielle», elle n’est pas composée de «grains de lumière»… mais ces «grains de lumière», ou ces «atomes réagissants» (je préfère les appeler ainsi), sous l‘effet de la puissance des ondes électromagnétiques de lumière, sont «véhiculés» à très grande vitesse, permettant ainsi les observations des effets appelés «photoélectriques». Ces «grains de lumière» ne sont donc pas de la lumière, mais des atomes particuliers dont la nature reste encore à découvrir, réagissant au passage des ondes électromagnétiques de lumière !
Seule cette hypothèse, purement théorique, permet d’expliquer l’existence des «trous noirs» dans l’espace. Certaines zones sont totalement dépourvues des ces «atomes réactifs» aux ondes électromagnétiques de lumière pour des raisons que j’ignore (je préfère le dire franchement que servir une explication «savante et ridicule»), de ce fait, ces zones ne peuvent apparaître que noires, à l’œil humain… ou autre «œil» physique (télescope…) conçu par l’homme... en fonction de ses propres facultés visuelles !
Tant de choses restent encore à expliquer… attendons d’évoluer pour avancer d’autres certitudes : l’humilité ne constitue pas un défaut !
Pourquoi aussi les scientifiques accordent-ils si peu d'importance au fait certain, énoncé par Einstein lui-même, que la lumière est soumise à la gravitation ? La dite gravitation, si elle modifie la trajectoire, modifie aussi la vitesse de la lumière !
Je considère que la lumière est la simple manifestation d'ondes électromagnétiques d'un type particulier qui a pour effet de rendre perceptible à de nombreux êtres vivants physiquement (hommes, animaux, végétaux) certaines formes ou éléments physiques existants et dans l'Univers.
Ces ondes électromagnétiques ne se déplacent jamais, au niveau interplanétaire, en ligne droite, leurs trajectoires sont toujours infléchies par les différentes forces de gravitation des masses voisines (systèmes stellaires et planètes).
Ceci n'avait pas échappé à Einstein, ce phénomène a pour effet de créer parfois des sortes de mirages ou le même noyau de galaxie peut être «vu» en plusieurs points différents dans l'atmosphère, un peu comme si notre vision était faite au travers d'une «lentille gravitationnelle» qui peut déformer une image (agrandir, rétrécir, multiplier, déformer, renverser). Ce phénomène est appelé la «Croix de Einstein».
Ce qui a échappé à Einstein, c'est la vitesse de la lumière.
Cette vitesse, du fait de la résistance que lui opposent certains corps physiques (matière, liquide, gaz, etc.) ou autres à découvrir, n'est jamais constante.
Les ondes électromagnétiques de lumière subissent des accélérations vertigineuses et des ralentissements considérables selon l'espace traversé, sa vitesse pouvant être ramenée à zéro au contact de molécules qui lui sont particulièrement réfractaires. Dans certains cas, leur mode de déplacement peut être comparé à celui des gaz ou des liquides, c'est à dire qu'ils peuvent s'écarter d'un solide pour se reformer derrière, selon la forme «aérodynamique» de la masse rencontrée.
Les ondes électromagnétiques «de lumière» traversent certains corps gazeux ou liquides, provoquent, en heurtant certaines de ces molécules, un effet qui les rend «visibles» à l’œil humain par exemple, lui donnant l'impression de «rayons» et ce sont ces particules microscopiques qu'Einstein avait appelées des «grains de lumière» ne trouvant pas provisoirement d'autres explications, mais le savant avait conscience que certaines choses lui échappaient encore...
Certains corps possèdent la particularité d'accumuler une partie de l'énergie de ces ondes, c'est le cas notamment du phosphore et, à des degrés différents, de nombreux autres corps physiques, et de les restituer en partie. Certaines espèces animales possèdent également cette particularité (lucioles, vers luisants et certains poissons) dont ils se servent la nuit pour communiquer avec leurs congénères ou effrayer un agresseur.
Ce type d'ondes peut également être produit par le passage de courant électrique (principe des lampes), par frottement ou tout autre effet thermique. Ces ondes émises à grande puissance, rendent visibles à l’œil les masses gazeuses qui entourent les planètes et les étoiles, mais attention, les ondes électromagnétiques qui provoquent la lumière sont froides… et non lumineuses en elles-mêmes !
Les ondes qui provoquent des effets thermiques en traversant certains corps réfractaires ont des effets comparables en de nombreux points, bien que froides, à des sources d’énergie thermiques, les vitesses de ces dernières sont nettement moins importantes et leurs effets plus limités dans l'espace. De ce fait, les pauvres terriens que nous sommes ne disposent, en l'état actuel des choses, d'aucun moyen sérieux de calculer avec précision la vitesse de la lumière dans l'espace... ni même sur Terre ou dans notre minuscule système solaire : n'en déplaise à certains !
Si une infinité de milliards de «grains de lumière» sillonnaient en permanence notre Univers dans tous les sens... comment simplement expliquer le simple phénomène de la nuit ?
Il apparaît évident qu'il est parfaitement possible de dépasser la vitesse de la lumière, contrairement à ce qu'affirme la science. L'homme, entre autre, est capable, par ses ondes de pensées simplement, de dépasser cette vitesse.
Au niveau de la vitesse possible du corps astral, la vitesse de la lumière est très largement dépassée et, certaines civilisations extraterrestres sont parvenues, physiquement, à ce résultat, ce qui explique que de nombreux «engins» soient capables de disparaître de notre vue en moins de temps qu'il en faut pour le voir !
Nombreux sont les «scientifiques modernes», tenants de la science officielle, qui affirment avec une prétention extraordinaire, que seuls les imbéciles peuvent se permettre (je pèse mes mots...), que l'existence de civilisations extraterrestres n'existent pas, que pour effectuer le voyage de leur planète à la Terre, des milliards d'années (lumière) seraient nécessaires en supposant, disent-ils, que ces civilisations soient capables de se déplacer à la vitesse de la lumière...
Vu l'opinion que ces «professeurs d'absurdité» nourrissent d'eux-mêmes (vivement encouragés par certains médias aux reporters aussi stupides qu'eux, nous en connaissons tous), nul ne peut leur être supérieur. N’est-ce pas pour cette raison que «l'administration» les emploie et les charge d'attribuer des diplômes d'ingénieur ou de corriger les thèses de Doctorat... ? Malheur à qui ne s'aligne pas sur leurs avis : c'est l'échec assuré !
Quant à moi, j'affirme que les centaines de milliers de personnes qui, au cours des siècles, dans le monde, ont été témoins de phénomènes «OVNI» ne sont pas toutes des menteuses, des illuminées ou des psychopathes... comme l'affirment ces prétentieux ridicules.
Même si un seul fait exception, toutes les théories des scientifiques sur la vitesse de la lumière sont fausses (ils le savent très bien, mais leur orgueil est plus fort que leur intelligence, pour ne pas dire leur intégrité).
La vitesse de la lumière varie en permanence dans l'espace et il est parfaitement possible de la dépasser : je place ici quiconque au défit de me prouver le contraire, ne serait-ce que par simple explication logique : le simple fait que l'homme soit encore incapable d'atteindre les 100.000 Km/h physiquement ne prouve en rien une quelconque impossibilité d'aller 1.000 fois plus vite !
Je suis certain que, dans quelques siècles, mes théories, qualifiées de farfelues par ceux qu'elles dérangent, seront confirmées : il y a moins d'un siècle, les plus grands savants n'affirmaient-ils pas qu'il était impossible de concevoir ou de penser qu'un jour, l'homme dépasserait la vitesse du son... alors ?
Il en sera de même de la lumière, mais 50 ans terrestres ne suffiront pas à la dépasser 10 fois...
Il reste beaucoup à faire et à apprendre sur cette Terre ! En tout cas, même dans un vide supposé, la vitesse de la lumière n'est ni invariable ni indépassable, je n'ai aucun doute à ce sujet, une telle rigidité serait contraire à toute logique, même si elle remet en question les calculs de la relativité (E=mc², c² étant le carré de la vitesse de la lumière, il ne peut s'agir que de calculs approximatifs valables uniquement sur les lieux de mesure de cette vitesse, actuellement la Terre ou, au mieux, notre minuscule (au niveau astral) système solaire). Tous les calculs réalisés sur cette base mathématiques exigeront des corrections en dehors du système solaire en raison de cette hypothèse.
Pour l'ensemble des calculs interplanétaires : la notion «d'année lumière» est une «unité de mesure de distance» aussi erronée que simpliste, exactement comme si un mécanicien de haute précision effectuait ses mesures... avec une chaîne d'arpenteur élastique !
Si les théories scientifiques étaient exactes, comment expliquer la formation des «trous noirs» dans l'Univers ?
Ces endroits «monstrueux» qui absorberaient tout ce qui passerait à «proximité». Si la lumière se déplaçait en ligne droite, à vitesse constante, elle ne pourrait qu'échapper à un tel phénomène... alors ?
Comme je n'ai aucune théorie satisfaisante sur ce phénomène des trous noirs, je me garderai bien d'affirmer ce dont je ne suis pas certain, bien que j'aie ma petite idée, des recherches complémentaires s'imposent.
Il ne serait pas sérieux de déterminer, pour une onde électromagnétique, une vitesse alors que cette vitesse fait l'objet de constantes modifications dans l'espace, tant sur le plan directionnel que sur celui de sa vitesse.
Il serait plus juste de dire que sur Terre, à telle date, la vitesse de la lumière était de X km/S en émettant les plus grandes réserves pour le futur et le passé, l'Univers est en perpétuelle évolution... même si cela complique sérieusement les choses, il en est ainsi !
Sur le plan pratique, la formule E=mc² reste applicable, pour notre période de vie, de petites corrections pouvant toujours lui être apportées, mais dans l’absolu... elle ne peut en aucun cas être à caractère universel, du simple fait des variations très importantes, dans l'espace, de la vitesse de la lumière, ce qui n'enlève rien au génie d'Albert Einstein... d'autant moins qu'il n'a jamais caché ses doutes, en toute humilité !
Il convient de reprogrammer les ordinateurs des scientifiques, de tout reconsidérer et d'admettre, pour longtemps encore sans doute, que l'homme n'est pas encore assez évolué pour avoir une idée précise sur la nature de l’Univers... et, pour de nombreux scientifiques, de concevoir simplement la possibilité de vies extraterrestres, ce qui, évidemment, anéantit de nombreux dogmes, qui sont aussi les piliers principaux de nombreuses religions ou autres sectes (religieuses, scientifiques, politiques ou financières...) toutes ne font qu'un tronc commun dont le seul rempart est l'esprit cartésien cultivé à outrance... dès la petite école, dans les pays occidentaux, ou sous forme d'intégrisme religieux dans les pays à régimes déistes, les deux pouvant parfaitement se combiner pour neutraliser certaines «ouvertures d'esprit».
Je ne terminerai pas ces considérations sur la lumière sans signaler que «l'amplification de la lumière par émission simultanée de rayonnement» plus connu sous le nom de «principe LASER» mis au point en 1960 doit son existence aux travaux d'Albert Einstein qui, dès 1916, en énonçait le principe... même si le LASER n'est plus un mystère, et si ses applications en science et dans l'industrie ne se comptent plus, il convient d’attirer ici l’attention sur l’usage qui en est fait !
Le mot laser est un acronyme (sigle que l’on prononce comme un mot ordinaire, sans l’épeler) de l'anglais «Light Amplification by Stimulated Emission of Radiation» («amplification de la lumière par émission stimulée de radiations»). Le laser est un dispositif qui amplifie la lumière et la rassemble en un étroit faisceau, dit cohérent, où ondes et photons associés se propagent en phase, au lieu d'être arbitrairement distribués.
Cette propriété rend la lumière laser extrêmement directionnelle. Le rayonnement est également d'une grande pureté spectrale, le processus d'émission des photons garantissant leur régularité quantique. D'abord cantonnés à la lumière visible, les lasers couvrent aujourd'hui toute la gamme des rayonnements électromagnétiques, des rayons X et ultraviolets aux ondes infrarouges et micrométriques.
Le principe du laser consiste à exciter les électrons d'un milieu, puis à y déclencher l'émission de photons en cascade, et à accumuler le rayonnement entre deux surfaces réfléchissantes avant de le relâcher sous forme de rayon.
Pour ce faire, le dispositif du laser consiste en un réservoir d'électrons (milieu fertile qui peut être solide, liquide ou gazeux), associé à une source excitante qui «pompe» ses électrons à de hauts niveaux d'énergie. Dans un second stade, de la « lumière » est injectée dans le milieu : son influence sur les électrons excités libère une cascade de photons, «émission stimulée» qui produit l'amplification de la lumière, de dire des ondes électromagnétiques de lumière serait plus correct.
Deux miroirs situés aux extrémités du laser se réfléchissent les photons émis, la lumière se densifiant à chaque parcours à travers le milieu, jusqu'à ce qu'une fraction soit relâchée par une petite ouverture à l'extrémité du dispositif. La lumière laser doit sa cohérence au fait que les photons du milieu naissent sur le passage d'autres photons et sont donc en phase avec eux dans leur déplacement.
Le principe de l'émission stimulée (la production sur commande d'un photon par un électron) fut décrit par Albert Einstein dès 1917, mais il fallut attendre l'année 1958 pour que son application pratique, le laser, donne lieu à un brevet, déposé par les physiciens américains Arthur Schawlow et Charles Hard Townes (l'antériorité de l'invention fut contestée par le physicien et ingénieur américain Gordon Gould, qui obtint gain de cause en 1977 pour l'une des composantes du système).
En 1960, le physicien américain Theodore Maiman obtint pour la première fois une émission laser en excitant des cristaux de rubis. Un an plus tard, en 1961, le physicien américain d'origine iranienne Ali Javan mit au point un laser au gaz (hélium et néon). En 1966, le physicien américain Peter Sorokin construisit le premier laser à liquide.
Les lasers sont classés en cinq grandes familles, selon la nature du milieu excité : lasers à solide, lasers à gaz, lasers à semi-conducteurs, lasers à liquide et lasers à électrons libres.
- Les lasers à solide utilisent des verres et des cristaux comme milieu d'émission et de propagation des photons (notamment des cristaux de rubis et des verres dopés au néodyme). De tous les lasers, ce sont ceux qui fournissent la plus grande puissance utile. Ils opèrent généralement en mode discontinu, générant des impulsions lumineuses extrêmement brèves (jusqu'à 12.10-15 s), permettant d'étudier les phénomènes physiques de très courte durée. Dans de tels lasers, le pompage préliminaire du milieu est réalisé par des flashs électroniques au xénon, des lampes à arc ou des lampes à vapeur métallique. Les lasers à solide étendent aujourd'hui leur gamme de fonctionnement aux rayons ultraviolets (multiplication de la fréquence lumineuse dans des cristaux de phosphate de potassium), et même aux rayons X (interaction des photons avec une cible en yttrium).
- Dans un laser à gaz, le milieu générateur de photons est un gaz pur, un mélange de gaz ou un métal chauffé à l'état de vapeur, contenu dans un tube en verre ou en quartz. Le pompage du milieu est obtenu par rayonnement ultraviolet ou bombardement d'électrons. Le laser à hélium et néon, en particulier, est connu pour la pureté de sa fréquence d'émission et l'étroitesse (directivité) du faisceau obtenu. Les lasers à dioxyde de carbone sont également répandus et génèrent de fortes puissances en mode continu.
- Lasers à semi-conducteurs. Particulièrement compacts, les lasers à semi-conducteurs utilisent les jonctions électroniques entre semi-conducteurs de conductivités différentes pour générer des photons (l'un des matériaux les plus performants étant l'arséniure de gallium). La production des photons est cantonnée à la jonction électronique par des surfaces réfléchissantes. Le pompage est obtenu par mise sous tension du circuit. Pour obtenir des puissances élevées, un grand nombre de semi-conducteurs sont montés dans un espace réduit, leur densité pouvant atteindre un million au centimètre carré. Les lasers à semi-conducteurs sont notamment utilisés pour les imprimantes laser et les lecteurs de disques compacts.
- Lasers à liquide Dans les lasers à liquide, le milieu actif consiste généralement en un colorant inorganique, enfermé dans un récipient en verre. Le milieu est pompé par flashage (mode discontinu) ou par un laser auxiliaire à gaz (mode continu). Dans un laser à liquide, la fréquence du rayonnement peut être ajustée au moyen d'un prisme placé dans le récipient, ce qui rend l'appareil d'une grande précision spectrale.
- En 1977 sont apparus les lasers à électrons libres, utilisés principalement pour la recherche. Ils mobilisent les électrons d'un plasma, spiralant autour des lignes de force d'un champ magnétique. Contrairement aux lasers à liquide, leur fréquence de rayonnement peut être ajustée, de l'infrarouge aux rayons X. À l'avenir, de tels lasers devraient être capables de générer de très hautes énergies à des coûts raisonnables.
Les rayons lasers permettent de focaliser une forte puissance rayonnante sur une petite surface. Ils sont ainsi utilisés pour chauffer, fusionner ou vaporiser la matière. On les emploie donc dans l'industrie pour percer les matières les plus dures, comme le diamant, polir les composants microélectroniques, traiter à chaud les puces à semi-conducteurs, voire élaborer de nouvelles matières synthétiques. Il est même envisagé, dans certains projets de centrales à fusion nucléaire, d'utiliser des lasers pour confiner le milieu réactif à des densités critiques.
Dans les bâtiments et les travaux publics, les rayons lasers servent à vérifier l'alignement des structures. Ils se révèlent également d'excellents détecteurs de molécules gazeuses et sont utilisés pour l'étude de l'atmosphère et de ses polluants.
La faible dispersion spatiale des rayons lasers et leur grande précision temporelle permettent de les utiliser pour mesurer des distances, à la manière des ondes radar : les rayons sont envoyés sur des miroirs positionnés sur les sites à cadastrer, par exemple le long d'une faille ou sur les rives opposées d'un océan en expansion. Le temps du trajet aller-retour du rayon laser permet de mesurer les distances au centimètre près (en théorie). Les satellites utilisent également des altimètres lasers pour déterminer l'altitude du relief survolé ou la hauteur des vagues sur la mer.
Des miroirs lasers ont même été déposés sur la Lune par certains astronautes, et ont renvoyé des rayons lasers émis depuis la Terre, permettant de mesurer la distance Terre-Lune avec une précision inégalée… et pour cause : de telles mesures auraient mis en évidence une lente dérive de la Lune qui s'écarterait de notre planète au rythme de quelques millimètres par an. Soyons sérieux, certains scientifiques émettent ainsi des hypothèses tout à fait fantaisistes pour se singulariser : La lune est soumise en permanence à des forces gravitationnelles qui, selon les périodes, la rapproche ou l’éloigne de la terre. Il est donc impossible dans ces conditions d’affirmer, sur de simples mesures, aussi précises soient-elles (ce qui demande encore à être vérifier) sur une durée de quelques années seulement, que la lune s’éloignerait… alors que tout prouve qu’elle ne peut que se rapprocher de la terre dans le temps (résultante de ses éloignements et de ses rapprochements successifs). Ceci dit, rien ne prouve que la vitesse des rayons laser soit la même dans l’espace que dans notre atmosphère terrestre, cela paraît même fortement improbable ! Cette affirmation selon laquelle la lune s’éloignerait de… quelques millimètre par an est d’ailleurs loin de faire l’unanimité du monde scientifique : pour ma part, je suis convaincu que ces mesures n’ont rien de significatif, des dizaines d’années de mesures sont nécessaires pour apprécier le rapprochement réel de la lune dans le temps (pour effectuer une moyenne sérieuse).
Réciproquement, la vitesse de la lumière laser pourrait être exactement calibrée entre deux points dont l'écartement serait connu : ces mesures auraient permis de vérifier entre autres la théorie de la relativité. Que d’affirmations invérifiables : Qui peut affirmer sérieusement connaître la vitesse de la lumière laser dans l’espace… au point de permettre des mesures sur des centaines de milliers de kilomètres avec une précision de quelques millimètres ? C’est tout simplement stupide… surtout pour des corps en mouvements aussi rapides et complexes que ceux des planètes… et de la terre !
