L'archéologie nous donne-t-elle l'heure juste ?

Ici, on discute de sujets variés...
Avatar de l’utilisateur
NEMROD34
Messages : 4541
Inscription : 21 mars 2008, 15:45

Re: L'archéologie nous donne t'elle l'heure juste

#551

Message par NEMROD34 » 08 avr. 2016, 14:24

Voici quelqu'un d'autre qui fait un lien avec les gens aux crânes allongés de l'Île de Malte avec tes technologies anciennes que l'on redécouvrent.

http://bistrobarblog.over-blog.com/arti ... 52653.html
C'est très très léger le seul passage qui en parle c'est ça:
Des changements de l'ADN ont également été réalisés par un travail de résonance tonale et des techniques d'entraînement de fréquence cardiaque par les anciens bâtisseurs du cairn de Gavrinis, qui étaient eux-mêmes les descendants de la civilisation atlante mondiale hautement évoluée. Alors qu'aucun artefact n'a été découvert pendant les fouilles de la chambre de l'île de Gavrinis, les temples mégalithiques de Malte ont mis à jour de nombreux exemplaires de crânes allongés.
Par contre il y a du monde dans le crane de celui qui signe l'article ...
Les orbes de plasma sont des êtres conscients créateurs des formations de crop-circles qui encodent en fractales la formule des anciens mandalas de l'héritage védique, qui révèle les mathématiques quadri-dimensionnelles de nos traditions psychoacoustiques évoluées, comme illustré par la chambre de résonance du cairn de Gavrinis.
NEMROD34 S.A.R.L de démolition minutieuse de foutaises.
Siret : 123456789
Capital 3 millions de brouzoufs
Certifié sans chat.

Militant du: " MITCH S'en Fout "= Milite pour Images, Trucs à la Con, Humour, Sur le Forum.

Avatar de l’utilisateur
25 décembre
Messages : 4261
Inscription : 01 mai 2015, 05:43

Re: L'archéologie nous donne t'elle l'heure juste

#552

Message par 25 décembre » 09 avr. 2016, 00:21

jean7 » 08 Avr 2016, 01:47

Il faudrait donc poser cette question à un spécialiste.Tu ne l'a pas encore fait ?
Quel manque de curiosité.
Je ne manque pas de curiosité, c'est juste que je n'ai pas ces crânes sous la main.
Merci de votre réponse intelligente

Avatar de l’utilisateur
25 décembre
Messages : 4261
Inscription : 01 mai 2015, 05:43

Re: L'archéologie nous donne t'elle l'heure juste

#553

Message par 25 décembre » 09 avr. 2016, 01:02

jean7 » 08 Avr 2016, 01:57
25 décembre a écrit :
"La décision volontaire autour du monde d'adopter du jour au lendemain cette pratique semble improbable. Peut-être n'est-ce pas une invention au hasard de nos ancêtres, comme on le croit actuellement. Il semble davantage probable que cette pratique a été imposée aux peuples par une source extérieure.
"Qu'en est-il des femmes-girafes ?
Une déformation physique existant de nos jours peut permettre d'évaluer certaines hypothèses...

Il y a aussi tout ce qui ne laisse pas de trace sur un squelette.
Les tatouages par exemple, n'ont été imposés par personne et sont répandus sur toute la planète.
Je n'ai pas écrit la phrase que tu cites comme venant de moi.

Tu dis: "peut permettre d'évaluer certaines hypothèses..."
Comme je le disais il ne faut pas avoir peur d'exprimer sa pensée. Alors continue cette phrase, fait nous part de tes théories.

Est-ce qu'on trouve cette coutume de "long cou" partout dans le monde? Est-ce que l'on prétend que ça rend plus intelligent? Est-ce un avantage autre qu'esthétique?
Le tatouage est associé à l'écriture et à la mode, c'est une marque que l'on veut distinctive comme "mon étiquette c'et ma casquette" disait elle.
Merci de votre réponse intelligente

Avatar de l’utilisateur
25 décembre
Messages : 4261
Inscription : 01 mai 2015, 05:43

Re: L'archéologie nous donne t'elle l'heure juste

#554

Message par 25 décembre » 09 avr. 2016, 01:10

LoutredeMer » 08 Avr 2016, 06:42

"Qui étaient ces gens qui imposèrent la tradition de la déformation des crânes à nos ancêtres ? Des survivants du Déluge comme décrit dans la Bible ? Des vestiges de l'héritage atlante ? Ou des membres d'une race extraterrestre ?"


D'ailleurs on peut nettement constater la présence d'une soucoupe volante sur cette photo..
Madame Loutre, Je constate que des humains ne font pas confiance aux humains pour leurs capacités d'inventions.
Dire "ce sont les extra terrestre" est l'équivalent de dire "c'est dieu".
Les extra terrestres qui nous regardent doivent bien rire de nous.
Merci de votre réponse intelligente

jean7
Messages : 5001
Inscription : 05 mai 2015, 16:54

Re: L'archéologie nous donne t'elle l'heure juste

#555

Message par jean7 » 09 avr. 2016, 02:36

25 décembre a écrit :
jean7 » 08 Avr 2016, 01:57
25 décembre a écrit :
"La décision volontaire autour du monde d'adopter du jour au lendemain cette pratique semble improbable. Peut-être n'est-ce pas une invention au hasard de nos ancêtres, comme on le croit actuellement. Il semble davantage probable que cette pratique a été imposée aux peuples par une source extérieure.
"Qu'en est-il des femmes-girafes ?
Une déformation physique existant de nos jours peut permettre d'évaluer certaines hypothèses...

Il y a aussi tout ce qui ne laisse pas de trace sur un squelette.
Les tatouages par exemple, n'ont été imposés par personne et sont répandus sur toute la planète.
Je n'ai pas écrit la phrase que tu cites comme venant de moi.

