Moi je reproche pas aux spartiate leur politique eugéno-élitiste quand il fallait faire face à l'Empire Perse.
En clair faut le dire Castro c'était Léonidas ( en vérité c'est le che mais bon)
Ahou ! Ahou ! Ahou !

Je ne supporte plus cette expression à la con.Ternamus a écrit :droit de l'hommiste.
Parce que c'est un concept totalement vague possiblement manipulable par tous. Les exemple ne manque pas. D'ailleur assad et poutine ne sont il pas en train de raser une ville au nom d'un droit de l'homme à s'émanciper du joug totalitaire islamo-terroriste qui règne à alep...ça vaut aussi pour obama et ses assassinat arbitraire par drone.spin-up a écrit :Je ne supporte plus cette expression à la con.Ternamus a écrit :droit de l'hommiste.
Je parlais de l'expression "droit de l'hommiste", pas de la notion de droits de l'homme (qui n'est pas vague).Ternamus a écrit : Parce que c'est un concept totalement vague possiblement manipulable par tous.
Précise nous alors une démonstration concrète de la notion de droits de l'homme.spin-up a écrit :Je parlais de l'expression "droit de l'hommiste", pas de la notion de droits de l'homme (qui n'est pas vague).Ternamus a écrit : Parce que c'est un concept totalement vague possiblement manipulable par tous.
Selon les critiques du pouvoir politique le droit-de-l’hommisme désigne une stratégie de communication du pouvoir consistant à exploiter et détourner la philosophie des droits de l’homme pour promouvoir des intérêts qui en sont très éloignés. Par exemple les droits de l’homme peuvent être fallacieusement invoqués pour « justifier » une politique impérialiste ou oligarchique.
Article premier - Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l'utilité commune.
Article 2 - Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l'oppression.
Article 3 - Le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la Nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d'autorité qui n'en émane expressément.
Article 4 - La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres membres de la société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la loi.
Article 5 - La loi n'a le droit de défendre que les actions nuisibles à la société. Tout ce qui n'est pas défendu par la loi ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à faire ce qu'elle n'ordonne pas.
Article 6 - La loi est l'expression de la volonté générale. Tous les citoyens ont droit de concourir personnellement ou par leurs représentants à sa formation. Elle doit être la même pour tous, soit qu'elle protège, soit qu'elle punisse. Tous les citoyens, étant égaux à ces yeux, sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents.
Article 7 - Nul homme ne peut être accusé, arrêté ou détenu que dans les cas déterminés par la loi et selon les formes qu'elle a prescrites. Ceux qui sollicitent, expédient, exécutent ou font exécuter des ordres arbitraires doivent être punis ; mais tout citoyen appelé ou saisi en vertu de la loi doit obéir à l'instant ; il se rend coupable par la résistance.
Article 8 - La loi ne doit établir que des peines strictement et évidemment nécessaires, et nul ne peut être puni qu'en vertu d'une loi établie et promulguée antérieurement au délit, et légalement appliquée.
Article 9 - Tout homme étant présumé innocent jusqu'à ce qu'il ait été déclaré coupable, s'il est jugé indispensable de l'arrêter, toute rigueur qui ne serait pas nécessaire pour s'assurer de sa personne doit être sévèrement réprimée par la loi.
Article 10 - Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, mêmes religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la loi.
Article 11 - La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme ; tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi.
Article 12 - La garantie des droits de l'homme et du citoyen nécessite une force publique ; cette force est donc instituée pour l'avantage de tous, et non pour l'utilité particulière de ceux à qui elle est confiée.
Article 13 - Pour l'entretien de la force publique, et pour les dépenses d'administration, une contribution commune est indispensable ; elle doit être également répartie entre les citoyens, en raison de leurs facultés.
Article 14 - Les citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leurs représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d'en suivre l'emploi, et d'en déterminer la quotité, l'assiette, le recouvrement et la durée.
Article 15 - La société a le droit de demander compte à tout agent public de son administration.
Article 16 - Toute société dans laquelle la garantie des droits n'est pas assurée ni la séparation des pouvoirs déterminée, n'a point de Constitution.
Article 17 - La propriété étant un droit inviolable et sacré, nul ne peut en être privé, si ce n'est lorsque la nécessité publique, légalement constatée, l'exige évidemment, et sous la condition d'une juste et préalable indemnité.