Dans les accélérateurs de particules, des commutateurs très rapides activés au laser sont en cours de développement. On projette également d'utiliser des rayons lasers dans les chambres à vide pour stabiliser les atomes étudiés, et analyser rigoureusement leur spectre. Le caractère monochromatique et hautement directionnel des rayons lasers permettrait en effet de sonder la structure moléculaire de la matière, par la mesure des infimes décalages spectraux des rayons lasers réfléchis à son contact. La présence d'impuretés dans certaines matières, notamment, peut ainsi être détectée. D'autre part, le bombardement de molécules par des rayons lasers monochromatiques permet d'y déclencher des réactions chimiques… qui seraient strictement contrôlées.
Comme toute onde, le rayonnement laser peut être modulé en signal et servir aux télécommunications. Le rayonnement laser se distingue en effet par une dispersion extrêmement réduite : il parcourt de longues distance dans le vide sans modification substantielle de l'intensité du signal, affirment les scientifiques, mais où existe le vide ? Qu’appellent-ils «sans modifications substantielles», ce simple terme prouve que de nombreux facteurs leurs échappent encore : il n’y a pas de honte à cela, mais le dire serait plus honnête… mais ne faut-il pas «justifier» de résultats concrets… pour obtenir davantage de crédits ?
D'autre part, en raison de sa fréquence élevée, le rayonnement laser serait capable de véhiculer 1.000 fois plus de canaux de télévision que les ondes micrométriques et est préconisé pour les futures générations de satellites de communication : il s’agit là de simples hypothèses à vérifier… même si, effectivement, sa fréquence permet une très nette amélioration, c’est tout ce que je peux honnêtement affirmer pour l’instant !
Au sol, les fibres optiques véhiculent également des signaux lasers porteurs d'une riche densité d'informations (chaînes de radio et de télévision, données informatiques) sur des réseaux en pleine expansion.
En raison de leur précision directionnelle, les rayons lasers servent à couper et à cautériser les tissus organiques, sans endommager les tissus sains environnants… ceci en fonction de la dextérité du praticien, convient-il de préciser... ! Ils sont utilisés notamment dans les opérations de décollement de la rétine, pour ressouder le tissu en place, ainsi que pour cautériser les vaisseaux sanguins et vaporiser les lésions. Le laser est également utilisé en laboratoire dans les analyses d'échantillons biochimiques.
Des systèmes de guidage à laser ont été développés pour les missiles, les avions et les satellites. Des canons lasers de très haute énergie ont également été proposés comme nouvelle classe d'armement antimissile par le président américain Ronald Reagan en 1983 : plusieurs tests ont été conduits… mais l’infaillibilité pratique n’est pas encore acquise ! D'autre part, la capacité que possèdent les lasers à liquide d'effectuer une excitation sélective des atomes pourrait ouvrir la voie à de meilleurs systèmes de séparation des isotopes, notamment dans la fabrication des bombes nucléaires… comme si l’humanité n’était pas encore assez en péril !
Grâce à ses impulsions lumineuses puissantes autant que brèves, le laser se prête remarquablement à la photographie : on peut obtenir de très courts temps de pose par ce procédé, permettant la photographie de phénomènes extrêmement brefs. En holographie, ce sont également aux rayons lasers que sont prises les photographies dont sont tirées par interférence des images tridimensionnelles. L’holographie consiste en un procédé de restitution en trois dimensions de l'image d'un objet, qui utilise l'interférence entre deux rayons laser, l'un issu de l'appareil, l'autre, de l'objet lui-même. Les enregistrements ainsi obtenus sont des hologrammes (du grec holos, «entier», et gram, «message»). Les principes de l'holographie furent introduits par le physicien anglais Dennis Gabor dès 1947.
Cependant, on n'obtint les premiers hologrammes qu'au début des années 1960, à partir du moment où l'on put produire des rayons laser, source de lumière véritablement cohérente. À la fin des années 1980, on commença à produire des hologrammes aux couleurs authentiques, ainsi que des hologrammes à partir de toutes les longueurs d'onde du spectre électromagnétique. On réalisa également des hologrammes à partir d'ondes acoustiques (ultrasons).
Enfin, le succès du laser est aussi dû à ses applications spectaculaires dans les arts scéniques : ballets et arabesques de pinceaux lumineux dans le ciel, éclairages de concerts et spectacles son et lumière ont propulsé la technique laser aux avant-postes de l'art contemporain. Notons également que l'on utilise parfois les rayons lasers pour nettoyer la façade de certains monuments historiques.
Dans les applications scientifiques et industrielles comme dans les arts, l'emploi du laser nécessite de respecter un certain nombre de règles de sécurité. Tension et intensité lumineuses peuvent être très élevées.
Comme l'œil focalise sur la rétine la lumière laser de la même façon que toute autre lumière, le danger principal est l'endommagement des yeux. Il est donc recommandé aux opérateurs de ne pas exposer leurs yeux aux rayons lasers, qu'ils soient directs ou réfléchis, et de porter des lunettes protectrices.
La vitesse de la lumière est un sujet qui a passionné Einstein et sa théorie fit rapidement son chemin dans les milieux scientifiques.
(je précise que je ne me contente pas de faire des copiés/collés, mes renseignements sont de sources diverses glanées lors de mes études et autres entretiens avec des amis chercheurs. Mes affirmations quant à elles sont personnelles et mon propos est issu de l'un de mes livres : "Qui parle de mystère ?" dont l'objet est "Épistémologie et explications des mystères de la vie", ceci dit pour ceux qui pensent que pour être crédible il suffirait de citer une ou plusieurs sources)
Pour en revenir à la théorie d'Einstein, comme chaque fois en pareil cas, il existe toujours des personnes prêtes à ramasser les «miettes» pour placer leur grain de sel et bénéficier de l'impact d'une découverte. C'est ainsi qu'un physicien américain du nom de Gilbert LEWIS, aura l'idée, 19 ans plus tard, d'appeler « photons » les «grains de lumière » de Einstein, grains que le savant avait signalés comme porteurs d'énergie (les quanta). Donc les photons sont simplement les «grains de lumière» (découverts par Einstein) qui empliraient l'Univers en tous sens.
Ils seraient très nombreux : d'après les scientifiques. Ils seraient un milliard de fois plus abondants que n'importe quelle autre particule... et de plus, ils n'auraient pas de masse et seraient pure énergie. Plus fort encore, ils ne pourraient jamais s'immobiliser et n'auraient qu'une seule vitesse qui serait de 300.000 Km/seconde (après avoir été ramenée à 299.743 Km/s, nos savants actuels la situent à 299.792 Km/s) dans le vide !
Qui oserait contester une telle précision ? Ces calculs laissent chacun admiratif... comme la certitude des confirmations de centaines de milliers de scientifiques qui, depuis, ont fait leur cette théorie. Le seul qui n'ait pas été vraiment affirmatif, et moins encore admiratif... c'est Einstein lui-même (A savoir que j'ai longuement travaillé sur ses travaux en vue d'écrire sa biographie... non à paraphrasant d'autres biographies, mais en étayant mes conclusions sur des témoignages directs de ses contemporains, mais surtout sur une analyse psychologique approfondie reposant sur la graphopsychologie et la morphopsychologie scientifique, disciplines que j'enseignais en fac, en Suisse) !
Certains détails lui échappaient encore (il était certain que la lumière était soumise à la gravitation... ce qui, effectivement, changeait bien des données et compliquait les choses), il en avait fait état à plusieurs de ses proches mais, comme c'était insignifiant, tout le monde de la science est passé outre, et pourtant !
Einstein a réalisé une découverte en expliquant l'effet photoélectrique, la preuve en est apportée par les centaines de milliers d'appareils qui aujourd'hui fonctionnent selon ses théories. Mais, comme pour lui, ces explications sur la nature même de la lumière restent encore très «obscures», si j'ose dire. Voyons ce qu'il en est.
Les trois éléments principaux des explications scientifiques ne cadrent pas pour satisfaire une analyse objective et logique, il n'est pas utile de sortir d'une université pour s'en rendre compte :
- les photons de LEWIS seraient un milliard de fois plus nombreux que n'importe quelle autre particule ! Qui peut prétendre en apporter la preuve et par quel moyen les compter ? Il s'agit là d'une affirmation gratuite invérifiable qui n’a d’égal que son ridicule, dont le but est simplement de masquer l'ignorance sur ce sujet : c'est un effet psychologique qui est recherché, non un élément de preuve scientifique.
Je peux être aussi «tatillon» que les «scientifiques officiels» si je veux. Continuons à analyser leurs affirmations sans fondement et simplement impossibles à concevoir parce qu'elles sont en contradictions entre elles :
- les photons, considérés comme particules n'auraient pas de masse et seraient de l'énergie pure, sont-ils alors des particules ?
- ils ne peuvent jamais s'immobiliser et ils n'ont qu'une vitesse : 300.000 km/s dans le vide, affirme la science, sans même considérer «l'éther», cette sorte de «vapeur», dont l'espace serait rempli, presque immatérielles qu'affirmaient avoir découvert, en 1887, les physiciens Albert MICHELSON et Édouard MORLEY suite à de nombreuses expériences... sur Terre ! Quelle prétention stupide là encore !
La lumière aurait une vitesse unique dans le vide : pourtant, la même science affirme que l'Univers tout entier est rempli de photons en quantité énorme que la décence m'interdit de chiffrer, sans même parler de l'éther (sic), où est le vide en tel cas ?
Le fait qu'une grande quantité de molécules gazeuses soient retirée d'un récipient ne suffit certainement pas à obtenir un vide absolu (sans même parler des très nombreuses particules inconnues des scientifiques à qui les corps matériels, telles que les parois des récipients, ne font pas obstacle...
Cette notion de vide est donc très relative, ce qui retire toute crédibilité à leurs mesures... et de là à prétendre que la lumière a une vitesse unique et que les photons ne s'immobilisent jamais... il faut être des plus stupides pour le croire : pourquoi en tel cas, si la vitesse de la lumière est unique, avoir besoin de préciser «dans le vide» ?
Les molécules gazeuses constitueraient donc «un frein» à la vitesse des photons, donc leur vitesse n'est plus «unique» ! Il en va de même dans l'affirmation selon laquelle les photons, ne peuvent jamais s'immobiliser... : que deviennent alors ses grains de lumière en traversant des corps physiques opaques ne réfléchissant pratiquement pas les rayons lumineux... perceptibles par l'oeil humain ?
Pourquoi, puisqu'ils ne s'immobiliseraient jamais, ces «grains de lumière» ne viennent-ils pas «éclairer» ce qui est à l'intérieur d'un récipient opaque ? Pourquoi encore, une simple lampe n'éclaire-t-elle pas à l'infini ?
Je pose simplement quelques questions... mais il y en a beaucoup d'autres auxquelles les théories scientifiques sur la lumière n'apportent pas de réponse satisfaisante et logique... simplement parce qu'elles sont erronées.
Nous venons de voir que les scientifiques considèrent que des «grains de lumière» libèrent les électrons des atomes composant la cible, entraînant l'apparition d'un courant électrique, un courant «photoélectrique». Ce phénomène expliqué par Albert Einstein ne me satisfait pas vraiment. De toute évidence, toutes ces théories sur la lumière cherchent à cerner la réalité… mais une chose leur échappe, même Einstein n’était pas totalement certain de sa théorie. C’est donc une hypothèse que je vais proposer ici, car les moyens techniques des physiciens ne permettent pas encore, de nos jours, d’en vérifier l’exactitude.
Pour l’ensemble de mes recherches, je fais largement appel à mon intuition et ensuite je cherche à apporter des explications logiques de ce que je «pressens». Il en est ainsi de mes explications sur la nature de la lumière. Je considère, en effet, que les chercheurs d’avant Einstein n’avaient pas tort… sans avoir totalement raison, et il en va de même d’Einstein !
Il est des choses que les mathématiques, en raison de leurs imperfections, ne parviennent pas à expliquer ou à démontrer : il en va ainsi de la nature de la lumière… comme de nombreuses autres observations que nous pouvons effectuer chaque jour !
Je considère que la lumière est bel et bien générée par des ondes électromagnétiques… mais ces ondes ne sont pas lumineuses.
Ces ondes sont plus ou moins puissantes, selon leur source, et d’un type particulier : elles possèdent en effet la particularité de rendre perceptible à l’œil (donc visible) les corps physiques (solides, gaz ou liquides) qu’elles traversent ou qu’elles viennent heurter. C’est pour cette raison que l’espace qu’elles traversent, faute d’atomes réagissant à leurs passages, reste noir à nos yeux… mais si un corps solide fait obstacle à leur passage, les atomes de ce corps matériel sont alors «activés» et ce corps devient visible à nos yeux, précision importante : ces atomes ainsi activés produisent aussi de la chaleur.
Les «grains de lumière» d’Einstein ne sont pas des «grains» comme il le pensait, mais simplement la réaction d’une infinie quantité d’atomes au passage des ondes électromagnétiques de lumière, cette multitude d’atomes pouvant aisément être pris pour des «grains de lumière», d’autant plus facilement qu’une grande quantité d’entre eux sont entraînés, véhiculés si vous préférez, en fonction de leur nature par ces ondes électromagnétiques.
Conscient du fait que la science est encore très loin de tout connaître en matière d’atomes, le plus grand nombre d’entre eux lui étant, et pour longtemps encore, inconnus, tels que ceux dont notre corps astral est constitué, c’est parmi ces atomes, infiniment plus petits que ceux connus «physiquement», qu’il faut rechercher ces atomes qui, par réaction au «bombardement» des ondes électromagnétiques de lumière, ont été appelés par Einstein : «grains de lumière», ne trouvant pas d’autres explications… et pensant remettre à plus tard ses recherches sur ce sujet qui lui échappait en parti.
Einstein n’avait donc pas complètement tort… pas plus que les physiciens qui l’avaient précédé : par intuition donc, je suis certain que ces ondes électromagnétiques existent bel et bien et que c’est la réaction d’une quantité infinie d’atomes qui a fait penser à Einstein qu’il existait des «grains de lumière»… mais ces «grains de lumière» ne constituent pas de l’énergie pure, et c’est là une erreur, ils ne sont que des atomes qui réagissent simplement sous l’effet des ondes électromagnétiques «de lumière», tout en transformant une partie de cette énergie en énergie thermique (chaleur), réduisant ainsi une partie de l’énergie des ondes électromagnétiques de lumière (raison pour laquelle la lumière de nos ampoules n’est pas visible « à l’infinie » : ce sont les atomes de l’air qui absorbent rapidement leur énergie, au point de la réduire à néant).
La lumière en elle-même n’est donc pas «matérielle», elle n’est pas composée de «grains de lumière»… mais ces «grains de lumière», ou ces «atomes réagissants» (je préfère les appeler ainsi), sous l‘effet de la puissance des ondes électromagnétiques de lumière, sont «véhiculés» à très grande vitesse, permettant ainsi les observations des effets appelés «photoélectriques». Ces «grains de lumière» ne sont donc pas de la lumière, mais des atomes particuliers dont la nature reste encore à découvrir, réagissant au passage des ondes électromagnétiques de lumière !
Seule cette hypothèse, purement théorique, permet d’expliquer l’existence des «trous noirs» dans l’espace. Certaines zones sont totalement dépourvues des ces «atomes réactifs» aux ondes électromagnétiques de lumière pour des raisons que j’ignore (je préfère le dire franchement que servir une explication «savante et ridicule»), de ce fait, ces zones ne peuvent apparaître que noires, à l’œil humain… ou autre «œil» physique (télescope…) conçu par l’homme... en fonction de ses propres facultés visuelles !
Tant de choses restent encore à expliquer… attendons d’évoluer pour avancer d’autres certitudes : l’humilité ne constitue pas un défaut !
Pourquoi aussi les scientifiques accordent-ils si peu d'importance au fait certain, énoncé par Einstein lui-même, que la lumière est soumise à la gravitation ? La dite gravitation, si elle modifie la trajectoire, modifie aussi la vitesse de la lumière !
Je considère que la lumière est la simple manifestation d'ondes électromagnétiques d'un type particulier qui a pour effet de rendre perceptible à de nombreux êtres vivants physiquement (hommes, animaux, végétaux) certaines formes ou éléments physiques existants et dans l'Univers.
Ces ondes électromagnétiques ne se déplacent jamais, au niveau interplanétaire, en ligne droite, leurs trajectoires sont toujours infléchies par les différentes forces de gravitation des masses voisines (systèmes stellaires et planètes).
Ceci n'avait pas échappé à Einstein, ce phénomène a pour effet de créer parfois des sortes de mirages ou le même noyau de galaxie peut être «vu» en plusieurs points différents dans l'atmosphère, un peu comme si notre vision était faite au travers d'une «lentille gravitationnelle» qui peut déformer une image (agrandir, rétrécir, multiplier, déformer, renverser). Ce phénomène est appelé la «Croix de Einstein».
Ce qui a échappé à Einstein, c'est la vitesse de la lumière.
Cette vitesse, du fait de la résistance que lui opposent certains corps physiques (matière, liquide, gaz, etc.) ou autres à découvrir, n'est jamais constante.
Les ondes électromagnétiques de lumière subissent des accélérations vertigineuses et des ralentissements considérables selon l'espace traversé, sa vitesse pouvant être ramenée à zéro au contact de molécules qui lui sont particulièrement réfractaires. Dans certains cas, leur mode de déplacement peut être comparé à celui des gaz ou des liquides, c'est à dire qu'ils peuvent s'écarter d'un solide pour se reformer derrière, selon la forme «aérodynamique» de la masse rencontrée.
Les ondes électromagnétiques «de lumière» traversent certains corps gazeux ou liquides, provoquent, en heurtant certaines de ces molécules, un effet qui les rend «visibles» à l’œil humain par exemple, lui donnant l'impression de «rayons» et ce sont ces particules microscopiques qu'Einstein avait appelées des «grains de lumière» ne trouvant pas provisoirement d'autres explications, mais le savant avait conscience que certaines choses lui échappaient encore...
Certains corps possèdent la particularité d'accumuler une partie de l'énergie de ces ondes, c'est le cas notamment du phosphore et, à des degrés différents, de nombreux autres corps physiques, et de les restituer en partie. Certaines espèces animales possèdent également cette particularité (lucioles, vers luisants et certains poissons) dont ils se servent la nuit pour communiquer avec leurs congénères ou effrayer un agresseur.
Ce type d'ondes peut également être produit par le passage de courant électrique (principe des lampes), par frottement ou tout autre effet thermique. Ces ondes émises à grande puissance, rendent visibles à l’œil les masses gazeuses qui entourent les planètes et les étoiles, mais attention, les ondes électromagnétiques qui provoquent la lumière sont froides… et non lumineuses en elles-mêmes !
Les ondes qui provoquent des effets thermiques en traversant certains corps réfractaires ont des effets comparables en de nombreux points, bien que froides, à des sources d’énergie thermiques, les vitesses de ces dernières sont nettement moins importantes et leurs effets plus limités dans l'espace. De ce fait, les pauvres terriens que nous sommes ne disposent, en l'état actuel des choses, d'aucun moyen sérieux de calculer avec précision la vitesse de la lumière dans l'espace... ni même sur Terre ou dans notre minuscule système solaire : n'en déplaise à certains !
Si une infinité de milliards de «grains de lumière» sillonnaient en permanence notre Univers dans tous les sens... comment simplement expliquer le simple phénomène de la nuit ?
Il apparaît évident qu'il est parfaitement possible de dépasser la vitesse de la lumière, contrairement à ce qu'affirme la science. L'homme, entre autre, est capable, par ses ondes de pensées simplement, de dépasser cette vitesse.
Au niveau de la vitesse possible du corps astral, la vitesse de la lumière est très largement dépassée et, certaines civilisations extraterrestres sont parvenues, physiquement, à ce résultat, ce qui explique que de nombreux «engins» soient capables de disparaître de notre vue en moins de temps qu'il en faut pour le voir !
