- Voici une adresse, que vous connaissez surement, faisant référence aux vidéos dont je parlais, auxquelles on ne peut plus avoir accès - Heureusement, il reste les liens imagés qui donnent une petite idée des films : http://ufologie.net/htm/vidbelf.htm
J'essaierais de rentrer en contact avec le webmaster pour voir s'il n'y a pas une possibilité de récupérer ces vidéos, dès ce week-end.
On note une différence entre les vidéos et la photo de Petit-Rechain. J'essaierais également de retrouver une autre photo similaire aux vidéos, présentant la même différence.
- Voici un lien expliquant sommairement le déploiement de leurres électroniques (faux échos radar) : http://www.netmarine.net/armes/ge/leurrage.htm
- liens sur le Mig29 :
http://www.warland.info/article.php3?id_article=27
http://www.atfx.org/index.php?valeur=16&idavion=18
- Vous trouverez sur ce lien : http://www.vbs-ddps.ch/internet/luftwaf ... r2003.html une liste d'exercices militaires qui s'effectuent dans divers pays d'Europe.
On remarquera que ces exercices se déroulent à partir de QG situés dans des grandes villes.
Et on remarquera dans le même temps que lors de ces exercices, les F-16 et les Mig sont fréquemment utilisés.
Et enfin, on remarquera que l'Allemagne possède des Mig 29m, certainement l'avion de combat le plus efficace au monde qui, selon les experts, vaut largement le F-16. C'est en réalité un appareil hors du commun, capable d'accélérations incomparables (dès la version "K") et d'un manoeuvrabilité sans pareille à faible vitesse, comme d'une capacité très paticulière d'échappement : il est capable de "booster" ses limites. Sa vitesse ascensionnelle est de 330 m/s. C'est également le meilleur avion dans les évolutions nocturnes. Il est également muni d'un système de leurres électromagnétiques, ainsi que d'un brouillage-radar issu de l'espionnage russe-américain.
Voilà pour le moment, ces quelque sources qui, bien sûr, n'expliquent pas la vague belge dans sa totalité, mais appuient les arguments que j'ai présenté - particulièrement au niveau du brouillage radar.
Je continue les recherches.
Comme me l'a fait remarquer de_passage, des projets de surveillance, d'observation permanente, ont déjà été proposés, comme par exemple le projet SPOC http://www.rr0.org/SPOC.html qui fut un échec.le fugitif a écrit :Selon toi, c'est dû à quoi si cela ne se fait pas dans la Défense ?
Un manque d'interêt de la chose ? La peur de passer pour des doux dingues ?
Je ne suis pas informé si des projets d'envergure, du genre SETI, furent proposé, dossier béton à l'appui. Il ne me semble pas, en tout cas. Mais si ces projets ont échoué, c'est peut être aussi à cause de leur manque de pertinence, c'est une possibilité.
Personnellement, je pense qu'il existe des pressions au sein même de la Défense et l'Armement. Pour ces hiérarchies, l'étude des OVNI est trop étendue, imprécise, et déborde sur leurs propres plate-bandes. Ainsi, en étudiant naïvement les OVNI, on pourrait venir mettre le nez dans leurs affaires - ce qui n'est pas acceptable. Et au lieu de découvrir des petits E.T, on tomberait sur des affaires scandaleuses.
D'autre part, ce genre de projet pourrait aussi attirer l'attention de toute la mouvance ufologique, qui se sentirait concernée et pourrait faire pression, parfois à tort, sur des objectifs exclusivement réservés à la décision des experts.
Et pour finir, ce genre de projet demanderait l'accord de commissions scientifiques. Cela exigerait des ufologues une révision à part entière de leur domaine :
1°) l'établissement de critères permettant une unification des méthodologies, et une définition précise de leur objectif.
2°) Un fondement scientifique se référant à des principes élémentaires, donc l'exactitude peut être défendue.
3°) le test de vérité sur une seule affaire, la bonne si possible, justifiant qu'un tel projet doit être accepté.
Actuellement, c'est un peu le cafarnaaum : les anciens comme Vallée proposent des hypothèses indémontrables, sont plutôt désorientés, et d'une manière générale, les faits présentés ne sont que subjectivement interprétables, à part dans les rares affaires où l'on trouve des paramètres concrets (comme Campeche), mais qui ne résistent pas au réductionnisme.
Donc, s'il existe quelques affaires "authentiques", ce sont celles là et nulle autre qui doivent servir de référence.
En fait, un projet est recevable à partir du moment où, dans sa sociologie, il est fondé : le chercheur doit pouvoir utiliser les échecs et les erreurs du passé pour établir une synthèse, une critique constructive de cette expérience, et définir un concept plus approprié.
Il faut toujours travailler en accord avec la science et trouver réponse aux arguments qu'elle défend. Il n'y a pas de meilleur allié pour avancer et trouver des réponses, aussi partielles soient-elles. Un début de vérité, ausi minime et innassouvissant soit-il, vaut mieux qu'une fausse-vérité, c-a-d une vérité indémontrable, invérifiable, que l'on ne peut partager.
C'est ça le vrai défi : faire éclater la vérité aux yeux de tout le monde. Quel autre outil que la science?