Tu dis: "peut permettre d'évaluer certaines hypothèses..."
Comme je le disais il ne faut pas avoir peur d'exprimer sa pensée. Alors continue cette phrase, fait nous part de tes théories.
25 décembre a écrit :Est-ce qu'on trouve cette coutume de "long cou" partout dans le monde? Est-ce que l'on prétend que ça rend plus intelligent? Est-ce un avantage autre qu'esthétique?
on en trouve sur deux continents.
Ce que l'on prétend en obtenir comme bénéfice a peu d'importance, l'hypothèse est qu'on peut imposer au corps des déformations sans que ça ait été imposé ni que ce soit en copiant un modèle externe. Note que la quête de beauté n'est dans l'absolu pas plus vaine que celle de l'intelligence. L'idée de base reste la même : augmenter ses chances d'avoir une descendance.
25 décembre a écrit :Le tatouage est associé à l'écriture et à la mode, c'est une marque que l'on veut distinctive comme "mon étiquette c'est ma casquette" disait elle.
[/quote]Les tatouages sont aussi supposés parfois conférer force ou invulnérabilité. Ce ne sont pas des vertus secondaires. C'est idiot, bien entendu, ça ne marche pas mieux que de se presser le crâne pour en sortir des idées, mais peu importe, là encore, on en trouve sur toute la planète et on n'y voit pas de raison de remettre en cause l'archéologie ou l'histoire de l'humanité pour autant.
Le libre arbitre est à la causalité ce que le corps est à la physique

Pierre87
Messages : 38
Inscription : 02 avr. 2016, 23:55

Re: L'archéologie nous donne t'elle l'heure juste

#556

Message par Pierre87 » 09 avr. 2016, 03:09

25 décembre a écrit : Dans l'archéologie j'inclus toutes les trouvailles d'indices et artéfacts concernant les hommes, autant leur physique que leurs fabrications. Depuis la formation de la planète à 2016 Après JC.

Vaste sujet, puisque le titre de ce fil est : "L'archéologie nous donne t'elle l'heure juste", je vais me livrer à une petite critique des méthodes scientifiques de datation, même si elle est peu attrayante par ses côtés théoriques, elles sont utilisées par les scientifiques et présentées comme "preuves irréfutables de leurs prétendues certitudes… qui n’ont vraiment rien à envier aux affirmations des parapsychologues, elles sont souvent du même niveau !

Dans les sciences de la Terre, les méthodes utilisées pour dater l'âge des roches et des minéraux sont variées. Les géologues se disent capables de reconstituer la chronologie du passé de la Terre d'après les événements géologiques qui se sont succédés. Plusieurs de ces méthodes sont également utilisées pour dater des vestiges archéologiques. Voyons ceci de plus près.

Avec les méthodes alors disponibles, les géologues du 19ème siècle n'ont pu élaborer qu'une échelle relative des temps d'autant plus que, jusqu'au milieu du siècle et avant les découvertes de Boucher de Perthes en préhistoire, la croyance en un déluge biblique ne remontant pas plus loin que quatre millénaires avant notre ère était encore très répandue. Ainsi, l'âge actuel de la Terre est resté inconnu jusqu'à l'aube du 20ème siècle… bien que la prétention de le connaître aujourd’hui soit parfaitement ridicule, pour les raisons que voici !

Après la découverte de la radioactivité, les méthodes de datation radiométriques ont été rapidement mises au point. Avec ces nouvelles méthodes, les géologues ont pu calibrer l'échelle relative des temps géologiques et mettre en place une échelle absolue (en toute modestie et avec une certitude qui n’admet pas d’objection…, leurs homologues du 19ème siècle étaient tout aussi certains de ne pas se tromper !).

C’est ainsi que l’échelle relative était conçue d'après les principes de la stratigraphie (partie de la géologie consacrée à l’étude des strates (couches parallèles) constitutives des terrains). Par exemple, la loi de superposition décrit simplement que, dans une succession non perturbée de strates, les lits de roches supérieurs sont plus récents que les lits inférieurs, ce qui est évident. La corrélation stratigraphique a été en partie établie par l’étude des fossiles contenus dans les couches géologiques étudiées dans des régions séparées. En mettant en évidence ce synchronisme, les géologues ont pu créer de grands groupes de strates, qui sont devenus la base de la division des temps géologiques. Ainsi, l'histoire de la Terre a été divisée en quatre grandes ères : le Précambrien, le Paléozoïque, le Mésozoïque et le Cénozoïque. Ces ères ont été à leurs tours divisées en plusieurs périodes.

Une autre méthode consiste en la «dendrochronologie». Cette méthode, qui date les événements du passé récent étudie la croissance des cernes des troncs d'arbres. Elle prend en compte le nombre, la largeur et la dureté des cernes dans les troncs des arbres les plus anciens. Des échelles permettent aux dendrochronologues de dater avec précision les événements et les conditions climatiques des dernières 3.000 à 4.000 années (si vous connaissez des arbres qui n’ont que 3.500 ans… pas de problème !) La dendrochronologie permettrait de calibrer avec précision les datations au radiocarbone, car le bois qui constitue les cernes peut être lui-même daté par cette méthode (les scientifiques semblent totalement ignorer les lois de l’évolution et les modifications constantes qui caractérisent notre environnement et les modifications nucléaires qui rendent totalement instables les atomes physiques). Ainsi, en Angleterre, l'analyse des cernes des troncs d'arbres composant des passerelles de bois néolithiques conservées dans des tourbières a permis d’identifier la date, la période de l'année et le climat correspondant à la coupe des arbres (très fort, n’est-ce pas… aucun témoin ne viendra les contredire !)

L'une des méthodes les plus anciennes de datation, l'analyse des varves (unité annuelle de sédimentation constituée d’une couche mince, noire, à grains très fins, correspondant à l’hiver, et d’une couche plus épaisse, claire, à gros grains, correspondant à l’été). L’étude des varves glaciaires permettrait de dater les terrains quaternaires… Cette méthode a été mise au point par des scientifiques suédois au début du 20ème siècle. Le nombre de varves et la corrélation relevée entre plusieurs régions ont été utilisés pour déterminer les âges des dépôts glaciaires du Pléistocène. En connaissant le taux de sédimentation et le nombre de strates déposées après un événement géologique, les géologues peuvent, selon eux, déterminer l'âge de cet événement avec une précision de quelques années seulement… en toute modestie, sans doute !