Nombreux sont les «scientifiques modernes», tenants de la science officielle, qui affirment avec une prétention extraordinaire, que seuls les imbéciles peuvent se permettre (je pèse mes mots...), que l'existence de civilisations extraterrestres n'existent pas, que pour effectuer le voyage de leur planète à la Terre, des milliards d'années (lumière) seraient nécessaires en supposant, disent-ils, que ces civilisations soient capables de se déplacer à la vitesse de la lumière...
Vu l'opinion que ces «professeurs d'absurdité» nourrissent d'eux-mêmes (vivement encouragés par certains médias aux reporters aussi stupides qu'eux, nous en connaissons tous), nul ne peut leur être supérieur. N’est-ce pas pour cette raison que «l'administration» les emploie et les charge d'attribuer des diplômes d'ingénieur ou de corriger les thèses de Doctorat... ? Malheur à qui ne s'aligne pas sur leurs avis : c'est l'échec assuré !
Quant à moi, j'affirme que les centaines de milliers de personnes qui, au cours des siècles, dans le monde, ont été témoins de phénomènes «OVNI» ne sont pas toutes des menteuses, des illuminées ou des psychopathes... comme l'affirment ces prétentieux ridicules.
Même si un seul fait exception, toutes les théories des scientifiques sur la vitesse de la lumière sont fausses (ils le savent très bien, mais leur orgueil est plus fort que leur intelligence, pour ne pas dire leur intégrité).
La vitesse de la lumière varie en permanence dans l'espace et il est parfaitement possible de la dépasser : je place ici quiconque au défit de me prouver le contraire, ne serait-ce que par simple explication logique : le simple fait que l'homme soit encore incapable d'atteindre les 100.000 Km/h physiquement ne prouve en rien une quelconque impossibilité d'aller 1.000 fois plus vite !
Je suis certain que, dans quelques siècles, mes théories, qualifiées de farfelues par ceux qu'elles dérangent, seront confirmées : il y a moins d'un siècle, les plus grands savants n'affirmaient-ils pas qu'il était impossible de concevoir ou de penser qu'un jour, l'homme dépasserait la vitesse du son... alors ?
Il en sera de même de la lumière, mais 50 ans terrestres ne suffiront pas à la dépasser 10 fois...
Il reste beaucoup à faire et à apprendre sur cette Terre ! En tout cas, même dans un vide supposé, la vitesse de la lumière n'est ni invariable ni indépassable, je n'ai aucun doute à ce sujet, une telle rigidité serait contraire à toute logique, même si elle remet en question les calculs de la relativité (E=mc², c² étant le carré de la vitesse de la lumière, il ne peut s'agir que de calculs approximatifs valables uniquement sur les lieux de mesure de cette vitesse, actuellement la Terre ou, au mieux, notre minuscule (au niveau astral) système solaire). Tous les calculs réalisés sur cette base mathématiques exigeront des corrections en dehors du système solaire en raison de cette hypothèse.
Pour l'ensemble des calculs interplanétaires : la notion «d'année lumière» est une «unité de mesure de distance» aussi erronée que simpliste, exactement comme si un mécanicien de haute précision effectuait ses mesures... avec une chaîne d'arpenteur élastique !
Si les théories scientifiques étaient exactes, comment expliquer la formation des «trous noirs» dans l'Univers ?
Ces endroits «monstrueux» qui absorberaient tout ce qui passerait à «proximité». Si la lumière se déplaçait en ligne droite, à vitesse constante, elle ne pourrait qu'échapper à un tel phénomène... alors ?
Comme je n'ai aucune théorie satisfaisante sur ce phénomène des trous noirs, je me garderai bien d'affirmer ce dont je ne suis pas certain, bien que j'aie ma petite idée, des recherches complémentaires s'imposent.
Il ne serait pas sérieux de déterminer, pour une onde électromagnétique, une vitesse alors que cette vitesse fait l'objet de constantes modifications dans l'espace, tant sur le plan directionnel que sur celui de sa vitesse.
Il serait plus juste de dire que sur Terre, à telle date, la vitesse de la lumière était de X km/S en émettant les plus grandes réserves pour le futur et le passé, l'Univers est en perpétuelle évolution... même si cela complique sérieusement les choses, il en est ainsi !
Sur le plan pratique, la formule E=mc² reste applicable, pour notre période de vie, de petites corrections pouvant toujours lui être apportées, mais dans l’absolu... elle ne peut en aucun cas être à caractère universel, du simple fait des variations très importantes, dans l'espace, de la vitesse de la lumière, ce qui n'enlève rien au génie d'Albert Einstein... d'autant moins qu'il n'a jamais caché ses doutes, en toute humilité !
Il convient de reprogrammer les ordinateurs des scientifiques, de tout reconsidérer et d'admettre, pour longtemps encore sans doute, que l'homme n'est pas encore assez évolué pour avoir une idée précise sur la nature de l’Univers... et, pour de nombreux scientifiques, de concevoir simplement la possibilité de vies extraterrestres, ce qui, évidemment, anéantit de nombreux dogmes, qui sont aussi les piliers principaux de nombreuses religions ou autres sectes (religieuses, scientifiques, politiques ou financières...) toutes ne font qu'un tronc commun dont le seul rempart est l'esprit cartésien cultivé à outrance... dès la petite école, dans les pays occidentaux, ou sous forme d'intégrisme religieux dans les pays à régimes déistes, les deux pouvant parfaitement se combiner pour neutraliser certaines «ouvertures d'esprit».
Je ne terminerai pas ces considérations sur la lumière sans signaler que «l'amplification de la lumière par émission simultanée de rayonnement» plus connu sous le nom de «principe LASER» mis au point en 1960 doit son existence aux travaux d'Albert Einstein qui, dès 1916, en énonçait le principe... même si le LASER n'est plus un mystère, et si ses applications en science et dans l'industrie ne se comptent plus, il convient d’attirer ici l’attention sur l’usage qui en est fait !
Le mot laser est un acronyme (sigle que l’on prononce comme un mot ordinaire, sans l’épeler) de l'anglais «Light Amplification by Stimulated Emission of Radiation» («amplification de la lumière par émission stimulée de radiations»). Le laser est un dispositif qui amplifie la lumière et la rassemble en un étroit faisceau, dit cohérent, où ondes et photons associés se propagent en phase, au lieu d'être arbitrairement distribués.
Cette propriété rend la lumière laser extrêmement directionnelle. Le rayonnement est également d'une grande pureté spectrale, le processus d'émission des photons garantissant leur régularité quantique. D'abord cantonnés à la lumière visible, les lasers couvrent aujourd'hui toute la gamme des rayonnements électromagnétiques, des rayons X et ultraviolets aux ondes infrarouges et micrométriques.
Le principe du laser consiste à exciter les électrons d'un milieu, puis à y déclencher l'émission de photons en cascade, et à accumuler le rayonnement entre deux surfaces réfléchissantes avant de le relâcher sous forme de rayon.
Pour ce faire, le dispositif du laser consiste en un réservoir d'électrons (milieu fertile qui peut être solide, liquide ou gazeux), associé à une source excitante qui «pompe» ses électrons à de hauts niveaux d'énergie. Dans un second stade, de la « lumière » est injectée dans le milieu : son influence sur les électrons excités libère une cascade de photons, «émission stimulée» qui produit l'amplification de la lumière, de dire des ondes électromagnétiques de lumière serait plus correct.
Deux miroirs situés aux extrémités du laser se réfléchissent les photons émis, la lumière se densifiant à chaque parcours à travers le milieu, jusqu'à ce qu'une fraction soit relâchée par une petite ouverture à l'extrémité du dispositif. La lumière laser doit sa cohérence au fait que les photons du milieu naissent sur le passage d'autres photons et sont donc en phase avec eux dans leur déplacement.
Le principe de l'émission stimulée (la production sur commande d'un photon par un électron) fut décrit par Albert Einstein dès 1917, mais il fallut attendre l'année 1958 pour que son application pratique, le laser, donne lieu à un brevet, déposé par les physiciens américains Arthur Schawlow et Charles Hard Townes (l'antériorité de l'invention fut contestée par le physicien et ingénieur américain Gordon Gould, qui obtint gain de cause en 1977 pour l'une des composantes du système).
En 1960, le physicien américain Theodore Maiman obtint pour la première fois une émission laser en excitant des cristaux de rubis. Un an plus tard, en 1961, le physicien américain d'origine iranienne Ali Javan mit au point un laser au gaz (hélium et néon). En 1966, le physicien américain Peter Sorokin construisit le premier laser à liquide.
Les lasers sont classés en cinq grandes familles, selon la nature du milieu excité : lasers à solide, lasers à gaz, lasers à semi-conducteurs, lasers à liquide et lasers à électrons libres.
- Les lasers à solide utilisent des verres et des cristaux comme milieu d'émission et de propagation des photons (notamment des cristaux de rubis et des verres dopés au néodyme). De tous les lasers, ce sont ceux qui fournissent la plus grande puissance utile. Ils opèrent généralement en mode discontinu, générant des impulsions lumineuses extrêmement brèves (jusqu'à 12.10-15 s), permettant d'étudier les phénomènes physiques de très courte durée. Dans de tels lasers, le pompage préliminaire du milieu est réalisé par des flashs électroniques au xénon, des lampes à arc ou des lampes à vapeur métallique. Les lasers à solide étendent aujourd'hui leur gamme de fonctionnement aux rayons ultraviolets (multiplication de la fréquence lumineuse dans des cristaux de phosphate de potassium), et même aux rayons X (interaction des photons avec une cible en yttrium).
- Dans un laser à gaz, le milieu générateur de photons est un gaz pur, un mélange de gaz ou un métal chauffé à l'état de vapeur, contenu dans un tube en verre ou en quartz. Le pompage du milieu est obtenu par rayonnement ultraviolet ou bombardement d'électrons. Le laser à hélium et néon, en particulier, est connu pour la pureté de sa fréquence d'émission et l'étroitesse (directivité) du faisceau obtenu. Les lasers à dioxyde de carbone sont également répandus et génèrent de fortes puissances en mode continu.
- Lasers à semi-conducteurs. Particulièrement compacts, les lasers à semi-conducteurs utilisent les jonctions électroniques entre semi-conducteurs de conductivités différentes pour générer des photons (l'un des matériaux les plus performants étant l'arséniure de gallium). La production des photons est cantonnée à la jonction électronique par des surfaces réfléchissantes. Le pompage est obtenu par mise sous tension du circuit. Pour obtenir des puissances élevées, un grand nombre de semi-conducteurs sont montés dans un espace réduit, leur densité pouvant atteindre un million au centimètre carré. Les lasers à semi-conducteurs sont notamment utilisés pour les imprimantes laser et les lecteurs de disques compacts.
- Lasers à liquide Dans les lasers à liquide, le milieu actif consiste généralement en un colorant inorganique, enfermé dans un récipient en verre. Le milieu est pompé par flashage (mode discontinu) ou par un laser auxiliaire à gaz (mode continu). Dans un laser à liquide, la fréquence du rayonnement peut être ajustée au moyen d'un prisme placé dans le récipient, ce qui rend l'appareil d'une grande précision spectrale.
- En 1977 sont apparus les lasers à électrons libres, utilisés principalement pour la recherche. Ils mobilisent les électrons d'un plasma, spiralant autour des lignes de force d'un champ magnétique. Contrairement aux lasers à liquide, leur fréquence de rayonnement peut être ajustée, de l'infrarouge aux rayons X. À l'avenir, de tels lasers devraient être capables de générer de très hautes énergies à des coûts raisonnables.
Les rayons lasers permettent de focaliser une forte puissance rayonnante sur une petite surface. Ils sont ainsi utilisés pour chauffer, fusionner ou vaporiser la matière. On les emploie donc dans l'industrie pour percer les matières les plus dures, comme le diamant, polir les composants microélectroniques, traiter à chaud les puces à semi-conducteurs, voire élaborer de nouvelles matières synthétiques. Il est même envisagé, dans certains projets de centrales à fusion nucléaire, d'utiliser des lasers pour confiner le milieu réactif à des densités critiques.
Dans les bâtiments et les travaux publics, les rayons lasers servent à vérifier l'alignement des structures. Ils se révèlent également d'excellents détecteurs de molécules gazeuses et sont utilisés pour l'étude de l'atmosphère et de ses polluants.
La faible dispersion spatiale des rayons lasers et leur grande précision temporelle permettent de les utiliser pour mesurer des distances, à la manière des ondes radar : les rayons sont envoyés sur des miroirs positionnés sur les sites à cadastrer, par exemple le long d'une faille ou sur les rives opposées d'un océan en expansion. Le temps du trajet aller-retour du rayon laser permet de mesurer les distances au centimètre près (en théorie). Les satellites utilisent également des altimètres lasers pour déterminer l'altitude du relief survolé ou la hauteur des vagues sur la mer.
Des miroirs lasers ont même été déposés sur la Lune par certains astronautes, et ont renvoyé des rayons lasers émis depuis la Terre, permettant de mesurer la distance Terre-Lune avec une précision inégalée… et pour cause : de telles mesures auraient mis en évidence une lente dérive de la Lune qui s'écarterait de notre planète au rythme de quelques millimètres par an. Soyons sérieux, certains scientifiques émettent ainsi des hypothèses tout à fait fantaisistes pour se singulariser : La lune est soumise en permanence à des forces gravitationnelles qui, selon les périodes, la rapproche ou l’éloigne de la terre. Il est donc impossible dans ces conditions d’affirmer, sur de simples mesures, aussi précises soient-elles (ce qui demande encore à être vérifier) sur une durée de quelques années seulement, que la lune s’éloignerait… alors que tout prouve qu’elle ne peut que se rapprocher de la terre dans le temps (résultante de ses éloignements et de ses rapprochements successifs). Ceci dit, rien ne prouve que la vitesse des rayons laser soit la même dans l’espace que dans notre atmosphère terrestre, cela paraît même fortement improbable ! Cette affirmation selon laquelle la lune s’éloignerait de… quelques millimètre par an est d’ailleurs loin de faire l’unanimité du monde scientifique : pour ma part, je suis convaincu que ces mesures n’ont rien de significatif, des dizaines d’années de mesures sont nécessaires pour apprécier le rapprochement réel de la lune dans le temps (pour effectuer une moyenne sérieuse).
Réciproquement, la vitesse de la lumière laser pourrait être exactement calibrée entre deux points dont l'écartement serait connu : ces mesures auraient permis de vérifier entre autres la théorie de la relativité. Que d’affirmations invérifiables : Qui peut affirmer sérieusement connaître la vitesse de la lumière laser dans l’espace… au point de permettre des mesures sur des centaines de milliers de kilomètres avec une précision de quelques millimètres ? C’est tout simplement stupide… surtout pour des corps en mouvements aussi rapides et complexes que ceux des planètes… et de la terre !
Dans les accélérateurs de particules, des commutateurs très rapides activés au laser sont en cours de développement. On projette également d'utiliser des rayons lasers dans les chambres à vide pour stabiliser les atomes étudiés, et analyser rigoureusement leur spectre. Le caractère monochromatique et hautement directionnel des rayons lasers permettrait en effet de sonder la structure moléculaire de la matière, par la mesure des infimes décalages spectraux des rayons lasers réfléchis à son contact. La présence d'impuretés dans certaines matières, notamment, peut ainsi être détectée. D'autre part, le bombardement de molécules par des rayons lasers monochromatiques permet d'y déclencher des réactions chimiques… qui seraient strictement contrôlées.
Comme toute onde, le rayonnement laser peut être modulé en signal et servir aux télécommunications. Le rayonnement laser se distingue en effet par une dispersion extrêmement réduite : il parcourt de longues distance dans le vide sans modification substantielle de l'intensité du signal, affirment les scientifiques, mais où existe le vide ? Qu’appellent-ils «sans modifications substantielles», ce simple terme prouve que de nombreux facteurs leurs échappent encore : il n’y a pas de honte à cela, mais le dire serait plus honnête… mais ne faut-il pas «justifier» de résultats concrets… pour obtenir davantage de crédits ?
D'autre part, en raison de sa fréquence élevée, le rayonnement laser serait capable de véhiculer 1.000 fois plus de canaux de télévision que les ondes micrométriques et est préconisé pour les futures générations de satellites de communication : il s’agit là de simples hypothèses à vérifier… même si, effectivement, sa fréquence permet une très nette amélioration, c’est tout ce que je peux honnêtement affirmer pour l’instant !
Au sol, les fibres optiques véhiculent également des signaux lasers porteurs d'une riche densité d'informations (chaînes de radio et de télévision, données informatiques) sur des réseaux en pleine expansion.
En raison de leur précision directionnelle, les rayons lasers servent à couper et à cautériser les tissus organiques, sans endommager les tissus sains environnants… ceci en fonction de la dextérité du praticien, convient-il de préciser... ! Ils sont utilisés notamment dans les opérations de décollement de la rétine, pour ressouder le tissu en place, ainsi que pour cautériser les vaisseaux sanguins et vaporiser les lésions. Le laser est également utilisé en laboratoire dans les analyses d'échantillons biochimiques.
Des systèmes de guidage à laser ont été développés pour les missiles, les avions et les satellites. Des canons lasers de très haute énergie ont également été proposés comme nouvelle classe d'armement antimissile par le président américain Ronald Reagan en 1983 : plusieurs tests ont été conduits… mais l’infaillibilité pratique n’est pas encore acquise ! D'autre part, la capacité que possèdent les lasers à liquide d'effectuer une excitation sélective des atomes pourrait ouvrir la voie à de meilleurs systèmes de séparation des isotopes, notamment dans la fabrication des bombes nucléaires… comme si l’humanité n’était pas encore assez en péril !
Grâce à ses impulsions lumineuses puissantes autant que brèves, le laser se prête remarquablement à la photographie : on peut obtenir de très courts temps de pose par ce procédé, permettant la photographie de phénomènes extrêmement brefs. En holographie, ce sont également aux rayons lasers que sont prises les photographies dont sont tirées par interférence des images tridimensionnelles. L’holographie consiste en un procédé de restitution en trois dimensions de l'image d'un objet, qui utilise l'interférence entre deux rayons laser, l'un issu de l'appareil, l'autre, de l'objet lui-même. Les enregistrements ainsi obtenus sont des hologrammes (du grec holos, «entier», et gram, «message»). Les principes de l'holographie furent introduits par le physicien anglais Dennis Gabor dès 1947.
Cependant, on n'obtint les premiers hologrammes qu'au début des années 1960, à partir du moment où l'on put produire des rayons laser, source de lumière véritablement cohérente. À la fin des années 1980, on commença à produire des hologrammes aux couleurs authentiques, ainsi que des hologrammes à partir de toutes les longueurs d'onde du spectre électromagnétique. On réalisa également des hologrammes à partir d'ondes acoustiques (ultrasons).
Enfin, le succès du laser est aussi dû à ses applications spectaculaires dans les arts scéniques : ballets et arabesques de pinceaux lumineux dans le ciel, éclairages de concerts et spectacles son et lumière ont propulsé la technique laser aux avant-postes de l'art contemporain. Notons également que l'on utilise parfois les rayons lasers pour nettoyer la façade de certains monuments historiques.
Dans les applications scientifiques et industrielles comme dans les arts, l'emploi du laser nécessite de respecter un certain nombre de règles de sécurité. Tension et intensité lumineuses peuvent être très élevées.
Comme l'œil focalise sur la rétine la lumière laser de la même façon que toute autre lumière, le danger principal est l'endommagement des yeux. Il est donc recommandé aux opérateurs de ne pas exposer leurs yeux aux rayons lasers, qu'ils soient directs ou réfléchis, et de porter des lunettes protectrices.
- Lulu Cypher
- Modérateur
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Re: La vitesse de la lumière.
+1attendons d’évoluer pour avancer d’autres certitudes : l’humilité ne constitue pas un défaut !