Comme je l'ai dit, parler de ça demanderait de faire une longue discussion sur le sens qu'on donne aux termes et la réalité historique derrière les mots. Ca demanderait aussi de discuter plus philosophiquement du caractère mortel ou non des idéaux. La formulation que vous faites, par exemple, est déjà emprunte d'idéologie puisqu'elle personnifie le communisme comme une entité unique qui combattrait un ou plusieurs adversaire, personnifiés en creux et qui l'aurait vaincu. Or, je pense que vous vous en doutez, mais la réalité est un peu plus complexe que ça et même la notion de combat, on peut la discuter (pas la nier, mais ça n'aura pas forcément le même sens selon l'interlocuteur).jean7 a écrit :Mais tu me surprends quand même beaucoup en considérant assez faux que le comunisme ait été vaincu au siècle dernier et qu'il n'en resterait presque plus rien... On m'aurait menti à ce point ?
Les droits de l'Homme renvoit à ça:ternamus a écrit :Précise nous alors une démonstration concrète de la notion de droits de l'homme.
Que ça n'a rien à voir, puisque ça ne fait justement pas référence aux DDH au sens le plus courant, à savoir la déclaration sus-cité.Tient que pense tu du droite de l'homme aryen des nazis à disposer d'un espace vital.
Et quand on invoque fallacieusement le droit-de-l'hommisme, c'est du droit-de-l'hommismisme?mcmachin a écrit :D'après wiki :Selon les critiques du pouvoir politique le droit-de-l’hommisme désigne une stratégie de communication du pouvoir consistant à exploiter et détourner la philosophie des droits de l’homme pour promouvoir des intérêts qui en sont très éloignés. Par exemple les droits de l’homme peuvent être fallacieusement invoqués pour « justifier » une politique impérialiste ou oligarchique.
BeetleJuice a écrit :jean7 a écrit :Les droits de l'Homme renvoit à ça:
http://www.un.org/fr/universal-declarat ... an-rights/
C'est un vrai début de discussion ou bien vous allez encore fuir avec une pirouette dès que ça dépassera le stade des slogans ?ternamus a écrit :Bah alors là je suis pas du tout d'accord qu'en fournisse les Capitalistes d'une tel arme de destruction massive des consciences.
Vous êtes bien naifs...en plus de vivre dans l’opulence occidentale bâtie à coup d'esclavagisme répandus à travers tout le restant du globe.
Il a le gout du sang de l'homme noir africains
notre mug matinal de cacao quotidien
Vous ne trouvez pas ?
On est bien trop sujet à l'effet de l'émotion et de l'affect que évidemment il est impossible de tenir une discussion qui tiennent...enfin non pour toi si tu peux enchainer des pavé pour nous démontrer en quoi oui fondamentalement la liberté c'est quand meme pas plus mal comme principe fondateur d'un système politique. Mais je t’interdis pas de le faire c'est bien de voire des gens qui croient en leur combat et qui ont des idéaux à défendre.BeetleJuice a écrit :C'est un vrai début de discussion ou bien vous allez encore fuir avec une pirouette dès que ça dépassera le stade des slogans ?ternamus a écrit :Bah alors là je suis pas du tout d'accord qu'en fournisse les Capitalistes d'une tel arme de destruction massive des consciences.
Vous êtes bien naifs...en plus de vivre dans l’opulence occidentale bâtie à coup d'esclavagisme répandus à travers tout le restant du globe.
Il a le gout du sang de l'homme noir africains
notre mug matinal de cacao quotidien
Vous ne trouvez pas ?
Parce que j'ai déjà mon quota de troll avec richard et j'ai pas vraiment envie de perdre une demi-heure à vous répondre sérieusement et à argumenter pour n'avoir en face que l'équivalent de messages twitter.
Bonjour Beetlejuice,BeetleJuice a écrit :.Pour être honnête, je pose ici un débat profond d'historiographie et plus généralement en épistémologie des sciences sociales. Savoir si les sociétés humaines sont un modèle déterministe ou plus chaotique, savoir si les acteurs sont entièrement contraint par le contexte ou capable d'autonomie est une vieille question non résolue.
Je n'ai aucune formation en Histoire et je me demande toujours jusqu'où l'historien doit pousser le réductionnisme pour prétendre expliquer/comprendre un évènement.BeetleJuice a écrit :Il y a quelques années, j'aurais été totalement d'accord avec vous, aujourd'hui, je suis plus incertains. Les symboles travestissent effectivement le réel pour le rendre plus simple, voir simpliste parfois au point de nous égarer (faire d'Hitler un monstre inhumain réduit en effet la prise de conscience du risque de voir se reproduire le drame très humain qu'a été le nazisme), mais à l'inverse, la complexité si elle se rapproche plus du réel, peut aussi nous égarer dans un relativisme qui ne me semble pas forcément souhaitable.
