Ça marche bien.spin-up a écrit :Mireille a écrit : n poulpe a une nature poulpeuse, ses changements physiques l'ont amené a developper ses coeurs, son systeme nerveux central et ses tentacules qui ont changé sa relation avec l'espace et le monde. De ce fait, on peut dire que sa nature a changé puisqu'il est passé de l'animal au poulpe.
Ca marche bien, non?
L'homme est capable d'acquérir(acquis) énormément plus que n'importe quelle animal de cette planète, nul doute sur ce point,par contre nier l'animal que nous sommes cache quelque chose??? et c'est sur ce point que tu joues pour continuer a te voiler la face.Mireille a écrit :l’homme s’est séparé des autres animaux et cela est un fait.
A+
Le propos loufoque est : "L'homme n'est pas un animal" ... montre moi où Yves Coppens aurait tenu le même propos stp ?Mireille a écrit :Je ne crois pas que ce que dit Yves Coppens https://fr.wikipedia.org/wiki/Yves_Coppens relève de théorie loufoque.
Tout à fait d'accord avec ça mais va expliquer l'antropocenrisme à Mireille ... parce que c'est de ça qu'il s'agit ... j'ai essayé par 2 fois mais je n'ai visiblement pas égratigné le vernis solide de ses convictions (désolé Mireille mais tu fais plus dans le cherry-picking que dans la recherche d'éléments objectifs sur le sujet)Nicolas78 a écrit :[...] pour juger de sa nature, on s'orientait uniquement sur sont intelligence (par exemple) (ou sa connerie, ça va de pair à ce qui parait
Or ce critère (comme d'autres) est un choix arbitraire dans un océan "oublié" de caractéristiques. [...]
Il me semble qu'il dit quelque chose qui s'en approche dans l'émission de lundi passé en effet ("La Méthode Scientifique" sur France Culture).Lulu Cypher a écrit :Le propos loufoque est : "L'homme n'est pas un animal" ... montre moi où Yves Coppens aurait tenu le même propos stp ?
).
Surement une multitude. Quand ma grand mère noyait les chatons tous les 3-4 mois des chattes, elles erraient plusieurs jours en les cherchant et en miaulant desespérément (désolée, c'est pas drole mais bon).bukowskinotic a écrit :
Y a-t-il d'autres exemples dans la nature ?
C’est peut-être parce qu’elles avaient les tétons pleins de lait et que ça fait mal.LoutredeMer a écrit : Surement une multitude. Quand ma grand mère noyait les chatons tous les 3-4 mois des chattes, elles erraient plusieurs jours en les cherchant et en miaulant desespérément (désolée, c'est pas drole mais bon).
Corrigé.Plus joyeux, chantez des chansons à vos chats, ils adorent ca (surement les fréquences qui les euphonisent)
LoutredeMer a écrit : Quand ma grand mère noyait les chatons tous les 3-4 mois des chattes, elles erraient plusieurs jours en les cherchant et en miaulant desespérément (désolée, c'est pas drole mais bon).
Plus joyeux, chantez des chansons à vos chats, ils adorent ca (surement les fréquences qui les euphorisent)
Je souligne ce qui me parait être exagéré.a plupart des espèces peuvent piquer leur proie plusieurs fois et ce d'une manière très particulière : la première fois cible les ganglions nerveux quand la seconde vise une zone précise du cerveau de la blatte, lui coupant son réflexe de fuite1. À la suite de la première piqûre, la blatte est paralysée de deux à cinq minutes, laissant à son prédateur le soin de réaliser la seconde frappe à la précision chirurgicale. Avant de ramener le butin dans son nid, la guêpe coupe les antennes de sa proie afin de se nourrir de son hémolymphe.
Oui, cela semble même assez poussé chez certains cétacés :LoutredeMer a écrit : Surement une multitude.
Pepejul a écrit :LoutredeMer a écrit : Quand ma grand mère noyait les chatons tous les 3-4 mois des chattes, elles erraient plusieurs jours en les cherchant et en miaulant desespérément (désolée, c'est pas drole mais bon).
Plus joyeux, chantez des chansons à vos chats, ils adorent ca (surement les fréquences qui les euphorisent)
il suffit d'en laisser un seul (tuer les autres le premier jour) jusqu'au sevrage (le tuer ensuite) et la mère ne s'épuise plus à les chercher (en plus elle sera infertile durant toute la période d'allaitement...
Ha oui, c'est ce que j'entendait par "instinctif" (c'est pas habile de ma part certe).Pepejul a écrit :Nikolas ce sont des guêpes (hyménoptères) proches des Ichneumons.
Dis-toi que les individus qui tapaient au hasard ou à d'autre endroit (instinct inné) ont eu moins de succès et donc se sont moins reproduits... leurs gènes ont progressivement disparu de la population.
Les gènes de "taper où il faut dans le bon ordre", apparus au hasard des mutations parmi une multitude d'autres options (taper où il faut mais dans le désordre, taper à côté, taper n'importe où, se piquer soi-même...) ont été maintenus par la sélection naturelle qui a fait progressivement disparaître les autres...
C'est le principe de base de l'évolution Darwinienne.
Après il est possible que dans cette séquence innée intervienne une possibilité d'apprentissage et de perfectionnement mais il me semble que les guêpes en question réalisent le même type de piqûre dès leur éclosion.
:Ce qui est faux ! La chatte peut très bien être en chaleur pendant sa période d'allaitement !Pepejul a écrit : il suffit d'en laisser un seul (tuer les autres le premier jour) jusqu'au sevrage (le tuer ensuite) et la mère ne s'épuise plus à les chercher (en plus elle sera infertile durant toute la période d'allaitement...
Rien n'est caché ! O y lit ce que l'on veut ! Ceci dit rien n'oblige à prêter de la mièvrerie puérile à celui qui trouve l'action passablement expéditive .Pepejul a écrit :Par contre derrière le "no comment" se cache un petit peu de "oooh le gentil bébé chat qu'il ne faut pas tuer le pauvre" non ?
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