PS : dans un domaine différent et pour info ici et là
je note qu'il suffit maintenant de s'improviser auteur et se citer soi même pour se croire crédible ... ça serait à mourir de rire si ce n'était
Et Dieu dit : « que Darwin soit »
------------------------------
Les animaux sont moins intolérants que nous : un cochon affamé mangera du musulman (P. Desproges)
------------------------------
Attention ce post est susceptible (lui-aussi) de contenir des traces d'humour. L'auteur tient à signaler qu'il décline toute responsabilité quant aux conséquences de leurs mésinterprétations.
- kestaencordi
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- Inscription : 10 janv. 2012, 08:41
Re: La vitesse de la lumière.
je me demande bien ce qu'on vous a fait pour mériter ça. je me sens comme une oie!Pierre87 a écrit :Bonjour,
La vitesse de la lumière est ...
Victoriae mundis et mundis lacrima.
ça ne veut absolument rien dire, mais je trouve que c’est assez dans le ton.
ça ne veut absolument rien dire, mais je trouve que c’est assez dans le ton.
- kestaencordi
- Messages : 3858
- Inscription : 10 janv. 2012, 08:41
Re: La vitesse de la lumière.
j'ai vérifié tout ses ''t'' et ses ''i'' sont absolument identique au miens, je devrait m’inquiéter?Lulu Cypher a écrit : https://www.sceptiques.qc.ca/dictionnaire/graphol.html


