Bonjour Denis,
Denis a écrit :Ils s'en viennent, les gros problèmes (avec ou sans réchauffement climatique).
Voir, par exemple,
ici (de 22m37 à 26m47).
Sauve qui peut !

Denis
C'est hélas assez certain.
Dans mon entourage, très peu connaissent ces prévisions, très peu imaginent les catastrophes qui viennent (et qui commencent, voir les crises du moyen orient, entre les causes des ressources et celles du climat).
La majorité ne se sent pas concerné ou n'imaginent pas les futurs possibles. (ça va continuer plus ou moins comme avant)
Une partie estime que la technique va trouver des solutions
Une partie estime que ça va peut-être aller mal, mais restent sur des problématiques immédiates et proches d'eux (chômage / pouvoir d'achat / immigration ...)
Même la plupart des écolos que je connais restent sur leurs combats traditionnels (ogm, nucléaire, politique...). Ils disent qu'on va dans le mur si on continue. Mais pour eux, les catastrophes à venir sont du genre Tchernobyl (qui sont possibles) ou les ogm mutants qui vont se disséminer sans contrôle, voire les gouvernements/Bilderberg qui veulent réduire la population avec les vaccins, les chemtrails et les ogm (sisi, j'en connais quelques uns dans mon village

)
j'avais lu, il y a 2-3 ans,
l'article de Jancovici sur ces courbes du club de Rome. Mais quand j'en parle, je tombe souvent face à des murs. Je dois améliorer ma façon de présenter les choses.
Pour revenir à la conf de Servigne (ABC en avait parlé, mais je n'ai pas relancé à ce moment), je trouve ses solutions un peu mièvres. Parler d'acceptation, de résilience, de recréer du lien, de jardins de ville* c'est bien, mais, il les présente un peu comme des solutions "d'après", sans insister ce peut être l’effondrement (guerres, famines, rupture des réseaux énergie et communication ...) Avec beaucoup de mort et de violence.
Enfin, c'est l"impression que j'en ai eu.
Bon, revoir cette conférence de Servigne m'a cassé le moral, je vais aller visionner une conf de Rosling
* Les jardins de ville ne permettront jamais de nourrir une ville, à moins qu'il ne reste plus grand monde.
Inso