Corwin a écrit :Il est vrai, cela dit, qu'il faudrait peut-être une planète juste pour les cons.
Mais on dirait que quelqu'un y a déjà pensé…
(un dieu, peut-être)
Lorangebleue a écrit : La réponse par l'insulte, le dernier recours de celui qui n'a rien à dire.
Le simple que fait que vous considériez l'insulte - avec l'approbation de la modération - comme une façon de clore une discussion montre l'impasse dans laquelle vous poussent votre vision étriquée du monde et votre pseudo-méthode de raisonnement infaillible qui vous engagent à voir des cons en ceux qui ne suivent pas votre dogme.
Permettez-moi de me récrier.
Je conteste avec la dernière énergie qu'il y ait le moindre étriquement dans ma vision du monde.
Je suis absolument convaincu, en effet, qu'un dieu, ou quelque engeance semblable, a créé la Terre pour y mettre tous les cons de la galaxie.
Et cette idée, de fait, me parait plutôt élargir le débat.
Je comprends néanmoins qu'on puisse s'en offusquer.
Cette réflexion, au demeurant, n'était pas destinée à clore la discussion.
Il est vrai, par exemple, que se pose la question de la surpopulation.
Un spécialiste, d'ailleurs, nous avait alerté il y a déjà une vingtaine d'années :
Chaque année, il y a de plus en plus de cons. Mais cette année, j'ai l'impression que les cons de l'année prochaine sont déjà là.
(Patrick Timsit)
Pour autant, vous comprendrez que je ne puis, quitte à décevoir mes camarades, souscrire à ce projet d’évacuation spatiale des funestes.
Cette planète étant, selon mon point de vue, conçue spécialement pour eux, ils y sont en effet définitivement à leur place.
Sans doute conscients de cette réalité, beaucoup émettent une autre suggestion : les enfermer.
Mais, objecta un autre expert, le problème c'est que…
Si on mettait tous les cons dans un placard, il n'y aurait pas grand-monde pour refermer les portes.
(Coluche).
Plutôt, donc, que d'essayer de trouver une solution générale à cette épineuse question, il est peut-être plus réaliste, pour échapper à cette inconfortable compagnonnage, d'envisager de quitter soi-même ce monde.
Mais cela, me direz-vous, finira bien par arriver, d'une manière ou d'une autre…
Sur quoi je n’entreprendrai pas de vous contredire.
Afin cependant de ne pas laisser à leur désarroi, bien compréhensible, les lecteurs désemparés qui se sentiraient
cons et cernés concernés, voici des pages web où l'on tente d'apporter quelque réconfort aux cas les plus poignants :
Je suis con mais je me soigne, par Michel Buze
L'air con, une discipline pluri-centenaire, sur Désencyclopédie
Comment paraître intelligent, sur Bladi.net
Espacedecon.fr