Victoriae mundis et mundis lacrima.
ça ne veut absolument rien dire, mais je trouve que c’est assez dans le ton.
ça ne veut absolument rien dire, mais je trouve que c’est assez dans le ton.
tl;dr
Salut Pierre87,
Bigre! Un message de 36 Ko.
S'il avait été 10 ou 20 fois plus court, je l'aurais probablement lu, et commenté.
Mais 36 Ko, c'est beaucoup beaucoup beaucoup trop lourd. Bref : tl;dr
On est un forum de DISCUSSION (interactive), pas un forum de LECTURE.
Si tu souhaites intéresser quelques lecteurs (et, possiblement, avoir un feedback), tu devrais te limiter à des messages d'environ 3 Ko, gros max.

Les meilleures sorties de route sont celles qui font le moins de tonneaux.
Re: La vitesse de la lumière.
Re-salut Pierre 87,
Bonne nouvelle. Je viens de rôder 2~3 minutes dans ton pavé et je suis tout à fait d'accord avec ton dernier paragraphe :
Même si tu ne l'apprends à personne, au moins ça prouve qu'on n'est pas en désaccord sur tout.Comme l'œil focalise sur la rétine la lumière laser de la même façon que toute autre lumière, le danger principal est l'endommagement des yeux. Il est donc recommandé aux opérateurs de ne pas exposer leurs yeux aux rayons lasers, qu'ils soient directs ou réfléchis, et de porter des lunettes protectrices.
Bref, le pire est évité et elle est là, la bonne nouvelle.

