Etienne Beauman a écrit :Nicolas78 a écrit :si on est attiré, on est malade.
selon
wiki :
Toutes les paraphilies ont cependant un dénominateur commun : il s’agit dans tous les cas d’une pulsion sexuelle nécessitant un passage à l’acte pour faire disparaître une tension.
Si il n'y a pas de passage à l'acte...
Si il n'y à pas de passage à l'acte, la tension demeure, et elle peut etre le signe d'une maladie.
Wiki dit aussi :
Wiki a écrit :Elle ne fait pas forcément l'objet d'un passage à l'acte. Le simple désir de relations sexuelles avec un enfant, même frustes, entre dans le cadre de la pédophilie. Elle peut aussi dépasser le cadre de relations purement sexuelles, et s'associer à des vexations, des atteintes à la personne, voire des meurtres. Elle peut être un acte isolé, ou une habitude.
Ca peut être discutable, de souvenir j'avais déjà posé la question ici concernant une notion de tension : "est-ce que penser à être violent et tuer quelqu'un ou en sentir comme une pulsion, sans passer à l'acte, peut être une maladie mentale ?"
On m'avait dit que pas forcement. Mais que ça pouvait aussi l’être. Si je me souvient bien (pas garantit

).
Mais concernant l'attirance sexuelle, ça semble être traité différemment. L'attirance (possiblement la
pensée donc ? Car on sais qu'on est attiré par quelque chose en s'en rendant compte ?) semble déjà être la maladie, avec ou sans passage à l'acte.
En gros, une personne peut passer pour une personne bonne et exemplaire tout le long de sa vie, alors qu'en fait c'était qu'un pervers...
LoutredeMer a écrit :Nicolas78 a écrit :
Donc pour la pédophilie il me semble que même sans passage à l'acte (ni même aucun gestes qui laisserait présager que), si on est attiré, on est malade.
Depuis le DSM V c'est classifié en "trouble sexuel" et non plus en maladie, si j'ai bien compris.
Très bien merci pour l'info

Après ça reste de la sémantique. Ça ne change pas grand chose à ce que je soulève.