ok ils aiment ça !

Mais elle me fait un peu trop penser à celle-ci : https://youtu.be/foahTqz7On4

Ça veut dire quoi tout ça? Autrement dit, faut pas que je tienne trop compte de ton 50%, mais ton 50% est plus en accord avec ta pensée que d’évaluer à 0% ou 100%Raphaël a écrit :C’est toi qui insistait pour avoir une improvisation linéaire (ou "évaluation" pour paraître sérieux...) à la manière Redico. Pour moi ça ne veut pas dire grand chose mais c’est plus en accord avec ma pensée que de répondre 0% ou 100%. .
Cette remarque n’a absolument rien à voir avec la partie que tu cites. Sérieusement, j’ai l’impression que tu deviens quelqu’un d’autre depuis quelque temps.Raphaël a écrit :Sauf que tu inventes des histoires sur ce que les autres pensent/imaginent et tu y crois.
Encore une phrase qui ne sert a rien. Ben ouais, l’on a tous une grille de lecture, et?Raphaël a écrit :Ce qui t’apparaît probable c’est ce qui te parvient à travers ta grille de lecture
Tu ne comprends pas je pense. Tu sembles créer une séparation entre le fait d’aimer émotionnellement la musique (qui serait lié aux souvenirs selon toi) et le fait de pouvoir l’apprécier intellectuellement (ce qui ne serait pas lié aux souvenirs selon toi). C’est une fausse dichotomie Raphaël! Ce n’est pas parce que tu apprécies intellectuellement une musique que cela n’est pas lié pour autant à ton expérience (acquis!!!). Je te l’ai dit, il ne s’agit pas que de souvenirs émotionnels caricaturaux.Raphaël a écrit :Non, c’est toi qui t’imagines que je crois ça. J’apprécie la musique que je comprends et qui fait un sens dans ma tête, un peu comme une structure mathématique/géométrique mais avec une dimension en plus.
Oui et non. Mais c’est un truisme de toute façon, car l’analyse de la structure est un processus cérébral~intellectuel qui ne requiert pas l’émotion. Tout comme toi, il m’arrive d’apprécier intellectuellement des compositions (de jazz dans mon cas) même si elles ne me touchent pas émotionnellement. Mais ce n’est pas pour autant que cela est inné! Il n'y a pas que les émotions qui constituent nos expériences, hein!Raphaël a écrit :Il peut aussi y avoir un contenu émotif associé à un bon souvenir de ma jeunesse mais ce n’est pas ce souvenir qui fait que j’apprécie la structure musicale de ce que j’écoute.
Il y a plusieurs gènes qui participent au goût (gustation) et ça varie d'un individu à un autre. Je te suggère de jeter un coup d'oeil sur ce document.Dash à Miraye a écrit :Sinon, le problème que j’ai avec l’innée, c’est que ce qu’il concerne ne m’apparait pas du tout être du même ordre que ce que concernent les gouts. Comme tu la saisis, je pense, si tous les individus d’une même espèce ont une réaction favorable au sucre, par exemple, ce trait général, ce « gout » commun entre tous les individus introduit alors la notion de « toute chose étant égale par ailleurs ». Du coup, cela n’a plus grand-chose à voir, bcp plus tard, entre deux individus dont l’un préfèrera la tarte aux pommes et l’autre la tarte au bleuet. Maintenant, Raphaël dit qu’il faut aussi considérer les différences entre les individus d’une même espèce à la naissance, soit! Je le veux bien...
Ref.: https://fr.wikipedia.org/wiki/Oreille_absolueL'oreille absolue a une origine à la fois génétique et environnementale. Il y a une vingtaine d’années, un auteur américain, J. Profita, a observé, en étudiant des familles de musiciens, que la transmission de cette particularité auditive s’effectuait selon une des lois de la génétique tout à fait classique, la dominance autosomale récessive à faible pénétrance.
Au contraire, c'est très différent. Il y a beaucoup de chansons qui sont inextricablement liées à des périodes de ma jeunesse (années 60's et 70's) et qui me rappellent un flot de souvenirs (ex. 1, ex. 2)Dash a écrit :Tu ne comprends pas je pense. Tu sembles créer une séparation entre le fait d’aimer émotionnellement la musique (qui serait lié aux souvenirs selon toi) et le fait de pouvoir l’apprécier intellectuellement (ce qui ne serait pas lié aux souvenirs selon toi). C’est une fausse dichotomie Raphaël!
