Psyricien a écrit :jean7 a écrit :Psyricien a écrit :Vous pensez donc que l'existence des particules qui nous composent est "théorique" ?
Moins tangible, merci de répondre à ce que j'ai écrit, pas à coté.
Non, c'est parfaitement tangible:
Tu es lourd ! Fais un petit effort non d'un chien !
Tu ne vois pas la différence sur le plan du tangible entre une particule, ton voisin de palier et la société, c'est que tu le fais exprès ou que tu as de sérieux problèmes de compréhension!
Psyricien a écrit :Jean7 a écrit :Psyricien a écrit :Si j'en est fournie plein ... vous les ignorer sciemment

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Non, je les ai rejeté en expliquant pourquoi.
Non, vous les avez rejeté sans arguments valable ... voir en les ignorant sciemment

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Non, je les ai rejeté en expliquant pourquoi.
Quelle conversation intéressante, utile et passionnante...
Psyricien a écrit :Absent ? Pas forcément, mais cependant ils peuvent être antagonistes au compromis sociale ... donc il source indépendamment "bien" et "mal" morale.
Ce qui invalide votre idée première que la "souffrance" sourcerait en la "mal" morale.
Ou alors le "bien" est "mal" à de nombreuse occasion.
Ca aurait pu faire l'objet d'une discussion.
Mais tu n'a pas répondu aux arguments par lesquels j'ai rejeté tes exemples. Les as-tu lu ? Souffrirais-tu de lecture sélective ?
Psyricien a écrit :mais ne venez pas reprocher aux autres vos propre changement de point de vue un post sur 2.
Je te reproche a toi de ne faire aucun effort de compréhension.
Psyricien a écrit :Jean7 a écrit :Psyricien a écrit :Non, ce que vous défendez c'est votre proposition "P", qui est une vision nombrilo-centrique de la définition de la morale, et qui entends la définir sur la base de l'individu et non de l'interaction entre individus.
Tu sais mieux que moi ce que je dis, bravo !
Je lis ce que vous écrivez ... et c'est incohérent. Donc soit vous avez changé d'avis (mais vous êtes bloqué et ne voulez pas le dire), soit vous tentez de noyer le poisson.
Je suis bloqué. Je parle avec un mur. Plus bloqué que ça tu meurs.
Psyricien a écrit :Et bien, si vos propos n'ont pas été compris ... pourquoi ne pas les expliciter ?
Vous disiez:
P = "J'ai avancé et soutenu que nous disposons de références objectives du bien et du mal et que ces notions au sens moral ne sont que des adaptations marginales (je veux bien discuter de l'ampleur de la marge) à partir de ces références."
Vous parliez bien de "référence objectives" et non de "références qui existent".
Vos références étant utilisez subjectivement, de bases elle sont subjective !
Pire, en posant souffrance/plaisir comme étant les références, vous oubliez des tas d'autres éléments qui rentre dans la construction de la morale.
Ne venez pas reprocher au autres la confusion manifeste qui règne dans votre position intenable.
G>
Peut-être n'as-tu pas tout lu et raté des épisodes.
Au fil des messages :
J'ai commencé par références quasi-objectives.
J'ai formulé P avec références objectives.
Puis j'ai dis qu'il y avait une grosse faiblesse dans ma formulation.
Puis j'ai explicité cette faiblesse : par nature, une perception n'est pas objective.
Pour autant, cette référence est commune à l'espèce.
Depuis je parle de référence intégrée.
P n'est pas une définition de la morale.
La morale s'intéresse au Bien et au Mal. C'est la seule relation qui existe (cf. le Wikipédia que je t'ai envoyé) ente la morale et les notions de bien et de mal. Et toi, tu continue comme un disque rayé à amalgamer la morale et les notions de Bien et de Mal.
Si tu prenais un peu plus de temps pour essayer de comprendre ce que je dis, tu cesserais ces accusations ridicules. On n'est pas dans un combat de coqs et je n'ai aucun intérêt à éluder une question quelle qu'elle soit. A fortiori si elle s'oppose à ma façon de voir. Je ne vois aucun intérêt à une discussion si on a rien à en tirer de différent que ce qu'on a déjà.
Psyricien a écrit :Jean7 a écrit :Psyricien a écrit :Prenons un exemples "simple":
--> Psyricien apprécie X, pour lui c'est "bien"
--> Jean7 n'apprécie pas X, pour lui c'est "mal"
Expliquez donc moi, objectivement, ce qu'implique la référence du rapport humain à X ?
X donne envie de gerber à Psyricien, mais rend Jean7 joyeux. Jean7 et Psyricien se rencontrent et parlent de X. Chacun peut comprendre ce que l'autre veut dire car chacun a expérimenté lui-même l'envie de gerber et la joie. C'est ça la référence intégrée quasi-objective (effectivement, une sensation est en toute rigueur et par définition non objective, je l'ai déjà signalé).
C'est subjectif ... il n'y a rien d'objectif ici, ou de quasi-objectif.
Alors pourquoi ça marche ? Quand la subjectivité ne varie plus selon les individus, est-ce toujours de la subjectivité ?
http://www.larousse.fr/dictionnaires/fr ... tive/75038
Quand je te dis "j'ai envie de gerber", je décrit un fait avec une exactitude qui n'est certes pas absolue mais qui opérationnellement fonctionne avec tout individu de mon espèce qui parle ma langue et a déjà eu envie de gerber.