Il existe encore une autre méthode, dite de datation absolue. Elle concerne l’hydratation de l’obsidienne (roche éruptive dont l’aspect rappelle celui du verre et qui présente une structure particulière due au refroidissement très rapide de la lave) : cette méthode est employée pour calculer les âges en années, d'objets fabriqués en obsidienne ou de verre volcanique récents, en déterminant l'épaisseur des couches (hydratées) produites par la vapeur d'eau qui a diffusé dans le verre lorsque sa surface a été exposée pour la première fois à l'air (fracture du verre volcanique, ou sculpture pour les objets). Cette méthode est applicable à ces types de verres vieux de 200 à 200.000 ans.

Rassurez-vous, il existe encore d’autres méthodes de datation, comme la thermoluminescence. La luminescence produite par élévation régulière de la température (au-dessus de la température d’incandescence) de certaines substances préalablement excitées par irradiation.

Cette méthode utilise le phénomène des radiations ionisantes naturelles (comme s’il était constant dans le temps !). Celles-ci peuvent créer des électrons libres dans les minéraux qui sont piégés dans des défauts de leur structure cristalline. Ces électrons piégés s'échapperaient par thermoluminescence lorsqu'ils sont chauffés à une température inférieure à celle de l'incandescence. En enregistrant la thermoluminescence d'un minéral qui a été exposé à un niveau de radiation constant, le dernier drainage des électrons piégés pourrait être ainsi daté, d’après les scientifiques, sur plusieurs centaines de milliers d'années.

Pour dater de la poterie, par exemple, le spécimen est chauffé : il restitue alors par thermoluminescence l'énergie qu'il a stockée dans ses défauts cristallins depuis le moment où il a été cuit. La thermoluminescence peut prendre le relais du carbone 14 pour la datation des objets archéologiques postérieurs à 100.000 ans bien qu'elle ne soit pas utilisée pour les mêmes matières. Sa fiabilité dépendrait des conditions de la prise de l'échantillon dans le contexte archéologique, ce dont chacun se serait doutés !

Voici l’une des méthodes les plus utilisées, les datations radiométriques. Les techniques radiométriques découlent de la découverte de la radioactivité en 1896, mais n'ont été réellement mises en œuvre qu'après la Seconde Guerre mondiale. On a mis en évidence que les éléments radioactifs instables avaient des taux réguliers de désintégration et pouvaient ainsi constituer des «horloges» virtuelles des roches de la Terre qui les contiennent (ce que je conteste formellement dans le temps en raison de l’évolution de l’Univers… et de notre tout petit système solaire !) Les éléments radioactifs comme l'uranium (U) et le thorium (Th) se désintègreraient naturellement pour former d'autres éléments ou des isotopes… mais, en fait, rien n’a jamais été prouvé dans le temps et de très sérieux doutes existent !

Cette désintégration serait accompagnée d'émission de particules (alpha ou bêta) ou de rayonnements (rayons X ou gamma). Certains isotopes se désintègreraient en une seule étape en produits stables, nommés isotopes filles (par exemple, le carbone-14 que l'on écrit aujourd'hui 14C), alors que d'autres subiraient de nombreuses étapes avant qu'un isotope stable soit formé. Les suites de désintégrations radioactives comprendraient, par exemple, les familles de l'uranium-235, de l'uranium-238 et du thorium-232. Lorsqu'un isotope fille est stable, il s'en formerait jusqu'à ce que l'isotope parent se soit totalement désintégré. Cependant, si un isotope fille est radioactif, l'équilibre serait atteint lorsque la vitesse de formation de l'isotope fille serait égale à la vitesse de désintégration de l'isotope parent.

La désintégration radioactive peut prendre différentes formes : désintégration alpha, bêta, par capture d'électron. Ces différents modes de désintégration s'accompagneraient parfois de l'émission d'ondes électromagnétiques (X ou gamma) de grande énergie.

Ainsi, les scientifiques caractérisent la radioactivité d'un élément par son temps de demi-vie, ou période radioactive. C'est le temps au terme duquel la moitié des nucléides de l'élément se sont désintégrés. Par exemple, la période radioactive du carbone-14 serait de 5.730 années; celle de l'uranium-238 serait de 4,5 milliards d'années. Les techniques de datation radiométriques se fondent sur la désintégration d'isotopes avec des taux constants (ce qui est impossible en raison de l’évolution… sans même parler des facteurs qui sont encore inconnus, surtout sur une telle durée !) Lorsqu'un élément radioactif s'est incorporé dans un minéral en formation, l'élément commence à se désintégrer à un taux constant, avec un pourcentage défini de «produits filles» pour chaque intervalle de temps. Ces «horloges rocheuses» seraient les montres des géologues. Les techniques de radiochronologie au carbone, mises au point pour la première fois par le chimiste américain Willard Libby et ses associés de l'université de Chicago en 1947, ont été fréquemment utilisées en archéologie, en anthropologie, en océanographie, en pédologie, en climatologie et en géologie.

A travers l'activité métabolique, le taux de carbone-14 dans un organisme vivant est constamment en équilibre avec le taux de carbone-14 dans l'atmosphère et/ou dans l'océan. A la mort d'un organisme, le carbone-14 commence à se désintégrer à une vitesse connue (supposée, serait plus exact), et il n'est plus remplacé par le carbone atmosphérique. La désintégration rapide de carbone-14 limite généralement la période de datation approximativement à 30.000 ans. L'incertitude sur la mesure augmente avec l'âge de l'échantillon… qui en aurait douté ?

La précision de la datation dépendrait de la mesure de la période radioactive, des variations des taux de carbone-14 atmosphérique et de la pollution. On a montré que la quantité de carbone-14 produite en haute atmosphère subirait des variations au cours du temps, liées aux variations du champ magnétique terrestre (phénomène extrêmement important… puisqu’il fausse toutes les «mesures»).

L'échelle de temps du radiocarbone présente d'autres inconvénients : des erreurs, de 2.000 à 5.000 ans, pourraient se produire (reconnues par les scientifiques eux-mêmes… ils sont si modestes). Enfin, une pollution de l'échantillon, qui est le problème le plus grave, peut être causée par des infiltrations d'eaux souterraines par l'incorporation de carbone plus ancien ou plus récent. Ainsi, les datations au carbone seraient difficiles à établir avec précision.