.Mais c’est un truisme de toute façon, car l’analyse de la structure est un processus cérébral~intellectuel qui ne requiert pas l’émotion. Tout comme toi, il m’arrive d’apprécier intellectuellement des compositions (de jazz dans mon cas) même si elles ne me touchent pas émotionnellementRaphaël a écrit :Il peut aussi y avoir un contenu émotif associé à un bon souvenir de ma jeunesse mais ce n’est pas ce souvenir qui fait que j’apprécie la structure musicale de ce que j’écoute.
Vers 14~15 ans (à l'âge de la puberté). D'ailleurs une bonne partie de mes goûts dans d'autres domaines se sont fixés à cet âge, preuve que le corps a une influence certaine sur l'esprit.Au fait, t’as commencé à aimer la musique classique vers quel âge? Soit franc Raphaël!
J'avais cru comprendre que le pourcentage portait sur l'évaluation de la phrase dans le Redico.Dash a écrit :
Concernant les divers individus d’une même espèce, les différences de gouts et d'appréciations entre les individus sont le résultat de l'acquis :
Dash: 95% | Raphaël : 50% | Quivoudra : ?%
C'est peut être ton indifférence première qui est innée, un fonctionnement cérébrale qui ne te permet pas d'apprécier l'expérience de l'écoute et la culture fait que tu t'y habitues. Je vois mal comment on peut complètement dissocier notre corps, récepteur des expériences et les goûts sans pour autant nier l'apport culturel.jean7 a écrit :Pour ma pomme, concernant la musique, il me semble que je suis incapable d'aimer une musique la première fois que je l'entend.
Par contre, il n'est pas impossible qu'au bout d'écoutes répétées, je me mette à apprécier une musique que je n'aimait pas du tout en première écoute.
Donc vu de ma fenêtre, aimer la musique n'est pas inné du tout...
Le document n'est pas inintéressant, mais il démontre à mon avis une évidence : qu'à la base, tout nos sens et leur degré de sensibilité (qui diffèrent quelque peu pour chacun, je suis d'accord) sont le résultat de « quelque chose » (gènes, etc.). Conséquemment, je n'ai aucune difficulté à admettre et reconnaitre que certaines personnes sont plus ou moins sensibles, au départ, à certains « éléments » précis. Ça, ce n'est pas un problème pour moi. Comme le dit unptitgab, il est évident qu'on ne peut rien dissocier de notre corps. La question qu'on pourrait se poser c'est si, à la base et hors pathologies, les différences qu'il y a entre deux « humains moyens » qui viennent au monde ont moins/autant/plus d'incidence que tout le reste qui suivra (acquis). Et c'est sur cette question que j'ai un gros doute dans le fait de supposer que c'est « 50/50 » (du moins, pas pour tout, sans faire de distinction).Raphaël a écrit :Il y a plusieurs gènes qui participent au goût (gustation) et ça varie d'un individu à un autre. Je te suggère de jeter un coup d'oeil sur ce document.
Je comprends, mais je doute sincèrement qu’on puisse transposer ça à la musique aussi facilement. Pas parce que la musique est à part ou spécial, mais parce que ce qui nous fait apprécier une musique (ou tout ensemble complexe composé de plusieurs éléments) ne relève pas vraiment des petites différences de sensibilité concernant des éléments uniques et séparés, comme par exemple la sensibilité de chacun concernant les fréquences du spectre sonore, entre autres. Je m’explique...Raphaël a écrit :En ce qui concerne la musique je suppose que ça doit aussi être le cas.
Je comprends. Mais à défaut de ne pas savoir si l'inné à une incidence pour apprécier des trucs complexe, comme des différences de styles de musique, je préfère évaluer selon les probabilités concernant ce qu'on connaît de l'influence de l'acquis, plutôt que de choisir un « 50% » à peu près.Raphaël a écrit :tout ce que je peux te répondre c'est 50% parce que je n'en sais pas plus.