Les meilleures sorties de route sont celles qui font le moins de tonneaux.
- Wooden Ali
- Messages : 5070
- Inscription : 09 déc. 2006, 21:31
Re: La vitesse de la lumière.
Salut Denis,
Je me joins à toi pour approuver sans restriction ce judicieux conseil.
C'est un cas où l'unanimité (qui devrait être atteinte) ne pourra pas être qualifiée de factice voire de stalinienne.
Je me joins à toi pour approuver sans restriction ce judicieux conseil.
C'est un cas où l'unanimité (qui devrait être atteinte) ne pourra pas être qualifiée de factice voire de stalinienne.
Dernière modification par Wooden Ali le 04 avr. 2016, 13:05, modifié 1 fois.
Les faits ne pénètrent pas dans le monde où vivent nos croyances. Marcel Proust
Gloire à qui n'ayant pas d'idéal sacro-saint
Se borne à ne pas trop emmerder ses voisins ! Georges Brassens
Mon Dieu ! Mon Dieu ! Pourquoi m'as-tu abandonné ? Dieu
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Re: La vitesse de la lumière.
Bonjour et bienvenue sur le forum.
Je note un certain nombre de "petits" problèmes dans votre long exposé ...
Je les résumerai ainsi: la valeur de la graphopsychologie comme de la morphopsychologie, fussent-elles enseignées "en fac" (laquelle, d'ailleurs ?), n'a encore jamais été démontrée en tant que base de réfutation des théories scientifiques admises à ce jour .
Vous devriez donc strictement mettre en application ce que vous avez écrit, à savoir : "Comme je n'ai aucune théorie satisfaisante sur ce phénomène des trous noirs, je me garderai bien d'affirmer ce dont je ne suis pas certain,".
Par ailleurs, je vous suggère de présenter vos interrogations et thèses diverses directement aux physiciens concernés par le sujet qui vous préoccupe, plutôt que sur un forum généraliste tel que le nôtre. Evidemment, vous prendrez bien soin de ne pas être soumis à ce redoutable outil d'analyse de votre contribution scientifique lorsque vous leur présenterez vos théories ...
Je note un certain nombre de "petits" problèmes dans votre long exposé ...
Je les résumerai ainsi: la valeur de la graphopsychologie comme de la morphopsychologie, fussent-elles enseignées "en fac" (laquelle, d'ailleurs ?), n'a encore jamais été démontrée en tant que base de réfutation des théories scientifiques admises à ce jour .
Vous devriez donc strictement mettre en application ce que vous avez écrit, à savoir : "Comme je n'ai aucune théorie satisfaisante sur ce phénomène des trous noirs, je me garderai bien d'affirmer ce dont je ne suis pas certain,".
Par ailleurs, je vous suggère de présenter vos interrogations et thèses diverses directement aux physiciens concernés par le sujet qui vous préoccupe, plutôt que sur un forum généraliste tel que le nôtre. Evidemment, vous prendrez bien soin de ne pas être soumis à ce redoutable outil d'analyse de votre contribution scientifique lorsque vous leur présenterez vos théories ...