En archéologie, les datations au carbone-14 sont données par rapport à 1950 et notées BP (before present : Avant présent en français), avec une marge de plus ou moins un certain nombre d'années, ce qui donne une large marge d'incertitude. La corrélation avec la dendrochronologie pour les dates pouvant être couvertes par cette dernière (moins de 10.000 ans BP) donnerait des datations plus fiables, ce qui ne serait pas le cas au-delà.

Depuis les années quatre-vingt, les datations au radiocarbone auraient gagné en fiabilité avec l'utilisation de l'accélérateur de particules lié au spectrographe de masse, et ne nécessitent plus pour effectuer des analyses que des échantillons de quelques grammes au lieu de plusieurs dizaines. On pourrait ainsi dater une particule de charbon de bois, composant par exemple un trait d'une fresque préhistorique, plutôt que la totalité du bâton ayant servi à le tracer.

La désintégration radioactive d'isotopes de potassium en argon est très utilisée pour dater les roches. Les géologues se disent capables de dater de nombreux types de roches de cette façon, car le potassium-40 est abondant dans les micas, les feldspaths et les hornblendes.

L'évaporation de l'argon peut poser un problème si la roche a été exposée à des températures supérieures à 125° C. En effet, l'âge mesuré reflète le dernier épisode d'exposition à la chaleur plutôt que l'âge originel de formation de la roche. La datation par le potassium-argon couvrirait des périodes allant de 100.000 à plusieurs millions d'années (les roches volcaniques, très nombreuses sur notre terre, n’auraient certainement jamais été exposées à une température supérieure à 125°…, comme ce n’est pas le cas, que valent donc ces datations sur de telles durées ?)

La collecte d'échantillons demande une étude précise du contexte géologique. En archéologie, elle ne permettrait pas de dater directement les objets, mais les couches dans lesquelles ils ont été trouvés.

Le rubidium-strontium est utilisé pour dater les roches magmatiques et les roches métamorphiques ainsi que les échantillons lunaires, cette méthode est fondée sur la désintégration bêta du rubidium 87 en strontium 87.

La méthode des proportions de thorium permet de dater les sédiments océaniques plus anciens que ceux accessibles par les méthodes de datation au carbone-14, et plus récents que ceux relevant d'une datation par thermoluminescence. L'uranium présent dans l'eau de mer donne lieu à une suite de désintégrations qui aboutit au thorium-230 (également nommé ionium), dérivé de l'uranium-238, qui a une demi-vie de 80.000 ans, et au protactinium 231, dérivé de l'uranium-235, qui a une demi-vie de 34.300 ans (quelle précision… il est simplement regrettable qu’elle soit invérifiable, relevant uniquement de simple spéculations intellectuelles, malgré la perfection et le caractère inconditionnel de ces affirmations, elles sont d’ordre scientifique, donc… !) Tous deux radioactifs, ils seraient précipités dans les sédiments marins dans les mêmes proportions mais à des taux différents. Leur proportion respective changerait régulièrement avec le temps, montrant des différences d'autant plus importantes que les sédiments sont anciens. Une échelle de temps pourrait être mise au point de cette manière.

Dans cette méthode, l'âge des coquillages ou des coraux fossilisés datant de 10.000 à 250.000 ans serait fondé sur le fait que l'uranium-238 et l'uranium-224, entrés dans la composition du carbonate lors de sa formation ou de son enfouissement, ne serait pas encore à l'équilibre avec le thorium. Des relations de déséquilibre identiques pourraient être utilisées pour dater les carbonates dans les sols. Cette méthode est un complément à celle du carbone-14.

La datation plomb-alpha, ou de Larsen, est estimée par spectrographie en déterminant le contenu total de plomb et l'activité alpha (teneur en uranium-thorium) de la zircone, de la monazite ou de la xénolite. Elle est appliquée aux roches formées après le Précambrien. Dans la méthode uranium-plomb, l'âge d'un matériau géologique est calculé d'après les taux de désintégration radioactive connus de l'uranium-238 en plomb-206 et de l'uranium-235 en plomb-207. Couplés aux taux de désintégration du thorium-232 en plomb-208, trois âges indépendants pourraient être obtenus pour le même échantillon. Cette méthode est appliquée principalement aux matériaux d'âge précambrien.

La méthode de datation par traces de fission concerne les dommages radioactifs causés par des particules nucléaires dans un minéral (ou verre) par la fission spontanée des impuretés d'uranium-238. La datation est calculée en comparant la densité de traces de fission spontanée avec des traces de fission induite volontairement. Cette méthode s'applique bien aux micas, aux tectites et aux météorites. Elle a été employée pour permettre de dater des périodes allant de 40.000 années à 1 million d'années, intervalle qui n'est pas couvert par le carbone-14 ou les méthodes potassium-argon. Cependant, les roches soumises à des températures élevées ou exposées au bombardement des rayons cosmiques à la surface de la Terre pourraient donner des âges erronés…

Concernant la datation, s’il m’est impossible de confirmer ou d’infirmer les âges avancés «scientifiquement» par mes recherches sous hypnose, ceci en raison d’un espace temps différent, les méthodes de datation «scientifiques» sur les bases que je viens de considérer sont des plus fantaisistes si l’on prend en compte l’ensemble des paramètres susceptibles de fausser totalement leurs mesures (le mot estimation serait préférable). Les mesures des scientifiques sont effectuées en «espace temps physique» alors que sous hypnose, mes recherches s’effectuent en «espace temps astral» et les points de repaire précis sont toujours très difficiles à déterminer.

Pour cerner au mieux la vérité, il serait mieux venu d’affirmer simplement qu’en l’état actuel de nos connaissances, il est impossible de dater sérieusement au-delà de 3.000 ans… disons 5.000 pour être gentil, tout le reste entre dans le domaine des suppositions mais aucune certitude ne peut être donnée. Quant aux datations en millions d’années : c’est de la pure fantaisie… un moyen simple de se mettre en valeur sans risque d’être contredit sérieusement, et pour cause… tous les témoins sont morts et le mystère reste entier sur ce point !