Ce qui revient à faire mon constat : cela provient de l'acquis! Tu associes certains éléments et fais des rapports (« logico-mathématico-géométrique ») en fonction d'autres de tes champs d'intérêt (et vice-versa), nécessairement (qui relèvent d'expériences eux aussi).Raphaël a écrit :La musique classique, par contre ça me laissait plûtot indifférent au début. C'est seulement quand j'ai réussi à la comprendre que j'ai commencé à l'apprécier.
Comme plusieurs autres choses qui se fixent vers cet âge, pour la plupart des gens. Mais en 15 ans d'expérimentation de notre « environnement », ça fait déjà plusieurs années qu'on se fait « conditionner » par une foultitude de petits détails.Raphaël a écrit :Vers 14~15 ans (à l'âge de la puberté). D'ailleurs une bonne partie de mes goûts dans d'autres domaines se sont fixés à cet âge, preuve que le corps a une influence certaine sur l'esprit.
J’suis pas certain de capter la nuance que tu veux m’apporter. Étant donné qu’il est impossible de quantifier des « unités » d’inné et d’acquis, l’on ne peut exprimer qu’une tendance générale. Du coup, si l’on suppose que les différences de gouts entre plusieurs individus sont la conséquence — grosso-modo — d’une égalité ou d’une proportion faible/forte dans un sens ou dans l’autre, c’est nécessairement similaire concernant un seul individu impliquant ces deux mêmes aspects, non?miraye a écrit :
J’avais cru comprendre que le pourcentage portait sur l’évaluation de la phrase dans le Redico.
Donc ça signifierait que tu étais d’accord et Raphaël moyennement avec la phrase pas que Raphaël pensait que l’inné représentait 50% dans nos goûts comme tu le reprends plus tard dans là discution
Euh, tu plaisantes?Pepejul a écrit :il n'y aurait pas simplement un lien avec la capacité de percevoir les sons qui varie avec l'âge ? On aime le classique bébé et en vieillissant... Je dis ça sans avoir aucune source.
Donc j’en reviens à ce que Spin-up m’a permis de comprend dans un autre post : tout comme les mutations génétiques (individus) VS la sélection naturelle (environnement), les deux sont indissociables et forment une dynamique, un processus de chaque instant. Du coup, nous avons tous des réactions de base face à certains stimulus externes si ce n’est qu’à cause de la « """nature~fonction""" » de certains de nos « composants » physiologiques, mais dès lors s’enchaine une suite d’interactions dans le temps ou chaque expérience devient partie intégrante de l’acquis, sans ne jamais être indépendant des composants physiologiques.LoutredeMer a écrit :sera donc naturellement apprécié physiologiquement (inné). Le souvenir de ce bien-etre crée une appréciation du chocolat acquise.
Oui. Je suis globalement d'accord avec toi depuis le début (bon, je ne lis pas les gros pavés interminables qui pourraient etre synthétisés via un petit travail), mais oui. J'ai été aussi d'accord avec Raphael sur certains points, vous n'etes pas diamétralement opposés dans vos points de vue.Dash a écrit :Donc j’en reviens à ce que Spin-up m’a permis de comprend dans un autre post : tout comme les mutations génétiques (individus) VS la sélection naturelle (environnement), les deux sont indissociables et forment une dynamique, un processus de chaque instant. Du coup, nous avons tous des réactions de base face à certains stimulus externes si ce n’est qu’à cause de la « """nature~fonction""" » de certains de nos « composants » physiologiques, mais dès lors s’enchaine une suite d’interactions dans le temps ou chaque expérience devient partie intégrante de l’acquis, sans ne jamais être indépendant des composants physiologiques.LoutredeMer a écrit :sera donc naturellement apprécié physiologiquement (inné). Le souvenir de ce bien-etre crée une appréciation du chocolat acquise.
Oui, c’est ce que je conçois depuis le début concernant ce sujet!
...sauf que les exemples comme celle que LDM (et Miraye) nous partage, avec sources, ne semblent concerner que ce qui est commun pour une même espèce......comme notre réaction favorable (à cause de ce qui nous constitue physiologiquement) pour le sucre. Du coup, à moins de trouver des contre-exemples qui démontrent que certains bébés naissants ont une réaction tout à fait opposée à d’autres bébés concernant des stimulus identiques (sucre, etc.), ne reste que la dynamique engendrée par l’expérience et la « complexification "anthropique" » de ces dernières de par les différences d’expériences et d’environnements (donc d’acquis!) pour expliquer les différences de gouts entre les individus d’une même espèce, non?