"As democracy is perfected, the office of President represents, more and more closely, the inner soul of the people. On some great and glorious day, the plain folks of the land will reach their heart's desire at last and the White House will be adorned by a downright moron." - H. L. Mencken
Re: La vitesse de la lumière.
Diantre! La lumière de l'éclair pourrait donc entrer dans mon cerveau... Mais ça explique TOUT.Pierre87 a écrit : Les molécules gazeuses constitueraient donc «un frein» à la vitesse des photons, donc leur vitesse n'est plus «unique» ! Il en va de même dans l'affirmation selon laquelle les photons, ne peuvent jamais s'immobiliser... : que deviennent alors ses grains de lumière en traversant des corps physiques opaques ne réfléchissant pratiquement pas les rayons lumineux... perceptibles par l'oeil humain ?
Pourquoi, puisqu'ils ne s'immobiliseraient jamais, ces «grains de lumière» ne viennent-ils pas «éclairer» ce qui est à l'intérieur d'un récipient opaque ? Pourquoi encore, une simple lampe n'éclaire-t-elle pas à l'infini ?

Re: La vitesse de la lumière.
J'imagine que si on enlevait tout type d'obstacle, elle le ferait.Pourquoi encore, une simple lampe n'éclaire-t-elle pas à l'infini ?
Non ?
- BeetleJuice
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Re: La vitesse de la lumière.
Pour ceux qui n'aurait pas l'envie de lire, on peut résumer tout ça à:
Je suis un crackpot et comme tout les crackpot, je ne comprends rien aux théories scientifiques que je prétends quand même dénigrer et j'ai la prétention d'expliquer le sujet X à moi tout seul, juste avec ma géniale intuition.
Mais bon, je pense que tout le monde s'en doutait.
Je sais que c'est un peu chiche comme réfutation, mais comme le texte n'a pas vraiment de cohérence et part un peu dans tous les sens, sans se soucier de vraiment expliquer où il veut en venir et que les incompréhensions de termes scientifiques sont légions, ça prendrait un temps considérable que je n'ai pas.
Je suis un crackpot et comme tout les crackpot, je ne comprends rien aux théories scientifiques que je prétends quand même dénigrer et j'ai la prétention d'expliquer le sujet X à moi tout seul, juste avec ma géniale intuition.
Mais bon, je pense que tout le monde s'en doutait.
Je sais que c'est un peu chiche comme réfutation, mais comme le texte n'a pas vraiment de cohérence et part un peu dans tous les sens, sans se soucier de vraiment expliquer où il veut en venir et que les incompréhensions de termes scientifiques sont légions, ça prendrait un temps considérable que je n'ai pas.
Normalement oui, vu que dans le cas contraire, ça voudrait dire qu'elle perdrait de l'énergie et il ne me semble pas qu'un photon puisse s'évaporer dans le vide.Nicolas a écrit : J'imagine que si on enlevait tout type d'obstacle, elle le ferait.
Non ?
This is our faith and this is what distinguishes us from those who do not share our faith.
(John Flemming, Évêque irlandais, 3ème dan de tautologie, ceinture noire de truisme, champion des lapalissades anti-avortement.)
(John Flemming, Évêque irlandais, 3ème dan de tautologie, ceinture noire de truisme, champion des lapalissades anti-avortement.)
Re: La vitesse de la lumière.
"Nombreux sont les «scientifiques modernes», tenants de la science officielle, qui affirment avec une prétention extraordinaire,"
J'ai arrêté là...........................
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- MaisBienSur
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Re: La vitesse de la lumière.
Et moi j'affirme honnêtement que vous affirmez un peu trop sans étayer ni prouver vos affirmations affirmativesPierre87 a écrit :Bonjour,
Mes affirmations quant à elles sont personnelles et mon propos est issu de l'un de mes livres
Quant à moi, j'affirme que les centaines de milliers de personnes qui, au cours des siècles, dans le monde, ont été témoins de phénomènes «OVNI» ne sont pas toutes des menteuses, des illuminées ou des psychopathes...
Comme je n'ai aucune théorie satisfaisante sur ce phénomène des trous noirs, je me garderai bien d'affirmer ce dont je ne suis pas certain, bien que j'aie ma petite idée, des recherches complémentaires s'imposent.
D'autre part, en raison de sa fréquence élevée, le rayonnement laser serait capable de véhiculer 1.000 fois plus de canaux de télévision que les ondes micrométriques et est préconisé pour les futures générations de satellites de communication : il s’agit là de simples hypothèses à vérifier… même si, effectivement, sa fréquence permet une très nette amélioration, c’est tout ce que je peux honnêtement affirmer pour l’instant !

Et la marmotte, elle met le chocolat dans le papier d'alu.
Avant, j'étais indécis, maintenant je n'en suis plus très sûr...
Les marmottes qui pissent au lit passent un sale hiver (Philippe Vuillemin)
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- LoutredeMer
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Re: La vitesse de la lumière.
,Pierre87 a écrit : Plouf plouf blaoui blaoua
On ne t'a jamais dit que tu étais soulant? Tu prétends écrire des livres et avoir enseigné en université, et pourtant tu ne sais pas ce qu'est une synthèse des idées. Je doute donc fortement de ce que tu prétends.
Synthèse, résumé, tu connais ces mots? Tu penses t'approprier un public ou des interlocuteurs en débarquant pour balancer des pavés interminables de copié collés (sic), indigestes et désordonnés? Commence donc par prendre les quelques idées maitresses, ordonne-les et formule-les dans un texte de 200 ou 300 mots. Tolérance : + 10 mots. Sinon c'est

Apprends aussi à faire un plan et à regrouper en paragraphes les idées principales.

Savoir donner un titre à tes écrits est également primordial. Le titre "La vitesse de la lumière" n'éclaire en rien sur le contenu

J'ai donc choisi de simplement survoler ce long désert d'ennui, pour découvrir en plus que tu affirmes des certitudes sans rien savoir et sans prouver quoi que ce soit. Donc pour l'instant c'est

"Par le saumon qui se meut!.. I want my food!.. Slice me tender"..
- Wooden Ali
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Re: La vitesse de la lumière.
Tant de générosité pour noter un gus dont l'ignorance rivalise avec la prétention m'époustoufle. As-tu pris des leçons de bienséance, de civilité et de politesse avec Mireille ?Donc pour l'instant c'est

Si c'est le cas, c'est probablement lui qui a provoqué les émeutes estudiantines en mai 68Tu prétends écrire des livres et avoir enseigné en université,
Les faits ne pénètrent pas dans le monde où vivent nos croyances. Marcel Proust
Gloire à qui n'ayant pas d'idéal sacro-saint
Se borne à ne pas trop emmerder ses voisins ! Georges Brassens
Mon Dieu ! Mon Dieu ! Pourquoi m'as-tu abandonné ? Dieu
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- MaisBienSur
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Re: La vitesse de la lumière.
LoutredeMer a écrit : pour découvrir en plus que tu affirmes des certitudes sans rien savoir et sans prouver quoi que ce soit. Donc pour l'instant c'est

C'est pas beau de copier sur ses petits camarades

Et la marmotte, elle met le chocolat dans le papier d'alu.
Avant, j'étais indécis, maintenant je n'en suis plus très sûr...
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- LoutredeMer
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- Inscription : 30 juil. 2008, 23:34
Re: La vitesse de la lumière.
Wooden Ali a écrit :Tant de générosité pour noter un gus dont l'ignorance rivalise avec la prétention m'époustoufle.Donc pour l'instant c'est
Bon comme on est lundi, ce sera meme -2/10 alors (meme pas de papier ni d'encre à évaluer) (débrouillez vous avec caMaisBienSur a écrit :LoutredeMer a écrit : pour découvrir en plus que tu affirmes des certitudes sans rien savoir et sans prouver quoi que ce soit. Donc pour l'instant c'est![]()
C'est pas beau de copier sur ses petits camarades

.
"Par le saumon qui se meut!.. I want my food!.. Slice me tender"..
Re: La vitesse de la lumière.
Pour le texte original:
Pour les réponses (incluant la mienne)
Le bullying en groupe. là je reconnais mes sceptiques.
I.

Pour les réponses (incluant la mienne)

Le bullying en groupe. là je reconnais mes sceptiques.

I.
"Whatever intelligence is, it can't be intelligent all the way down. It's just dumb stuff at the bottom." [Andy Clark]
Re: La vitesse de la lumière.
La vitesse de la lumière dans le vide est de 299 792 468 m/s, soit environ 300 000 km/s.
Re: La vitesse de la lumière.
Encore une fois, je ne vais commenter qu'une seule absurdité : si je les notais toutes il me faudrait un message au moins aussi long que le vôtre ...
Vous voulez dire que vous avez écrit une biographie d'Einstein sans même connaître sa vie ?

Vraiment ?Pierre87 a écrit :Certains détails lui échappaient encore (il était certain que la lumière était soumise à la gravitation... ce qui, effectivement, changeait bien des données et compliquait les choses), il en avait fait état à plusieurs de ses proches mais, comme c'était insignifiant, tout le monde de la science est passé outre, et pourtant !
Vous voulez dire que vous avez écrit une biographie d'Einstein sans même connaître sa vie ?



Le fait que je sache que quelque chose est vrai n'est pas une preuve. 