Une chose est certaine : l’espace temps n’a rien de régulier et échappe à nos connaissances « scientifiques », il n’est pas de honte de le reconnaître… dans le doute, mieux vaut s’abstenir que d’affirmer n’importe quoi !

Avatar de l’utilisateur
25 décembre
Messages : 4261
Inscription : 01 mai 2015, 05:43

Re: L'archéologie nous donne t'elle l'heure juste

#557

Message par 25 décembre » 09 avr. 2016, 03:24

Nicolas78 » 08 Avr 2016, 07:11
Nicolas78 » 07 Avr 2016, 05:25
Fait des recherches sur les personnes qui on perdu une grande partie de leurs crane/cerveaux.
Ou ceux qui développent des méningiomes énormes.
25 déc: Il y a toujours des exceptions pathologiques ou accidentelle, j'ai même lu et vu une photo d'un cerveau d'un homme fonctionnant bien avec seulement 30% de son cerveau, ce n'était pas un génie mais il n'était pas un attardé mental non plus.

Ça n'a rien d'une exception. Et je ne parle pas des cas en particulier.
Dans le sens ou : n'importe quel cerveau est capable de s'adapter à son contenant et de garder ses capacités si les contraintes volumique (ou de forme) ne l’abîme pas dans ses fonctions.
Ça fait partie des caractéristiques du cerveaux.
Point.
Après si tu veut continuer à nié ceci et fabuler, sois libre.
Si tu pense que la liberté c'est ça.
Le cerveau humain comme tous les autres, est programmé dans l'ADN pour accomplir certaines fonctions. Si lors de la formation du cerveau il y a une contrainte physique due à la frome du crâne ET que la pression augmente, ce cerveau nous dit la médecine sera altéré au niveau de l'intellectuel. Si la déformation de la boîte crânienne ne cause pas de traumatisme au cerveau tout sera normal.
Le cerveau à une très grande capacité de transférer les informations d'un endroit à un autre en modifiant les chemins des transferts d'informations.
Des exemples existent par centaines, chacune étant un cas particulier. Une de mes petite fille s'est fait ouvrir le crâne à l'âge de 18 mois pour se faire cautériser une mini veine qui risquait d'éclater. Cette mini veine causait une pression dans la région environnante et causait un désordre important dans ses fonctions motrices et intellectuelles. Une fois la veine cautérisé une petite partie du cerveau n'était plus irriguée convenablement. Les neurologues ont prédit la perte de la parole et autres troubles incapacitants. La petite, à son réveil suite à l'opération, s'est levée debout dans son lit et communiquait normalement. Elle était la même qu'avant l'opération sans la pression au cerveau et sans le risque que la veine n'éclate. Deux fois par année elle retourne voir les spécialistes qui lui font plein d'examens et constatent qu'elle est normale. Elle est devenue un cas d'étude.
Quand je parles du contenu et du contenant je pense non pas à des changements dans notre cerveau actuel, mais à des changements due à l'évolution sur des millions d'années. Au début nous avions un crâne semblable à certains singes. Cette forme de boîte crânienne ne laissait pas beaucoup de place aux lobes fronteaux. Au cours des temps le cerveau s'est modifié et la crâne aussi. Le cerveau ne peut pas se modifier de forme sans que le crâne ne se modifie. Les deux modifications se sont produites en même temps. Si des humains au cours de l'évolution ont développés des crânes allongés par rapport aux nôtres, la disposition du cerveau devait être différente et de ce fait ces humains devaient avoir des capacités différentes de celles de la seule espèces humaine peuplant actuellement la terre.
Nous avons un cerveau capable d'inventer et d'utiliser des technologies que nous connaissons. Pour un même volume, un cerveau configuré différemment pourrait produire des technologies que nous ne pouvons comprendre aujourd'hui.
Merci de votre réponse intelligente

Avatar de l’utilisateur
25 décembre
Messages : 4261
Inscription : 01 mai 2015, 05:43

Re: L'archéologie nous donne t'elle l'heure juste

#558

Message par 25 décembre » 09 avr. 2016, 03:36

jean7 » 08 Avr 2016, 20:36
25 décembre a écrit :
Le tatouage est associé à l'écriture et à la mode, c'est une marque que l'on veut distinctive comme "mon étiquette c'est ma casquette" disait elle.
Les tatouages sont aussi supposés parfois conférer force ou invulnérabilité. Ce ne sont pas des vertus secondaires. C'est idiot, bien entendu, ça ne marche pas mieux que de se presser le crâne pour en sortir des idées, mais peu importe, là encore, on en trouve sur toute la planète et on n'y voit pas de raison de remettre en cause l'archéologie ou l'histoire de l'humanité pour autant.
Dans 1000 ans toutes les peaux tatouées auront disparues. Si plus personne ne perpétue cet usage et qu'il ne reste plus d'écrit ni photos, les archéologues ne connaîtrons pas le mot tatouage.

Tout ceci n'est qu'une diversion. Revenons au fait qu'il a existé des humains avec la caractéristique naturelle d'avoir des crânes allongés vers le haut. Nous ne savons pas s'ils étaient tatoués et ça n'a aucune importance.
Merci de votre réponse intelligente

Avatar de l’utilisateur
25 décembre
Messages : 4261
Inscription : 01 mai 2015, 05:43

Re: L'archéologie nous donne t'elle l'heure juste

#559

Message par 25 décembre » 09 avr. 2016, 03:43

NEMROD34 » 08 Avr 2016, 08:24
25 déc: Voici quelqu'un d'autre qui fait un lien avec les gens aux crânes allongés de l'Île de Malte avec tes technologies anciennes que l'on redécouvrent.
http://bistrobarblog.over-blog.com/arti ... 52653.html
Par contre il y a du monde dans le crane de celui qui signe l'article ...
Nous ne sommes pas obligé de croire tout ce qu'il dit. Il pose des questions et donne des réponses auxquelles il ne croit pas nécessairement. Ce ne sont que des conjectures faute de posséder les réponses.
Merci de votre réponse intelligente

jean7
Messages : 5001
Inscription : 05 mai 2015, 16:54

Re: L'archéologie nous donne t'elle l'heure juste

#560

Message par jean7 » 09 avr. 2016, 14:27

25 décembre a écrit :Nous avons un cerveau capable d'inventer et d'utiliser des technologies que nous connaissons. Pour un même volume, un cerveau configuré différemment pourrait produire des technologies que nous ne pouvons comprendre aujourd'hui.
Certainement.
Mais il n'est pas non plus nécessaire que la forme du crâne soit différente pour que le cerveau soit configuré différemment.
Le libre arbitre est à la causalité ce que le corps est à la physique

jean7
Messages : 5001
Inscription : 05 mai 2015, 16:54

Re: L'archéologie nous donne t'elle l'heure juste

#561

Message par jean7 » 09 avr. 2016, 14:35

25 décembre a écrit :Dans 1000 ans toutes les peaux tatouées auront disparues. Si plus personne ne perpétue cet usage et qu'il ne reste plus d'écrit ni photos, les archéologues ne connaîtrons pas le mot tatouage.