ERRATUM : Il fallait lire :LoutredeMer a écrit :- Le système limbique, avec le thalamus, où le message devient une émotion, l'hypothalamus, siège du plaisir inconscient, et l'hippocampe, siège de la mémoire. Partie du cerveau qui génèrera donc le plaisir, le dégout etc..
LoutredeMer a écrit :- Le système limbique, où le message devient une émotion avec l'hypothalamus, siège du plaisir inconscient, et l'hippocampe, siège de la mémoire. Partie du cerveau qui génèrera donc le plaisir, le dégout etc..
spin-up fait un peu court, mais il a quand même raison. Nos goûts sont le résultat d'une composition de variables innées et acquises.Schtoiing a écrit :Pardon, mais le terme "universel" m'ayant été refusé pour qualifier le fait que selon moi, naturellement, l'humain a une propension à ne pas vouloir tuer (sous prétexte que le cannibalisme, bien que très minoritaire, existe), le dégoût des odeurs d'excrément ne peut pas être qualifié d'universel : scatophilie..spin-up a écrit :...
Il y a des perceptions universellement agreables ou désagreables (odeur d'excréments, pleurs de bébé) ...
Je vous laisse chercher les témoignages et vidéos de bébés scatophiles voir scatophages (google disant que cela se trouve, pas envie de fournir le lien...) Du coup cela pose toujours la question de savoir d'où vient ce goût ou dégoût ?
A ce stade il serait intéressant de parler des causes.Kraepelin a écrit :Il arrive que les prédispositions innées entrent en conflit avec l'expérience propre du sujet et dans ces cas, c'est parfois l'acquis qui l'emporte. Aussi, arrive-t-il que des personnes finissent par être attirées par des odeurs, des saveurs et des formes que leur hérédité aurait prédisposé à détester. C'est le cas des certaines perversions sexuelles comme le masochisme et la scatophilie. L'évitement de la douleur est une prédisposition innée, pourtant, dans certains contextes, certaines personnes chercheront la douleur et la trouveront satisfaisante.
Une combinaison de variables: la génétique d'espèce; la génétique de genre (les femmes et les hommes n'ont pas les mêmes dispositions héréditaires); l'hérédité personnelle (en plus des disposition de l'espèce et du genre, chaque personne a son propre bagage propre); la somme des expériences traumatiques et érotiques (les pervers ont souvent des histoires personnelles à faire dresser les cheveux sur la tête).LoutredeMer a écrit : Frustrations pendant l'enfance? ex : éducation trop prude, ...
Reproduction d'un modèle? membre de la famille , ...
?
Remercie le ciel pour cette réponse de Schtoing: Bach est plus mieux que Dvorak dont seule la "symphonie du Nouveau Monde" est potable.Mireille a écrit :Suite à une bataille sanglante de mots avec Raphaël et surtout à cause du méchant Schtoiing qui nous met au défi de comprendre ''pourquoi il aime Bach plutôt que Dvorak'', j’ai décidé d’ouvrir ce message.
Pour l'acquis, le bleu pour les garçons et le rose pour les filles sont une mode du XIXe s.Vous voyez, Mesdames, c’est aussi pour cela que vous voyez rouge, parfois, quand c'est une question de survie…![]()
Dvorak n'a pas pondu que ça. Son quintette Op.81 vaut son pesant de t'séveudire, sans oublier "Les dents, ça s'lave", qui valent presque les danses hongroises de Brahms.Remercie le ciel pour cette réponse de Schtoing: Bach est plus mieux que Dvorak dont seule la "symphonie du Nouveau Monde" est potable.
Bien évidemment, on adore.Pepejul a écrit :Je voudrais savoir si vous aimez cette chanson : https://youtu.be/BWcTygNI-YE
Musicalement, vocalement, rythmiquement, thématiquement, humoristiquement...
pour info : l'artiste : https://fr.wikipedia.org/wiki/Dranem
De quoi peut provenir mon adoration pour cette ouvre ?
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