Re: La vitesse de la lumière.
Lorsqu'on a enseigné le psycho-vaudou "en fac", il n'est nul besoin de connaître le sujet pour en discourir !Chanur a écrit : Vraiment ?
Vous voulez dire que vous avez écrit une biographie d'Einstein sans même connaître sa vie ?
![]()
![]()

"As democracy is perfected, the office of President represents, more and more closely, the inner soul of the people. On some great and glorious day, the plain folks of the land will reach their heart's desire at last and the White House will be adorned by a downright moron." - H. L. Mencken
Re: La vitesse de la lumière.
Bonjour,
Très intéressantes vos réponses, Lulu Cypher me propose :
- Un renvoi vers le site (https://www.sceptiques.qc.ca/dictionnaire/graphol.html) d'un auteur qui ignore ce en quoi consiste la graphologie scientifique ( Les véritables experts en matière d'écriture sont les spécialistes de l'expertise judiciaire des écritures, pas les graphologues...), allant jusqu'à la confondre avec les arts divinatoires ! Ceci étant, lorsque l'on se permet d'écrire : " Et même les profanes sont capables d'identifier correctement le sexe d'un scripteur environ 70 % des fois (Furnham, p. 204).", on situe immédiatement le niveau de l'auteur : Aucun graphologue sérieux se permettrait une telle affirmation, entendu qu'il est impossible de déterminer avec certitude le sexe d'une personne par l'analyse de son écriture, elle permet simplement d'évaluer ses composantes masculines ou féminines (les femmes au caractère viril existent, tout comme les hommes efféminés : déterminer à coup sur le sexe d'une personne est donc impossible. De plus, une simple lettre (i, t, et.) n'a à elle seule aucune signification, elle est simplement la composante d'un ensemble (simplement sa forme, mais sont à considérer le niveau général du scripteur, la pression, de dynamisme, etc.) L'auteur du traité du site semble être un adepte de la "graphologie de salon", sans aucune base sérieuse.
- Un autre renvoi (https://fr.wikipedia.org/wiki/Morphopsychologie) concernant la morphopsychologie, attribue son invention au psychiatre Corman, (L'inventeur, en 1937, de la « morphopsychologie » est le docteur Louis Corman, ancien médecin chef du service psychiatrique de l'adulte à l'hôpital Saint-Louis)... oubliant en cela les travaux d' hippocrate ( 460 - 370 av. J.-C.) et sa célèbre typologie tempéramentale... et ses rapports directs avec l'aspect des visages (Bileux, sanguin, nerveux, lymphatique). Vu la capacité de compréhension de nombreux intervenant, approfondir le sujet serait une perte de temps (sauf exception...)
Pour kestaencordi : rassurez-vous, si vos barre de T sont en lasso (terme exact en graphologie) cela peut signifier simplement que vous aimez séduire, ou que vous faites preuve d'habileté diplomatique, ou que vous savez amener les gens à accepter votre cause, ou un bon sens commercial, etc... tout ceci en fonction de votre niveau général (à ne pas confondre avec le niveau d'instruction) et de l'ensemble du graphisme... et ce en fonction d'écrits datant de différente période (un bon graphologue ne base jamais son analyse sur sur un seul document : les écritures changent constamment en fonction du temps, de l'humeur ou de l'état de santé du scripteur, du destinataire de l'écrit). Une analyse sérieuse ne se fait pas en 5 minutes et demande une solide formation en psychologie... et beaucoup d'humilité pour admettre que la graphologie n'est pas une science parfaite... tout comme la médecine d'ailleurs !
Denis, j'en conviens, mon exposé était trop long... je ferai plus court la prochaine fois !
Florence, votre intervention est celle d'une personne convaincue de tout connaître ! Vous affirmez n'importe quoi... Mais je vais néanmoins vous répondre ! Voici 52 ans déjà, j'ai fréquenté la faculté de médecine psychosomatique qui était située dans le quartier de "la Rozias", à Lausanne (aujourd'hui : Institut de Psychosomatique Naturelle de Lausanne (Suisse)), après avoir commencé ma formation sous les directives d'André Passebecq, décédé dernièrement (http://www.naturemania.com/naturo/passebecq.html). C'est à l'International Dynamic Scool d'Yverdon, puis de Lausanne (dirigée alors par je Dr Jean-Jacques Bésuchet, que j'ai commencé d'enseigner)... Mais en fait, j'ai consacré les 3/4 de ma vie à la recherche.
LoutredeMer, j'interviendrai prochainement avec un texte à votre niveau... que vous puissiez comprendre !
Bonne soirée à tous.
Très intéressantes vos réponses, Lulu Cypher me propose :
- Un renvoi vers le site (https://www.sceptiques.qc.ca/dictionnaire/graphol.html) d'un auteur qui ignore ce en quoi consiste la graphologie scientifique ( Les véritables experts en matière d'écriture sont les spécialistes de l'expertise judiciaire des écritures, pas les graphologues...), allant jusqu'à la confondre avec les arts divinatoires ! Ceci étant, lorsque l'on se permet d'écrire : " Et même les profanes sont capables d'identifier correctement le sexe d'un scripteur environ 70 % des fois (Furnham, p. 204).", on situe immédiatement le niveau de l'auteur : Aucun graphologue sérieux se permettrait une telle affirmation, entendu qu'il est impossible de déterminer avec certitude le sexe d'une personne par l'analyse de son écriture, elle permet simplement d'évaluer ses composantes masculines ou féminines (les femmes au caractère viril existent, tout comme les hommes efféminés : déterminer à coup sur le sexe d'une personne est donc impossible. De plus, une simple lettre (i, t, et.) n'a à elle seule aucune signification, elle est simplement la composante d'un ensemble (simplement sa forme, mais sont à considérer le niveau général du scripteur, la pression, de dynamisme, etc.) L'auteur du traité du site semble être un adepte de la "graphologie de salon", sans aucune base sérieuse.
- Un autre renvoi (https://fr.wikipedia.org/wiki/Morphopsychologie) concernant la morphopsychologie, attribue son invention au psychiatre Corman, (L'inventeur, en 1937, de la « morphopsychologie » est le docteur Louis Corman, ancien médecin chef du service psychiatrique de l'adulte à l'hôpital Saint-Louis)... oubliant en cela les travaux d' hippocrate ( 460 - 370 av. J.-C.) et sa célèbre typologie tempéramentale... et ses rapports directs avec l'aspect des visages (Bileux, sanguin, nerveux, lymphatique). Vu la capacité de compréhension de nombreux intervenant, approfondir le sujet serait une perte de temps (sauf exception...)
Pour kestaencordi : rassurez-vous, si vos barre de T sont en lasso (terme exact en graphologie) cela peut signifier simplement que vous aimez séduire, ou que vous faites preuve d'habileté diplomatique, ou que vous savez amener les gens à accepter votre cause, ou un bon sens commercial, etc... tout ceci en fonction de votre niveau général (à ne pas confondre avec le niveau d'instruction) et de l'ensemble du graphisme... et ce en fonction d'écrits datant de différente période (un bon graphologue ne base jamais son analyse sur sur un seul document : les écritures changent constamment en fonction du temps, de l'humeur ou de l'état de santé du scripteur, du destinataire de l'écrit). Une analyse sérieuse ne se fait pas en 5 minutes et demande une solide formation en psychologie... et beaucoup d'humilité pour admettre que la graphologie n'est pas une science parfaite... tout comme la médecine d'ailleurs !
Denis, j'en conviens, mon exposé était trop long... je ferai plus court la prochaine fois !
Florence, votre intervention est celle d'une personne convaincue de tout connaître ! Vous affirmez n'importe quoi... Mais je vais néanmoins vous répondre ! Voici 52 ans déjà, j'ai fréquenté la faculté de médecine psychosomatique qui était située dans le quartier de "la Rozias", à Lausanne (aujourd'hui : Institut de Psychosomatique Naturelle de Lausanne (Suisse)), après avoir commencé ma formation sous les directives d'André Passebecq, décédé dernièrement (http://www.naturemania.com/naturo/passebecq.html). C'est à l'International Dynamic Scool d'Yverdon, puis de Lausanne (dirigée alors par je Dr Jean-Jacques Bésuchet, que j'ai commencé d'enseigner)... Mais en fait, j'ai consacré les 3/4 de ma vie à la recherche.
LoutredeMer, j'interviendrai prochainement avec un texte à votre niveau... que vous puissiez comprendre !
Bonne soirée à tous.
Re: La vitesse de la lumière.
Dans l'art de détecter les discours qui ne tiennent pas la route, presque, en effet.Pierre87 a écrit :Florence, votre intervention est celle d'une personne convaincue de tout connaître !

Amusant, la formation continue pour médecins en médecine psychosomatique et psychosociale conjointe pour le CHUV et l'UNIGE ne fait pas mention de ce mirifique "institut de psychosomatique naturelle", non plus que d'une faculté de médecine du même tonneau. Les infos glanées à leur sujet sur le net ne montrent pas non plus que ces entités soient de nature à rendre leurs membres compétents pour revoir le domaine de la physique "einsteinienne"Vous affirmez n'importe quoi... Mais je vais néanmoins vous répondre ! Voici 52 ans déjà, j'ai fréquenté la faculté de médecine psychosomatique qui était située dans le quartier de "la Rozias", à Lausanne (aujourd'hui : Institut de Psychosomatique Naturelle de Lausanne (Suisse)), après avoir commencé ma formation sous les directives d'André Passebecq, décédé dernièrement (http://www.naturemania.com/naturo/passebecq.html). C'est à l'International Dynamic Scool d'Yverdon, puis de Lausanne (dirigée alors par je Dr Jean-Jacques Bésuchet, que j'ai commencé d'enseigner)... Mais en fait, j'ai consacré les 3/4 de ma vie à la recherche.

Oh, ne vous donnez pas cette peine, on a tous tout compris, ici.LoutredeMer, j'interviendrai prochainement avec un texte à votre niveau... que vous puissiez comprendre !

"As democracy is perfected, the office of President represents, more and more closely, the inner soul of the people. On some great and glorious day, the plain folks of the land will reach their heart's desire at last and the White House will be adorned by a downright moron." - H. L. Mencken
Re: La vitesse de la lumière.
Dame Florence, ne soyez pas importune, ça vous dessert, ne répondez pas à la place de Loup de Mer... même si vous manquez d'éducation !
70% n'est pas 100%
Salut Pierre87,
Tu dis :
Excellente résolution. Ça augmente de beaucoup la probabilité qu'on monte éventuellement en discussion interactive.Denis, j'en conviens, mon exposé était trop long... je ferai plus court la prochaine fois !
Parlant de probabilité, je me permets de commenter candidement ce bout-là :
Pourquoi as-tu remplacé le 70% par une prétention de certitude ?Pierre87 a écrit :lorsque l'on se permet d'écrire : " Et même les profanes sont capables d'identifier correctement le sexe d'un scripteur environ 70 % des fois (Furnham, p. 204).", on situe immédiatement le niveau de l'auteur : Aucun graphologue sérieux se permettrait une telle affirmation, entendu qu'il est impossible de déterminer avec certitude le sexe d'une personne par l'analyse de son écriture, elle permet simplement d'évaluer ses composantes masculines ou féminines (les femmes au caractère viril existent, tout comme les hommes efféminés : déterminer à coup sur le sexe d'une personne est donc impossible.
Par exemple, en connaissant seulement le poids d'une personne (disons, d'un citoyen Français adulte tiré au hasard), on peut certainement deviner (avec autour de 70% de succès) le sexe de cette personne.
70% n'est pas 100%.

Les meilleures sorties de route sont celles qui font le moins de tonneaux.
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