Tout ceci n'est qu'une diversion. Revenons au fait qu'il a existé des humains avec la caractéristique naturelle d'avoir des crânes allongés vers le haut. Nous ne savons pas s'ils étaient tatoués et ça n'a aucune importance.
Non, ce n'est pas une diversion.
Tu focalise sur des crânes allongés comme s'ils étaient essentiels.
En fait, c'est surtout parce qu'ils ont traversé les ages que tu te pose toutes ces questions.

Mais elles sont inutiles.

Il est facile d'imaginer que des choses qui nous sembleraient beaucoup plus extraordinaires que des cranes allongés n'ont laissé aucune trace, aucun squelette.
Tout ce que tu construit sur ces crânes peut aussi se construire sur des "si" sans que ça ait beaucoup moins de valeur.
Le libre arbitre est à la causalité ce que le corps est à la physique

jean7
Messages : 5001
Inscription : 05 mai 2015, 16:54

Re: L'archéologie nous donne t'elle l'heure juste

#562

Message par jean7 » 09 avr. 2016, 14:43

Pierre87 a écrit :...

Concernant la datation, s’il m’est impossible de confirmer ou d’infirmer les âges avancés «scientifiquement» par mes recherches sous hypnose, ceci en raison d’un espace temps différent, les méthodes de datation «scientifiques» sur les bases que je viens de considérer sont des plus fantaisistes si l’on prend en compte l’ensemble des paramètres susceptibles de fausser totalement leurs mesures (le mot estimation serait préférable). Les mesures des scientifiques sont effectuées en «espace temps physique» alors que sous hypnose, mes recherches s’effectuent en «espace temps astral» et les points de repaire précis sont toujours très difficiles à déterminer.

Pour cerner au mieux la vérité, il serait mieux venu d’affirmer simplement qu’en l’état actuel de nos connaissances, il est impossible de dater sérieusement au-delà de 3.000 ans… disons 5.000 pour être gentil, tout le reste entre dans le domaine des suppositions mais aucune certitude ne peut être donnée. Quant aux datations en millions d’années : c’est de la pure fantaisie… un moyen simple de se mettre en valeur sans risque d’être contredit sérieusement, et pour cause… tous les témoins sont morts et le mystère reste entier sur ce point !

Une chose est certaine : l’espace temps n’a rien de régulier et échappe à nos connaissances « scientifiques », il n’est pas de honte de le reconnaître… dans le doute, mieux vaut s’abstenir que d’affirmer n’importe quoi !
Merci Pierre 87 pour cette synthèse des moyens de datations.

Je ne comprend pas, par contre, puisque tu dis toi-même que les datations que tu pense pouvoir produire sont "dans un espace-temps différent", ce qui te fait qualifier de "pure fantaisie" les datations en millions d'années.

D'autre part, d'après toi, une estimation donnée pas la science par exemple d'un os de 150 000 ans, selon toi, ce serait +/- combien d'année ? Après tout, personne ne prétend pouvoir dater un os à l'année près.
Le libre arbitre est à la causalité ce que le corps est à la physique

Avatar de l’utilisateur
Lulu Cypher
Modérateur
Modérateur
Messages : 6360
Inscription : 25 avr. 2015, 04:30

Re: L'archéologie nous donne t'elle l'heure juste

#563

Message par Lulu Cypher » 09 avr. 2016, 16:29

jean7 a écrit :
Pierre87 a écrit :Pour cerner au mieux la vérité, il serait mieux venu d’affirmer simplement qu’en l’état actuel de nos connaissances, il est impossible de dater sérieusement au-delà de 3.000 ans… disons 5.000 pour être gentil, tout le reste entre dans le domaine des suppositions mais aucune certitude ne peut être donnée.
Merci Pierre 87 pour cette synthèse des moyens de datations.
Je présuppose tes remerciements ironiques .... mais dans tous les cas voici une synthèse des moyens de datation plus réaliste (moins farfadesque).

Une illustration/explication de Beetle se trouve notamment ici

Pierre est en train de poser les bases (fausses) de pseudos arguments créationistes. En l'absence de preuves (études, travaux de recherches probants effectués par des personnes sérieuses et non des charlatans) qui invalideraient les méthodes de datation actuelles (cf le lien fourni) ces dernières restent valables. Et comme jusqu'à présent il n'a été donné aucune preuve, source autre que sa propre supposée bonne foi pour étayer ses élucubrations (sic) ...

Et Dieu dit : « que Darwin soit »
------------------------------
Les animaux sont moins intolérants que nous : un cochon affamé mangera du musulman (P. Desproges)
------------------------------
Attention ce post est susceptible (lui-aussi) de contenir des traces d'humour. L'auteur tient à signaler qu'il décline toute responsabilité quant aux conséquences de leurs mésinterprétations.

Avatar de l’utilisateur
Chanur
Messages : 1489
Inscription : 14 déc. 2013, 10:58

Re: L'archéologie nous donne t'elle l'heure juste

#564

Message par Chanur » 09 avr. 2016, 17:09

25 décembre a écrit :Dans 1000 ans toutes les peaux tatouées auront disparues. Si plus personne ne perpétue cet usage et qu'il ne reste plus d'écrit ni photos, les archéologues ne connaîtrons pas le mot tatouage.
Tiens, je croyais qu'Ötzi était tatoué ...
Le fait que je sache que quelque chose est vrai n'est pas une preuve. :chat:

Avatar de l’utilisateur
Chanur
Messages : 1489
Inscription : 14 déc. 2013, 10:58

Re: L'archéologie nous donne t'elle l'heure juste

#565

Message par Chanur » 09 avr. 2016, 17:11

Pierre87 a écrit :un moyen simple de se mettre en valeur sans risque d’être contredit sérieusement, et pour cause… tous les témoins sont morts
:lol: :lol: :lol:

C'est sûr que si on exige qu'il y ait des témoins vivants pour qu'une méthode de datation soit valide, ça réduit le spectre ...
Le fait que je sache que quelque chose est vrai n'est pas une preuve. :chat:

jean7
Messages : 5001
Inscription : 05 mai 2015, 16:54

Re: L'archéologie nous donne t'elle l'heure juste

#566

Message par jean7 » 10 avr. 2016, 02:31

Lulu Cypher a écrit :
jean7 a écrit :
Pierre87 a écrit :Pour cerner au mieux la vérité, il serait mieux venu d’affirmer simplement qu’en l’état actuel de nos connaissances, il est impossible de dater sérieusement au-delà de 3.000 ans… disons 5.000 pour être gentil, tout le reste entre dans le domaine des suppositions mais aucune certitude ne peut être donnée.
Merci Pierre 87 pour cette synthèse des moyens de datations.
Je présuppose tes remerciements ironiques .... mais dans tous les cas voici une synthèse des moyens de datation plus réaliste (moins farfadesque).

Une illustration/explication de Beetle se trouve notamment ici

Pierre est en train de poser les bases (fausses) de pseudos arguments créationistes. En l'absence de preuves (études, travaux de recherches probants effectués par des personnes sérieuses et non des charlatans) qui invalideraient les méthodes de datation actuelles (cf le lien fourni) ces dernières restent valables. Et comme jusqu'à présent il n'a été donné aucune preuve, source autre que sa propre supposée bonne foi pour étayer ses élucubrations (sic) ...
Bha même pas.
J'ai apprécié de le lire.
Bien entendu en filtrant un peu. C'est à dire que je n'ai pris en compte que la description sommaire des techniques. Pas l'avis perso de Pierre87.
Il en a oublié une que j'aime bien : les radionucléides de quartz irradiés par les supernovae. Enfin un truc comme ça, je ne comprend pas tous les mots mais j'adore le principe : on peut dater depuis combien de temps un monocristal de quartz a été exposé à une supernova.

Je trouve que Pierre87 manipule la vérité sur la science dans des limites défendables en prenant les mots au pied de la lettre. Il exploite à fond le fait que les techniques ont une marge d'incertitude et tente de faire passer une qualité technique (on donne un résultat +/- quelque chose) pour une défaillance (on ne peut rien affirmer (sous-entendu, d'absolument exact)).

Il faut qu'il aille un peu plus loin dans la formulation de ses critiques envers la science. Pour le moment, il n'est pas vraiment prenable. Ce qui lui permet d'augmenter son crédit.
Le libre arbitre est à la causalité ce que le corps est à la physique

Avatar de l’utilisateur
Lulu Cypher
Modérateur
Modérateur
Messages : 6360
Inscription : 25 avr. 2015, 04:30

Re: L'archéologie nous donne t'elle l'heure juste

#567

Message par Lulu Cypher » 10 avr. 2016, 03:05

jean7 a écrit : Je trouve que Pierre87 manipule la vérité sur la science dans des limites défendables en prenant les mots au pied de la lettre. Il exploite à fond le fait que les techniques ont une marge d'incertitude et tente de faire passer une qualité technique (on donne un résultat +/- quelque chose) pour une défaillance (on ne peut rien affirmer (sous-entendu, d'absolument exact)).

Il faut qu'il aille un peu plus loin dans la formulation de ses critiques envers la science. Pour le moment, il n'est pas vraiment prenable. Ce qui lui permet d'augmenter son crédit.
Oui je suppose qu'il estime ègalement qu'un modèle probabiliste est toujours faux puisqu'il ne donne quasiment jamais la réponse exacte :ouch:

Par contre pour ce qui est d'augmenter son crédit .... je ne pense pas avoir suivi sur tous les fils le même match que toi ... le crédit de Pierre87 = 0. D'ailleurs il ne peut en obtenir au travers ses élucubrations puisqu'il ne semble exister que par opposition à ce qui est probant. Tout est un fouillis d'affirmations gratuites, d'opinions non étayées et de critiques non prouvées ... on en arrive presque à la suppression des chemtrails avec des bouteilles de vinaigres :ouch:

Et Dieu dit : « que Darwin soit »
------------------------------
Les animaux sont moins intolérants que nous : un cochon affamé mangera du musulman (P. Desproges)
------------------------------
Attention ce post est susceptible (lui-aussi) de contenir des traces d'humour. L'auteur tient à signaler qu'il décline toute responsabilité quant aux conséquences de leurs mésinterprétations.

Avatar de l’utilisateur
25 décembre
Messages : 4261
Inscription : 01 mai 2015, 05:43

Re: L'archéologie nous donne t'elle l'heure juste

#568

Message par 25 décembre » 10 avr. 2016, 03:52

En réponse à Pierre87 En résumé la datation des artéfacts est exacte à plus ou moins un an si la date est gravée sur l'objet. La date de patente n'est pas nécessairement la date de fabrication et une date commémorative n'est pas non plus la date de mise en marché.
Il faut aussi tenir compte que chez les catholiques la date de naissance diffère parfois de la date du baptême.
Merci de votre réponse intelligente

Avatar de l’utilisateur
25 décembre
Messages : 4261
Inscription : 01 mai 2015, 05:43

Re: L'archéologie nous donne t'elle l'heure juste

#569

Message par 25 décembre » 10 avr. 2016, 03:57

jean7 » 09 Avr 2016, 08:35

Non, ce n'est pas une diversion.
Tu focalise sur des crânes allongés comme s'ils étaient essentiels.
Je crois qu'il est essentiel de se focaliser sur les crânes allongés quand le sujet de la discussion depuis plusieurs pages, traite des crânes allongés trouvés de par le monde.
Merci de votre réponse intelligente

Avatar de l’utilisateur
25 décembre
Messages : 4261
Inscription : 01 mai 2015, 05:43

Re: L'archéologie nous donne t'elle l'heure juste

#570

Message par 25 décembre » 11 avr. 2016, 19:16

Pour clore le débat concernant les gens possédant des crânes allongés qui ne sont pas dus à des malformations, voici des conclusions.
- Des documentaires disent que certains humains sont nés avec ce type de crâne.
- Des documentaires disent que des populations ont imités les premiers en modifiant le crâne de certains de leurs enfants.
- Certains sceptiques nient la première énoncée.
- Des archéologues ont trouvé ce type de crâne un peu partout dans le monde.
- Les sciences ne se prononcent pas sur l'origine des gens ayant naturellement ce type de crânes.

Dans ce cas l'archéologie ne nous donne pas l'heure juste, elle laisse le débat se poursuivre.
Merci de votre réponse intelligente

Avatar de l’utilisateur
Raphaël
Messages : 8533
Inscription : 21 mai 2004, 03:42

Re: L'archéologie nous donne t'elle l'heure juste

#571

Message par Raphaël » 11 avr. 2016, 21:02

Pierre87 a écrit :Une chose est certaine : l’espace temps n’a rien de régulier et échappe à nos connaissances « scientifiques », il n’est pas de honte de le reconnaître… dans le doute, mieux vaut s’abstenir que d’affirmer n’importe quoi !
Je ne vois pas ce que la relativité viendrait faire ici puisque l'archéologie concerne un seul et même référentiel: la Terre.

Avatar de l’utilisateur
kestaencordi
Messages : 3858
Inscription : 10 janv. 2012, 08:41

Re: L'archéologie nous donne t'elle l'heure juste

#572

Message par kestaencordi » 11 avr. 2016, 21:44

Raphaël a écrit :
Pierre87 a écrit :Une chose est certaine : l’espace temps n’a rien de régulier et échappe à nos connaissances « scientifiques », il n’est pas de honte de le reconnaître… dans le doute, mieux vaut s’abstenir que d’affirmer n’importe quoi !
Je ne vois pas ce que la relativité viendrait faire ici puisque l'archéologie concerne un seul et même référentiel: la Terre.
mais pierre est relativement compétent dans le domaine. enfin il doit exister un référentiel dans lequel il l'ait. :mrgreen:
Victoriae mundis et mundis lacrima.
ça ne veut absolument rien dire, mais je trouve que c’est assez dans le ton.

Avatar de l’utilisateur
Lulu Cypher
Modérateur
Modérateur
Messages : 6360
Inscription : 25 avr. 2015, 04:30

Re: L'archéologie nous donne t'elle l'heure juste

#573

Message par Lulu Cypher » 11 avr. 2016, 22:31

kestaencordi a écrit :mais pierre est relativement compétent dans le domaine. enfin il doit exister un référentiel dans lequel il l'ait. :mrgreen:
Son référentiel ... D'ailleurs il est sa preuve, sa seule source, sa référence, il est l'autel de sa propre vénération .... Il est celui qui EST.

Amen

Et Dieu dit : « que Darwin soit »
------------------------------
Les animaux sont moins intolérants que nous : un cochon affamé mangera du musulman (P. Desproges)
------------------------------
Attention ce post est susceptible (lui-aussi) de contenir des traces d'humour. L'auteur tient à signaler qu'il décline toute responsabilité quant aux conséquences de leurs mésinterprétations.

Avatar de l’utilisateur
25 décembre
Messages : 4261
Inscription : 01 mai 2015, 05:43

Re: L'archéologie nous donne t'elle l'heure juste

#574

Message par 25 décembre » 12 avr. 2016, 04:31

Raphaël » 11 Avr 2016, 15:02
Pierre87 a écrit :
Une chose est certaine : l’espace temps n’a rien de régulier et échappe à nos connaissances « scientifiques », il n’est pas de honte de le reconnaître… dans le doute, mieux vaut s’abstenir que d’affirmer n’importe quoi !
Je ne vois pas ce que la relativité viendrait faire ici puisque l'archéologie concerne un seul et même référentiel: la Terre.
Pour nous l'espace-temps est presque le même l'espace d'une vie sur terre. Il est de même pour quelques millénaires. Sur des millions d'années il pourrait y avoir une correction de quelques jours à cause de la variation de la vitesse de la terre sur sa rotation et son ellipse et en tenant compte du fait que quelque chose soit au fond des océans ou sur le plus haut sommet terrestre. Tout ça en tenant compte qu'il faudrait habiter sur le soleil pour se rendre compte de cette légère variation.
La datation plus ou moins 0,1% est un degré de précision suffisant pour l'archéologie. Ce qui ferait une erreur de 1 an sur 1000 ans.
Merci de votre réponse intelligente

Avatar de l’utilisateur
Chanur
Messages : 1489
Inscription : 14 déc. 2013, 10:58

Re: L'archéologie nous donne t'elle l'heure juste

#575

Message par Chanur » 12 avr. 2016, 12:05

Raphaël a écrit :
Pierre87 a écrit :Une chose est certaine : l’espace temps n’a rien de régulier et échappe à nos connaissances « scientifiques », il n’est pas de honte de le reconnaître… dans le doute, mieux vaut s’abstenir que d’affirmer n’importe quoi !
Je ne vois pas ce que la relativité viendrait faire ici puisque l'archéologie concerne un seul et même référentiel: la Terre.
C'est parce que tu ne saisis pas la profonde subtilité de la pensée de Pierre :
Pierre87 a écrit :Les mesures des scientifiques sont effectuées en «espace temps physique» alors que sous hypnose, mes recherches s’effectuent en «espace temps astral»
Forcément, ça introduit des distorsions ...

Ça ne viendrait à l'idée de personne, en lisant le Seigneur des Anneaux, d'y chercher la composition chimique des nazguls.
Ben là, c'est pareil.
Le fait que je sache que quelque chose est vrai n'est pas une preuve. :chat:

Répondre

Qui est en ligne ?

Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur inscrit