C'est triste à dire, mais la complexité demande du temps et je ne suis pas sûr que tout le monde ait le temps à lui consacré pour à la fois l'appréhender et en comprendre les pièges. Du coup, les symboles ont au moins cette vertu de permettre une appropriation rapide d'élément moraux dont la pérennité est sans doute souhaitable, même si c'est potentiellement au prix de voir la mythologie masquer la réalité (et on en voit le risque dans ce fil, le mythe de Cuba encombre parfois malgré nous nos imaginaires, surtout si ce mythe à avoir avec notre identité politique).
Tu dis ça parce que tu lis trop RT et sputnik.spin-up a écrit : Et quand on invoque fallacieusement le droit-de-l'hommisme, c'est du droit-de-l'hommismisme?
Parce que c'est au moins aussi fréquent.
Idem.Babel a écrit :Je ne parviens jamais à estimer un évènement analysé de manière suffisamment fine et complète me permettant d'arrêter mon jugement. C'est une attitude assez stérile puisqu'elle suspend de manière presque maladive la possibilité de se prononcer.
En effet, mais à défaut d'apprendre aux gens cette complexité, on peut peut-être au moins leur apprendre à suspendre leur jugement et les mettre en garde contre les discours racoleurs. M'enfin... sans tomber dans un relativisme stérile non-plus, et puis ça pose la question de l'argument d'autorité ou de l'élitisme.BeetleJuice a écrit :C'est triste à dire, mais la complexité demande du temps et je ne suis pas sûr que tout le monde ait le temps à lui consacré pour à la fois l'appréhender et en comprendre les pièges.
En effet. Le prix des Rolex était "abordable" jusque dans les années 80 où la marque a voulu conquérir le marché luxueux des "yuppies", les traders ou courtiers en bourses des années 1980. Mais Rolex était quand même une marque chère avant cela.Invité a écrit :Rolex watches weren’t a status symbol when this picture was taken. They were considered some of the most functional accurate watches of their time (before quartz era started).
Fidel Castro was often spotted wearing two Rolex’s at the same time – one of them a GMT, the other one a Submariner. In total the watches gave Castro a three time zone overview by a glance on his wrist. The watches have been set for Havana, Washington and Moscow time
http://rarehistoricalphotos.com/fidel-c ... ches-1963/
Pour les milliers de gens assassinés et emprisonnés sous le régime de Castro, c'est assez simple. Mais ces gens-là, ils ne comptent pas...Greem a écrit :Tsss... c'est compliqué le monde.
Oups. Oui, je m'a gouré. MerciLulu Cypher a écrit :salut Cogite,
Je pense que tu as confondu la déclaration des droits de l'homme et du citoyen (purement française) avec la déclaration universelle des droits de l'homme qui reste une référence onusienne donc plus internationale.
Ils ont été pas mal éliminés par le régime de Castro.lefauve a écrit :Les descendants de la clique à Batista vont s'assimiler au américain et leur réclamation vont disparaître en même temps
facilitant le processus de paix.
Le problème avec le communisme, et les autres idéologies utopistes, c'est que la révolution ne se termine jamais, le but ultime ne peut jamais être atteint.Ce qui va permettre de finir la révolution
D'aucuns n'ont pas votre prévention. Je suis toujours stupéfait de voir autour de moi, dans le monde réel comme virtuel, nombre de gens persifler leurs avis et jugements définitifs sur telle ou telle actualité, tel ou tel régime politique, malgré une culture historique pauvre ou insuffisante. De fait, comment, dans une seule vie, avoir une connaissance personnelle et étayée de, au hasard, l'histoire de France, la révolution cubaine, du Moyen-Orient et du Mozambique ?Greem a écrit :L'histoire, d'une manière générale, ne me passionne pas suffisamment pour que je puisse y investir du temps et de l'énergie me permettant d'avoir un avis constructif sur des sujets relativement complexe, à moins d'avoir en face de moi un vulgarisateur passionné disposé à répondre aux questions potentiellement "stupides" (de son point de vu) que je pourrais lui poser, j'ai du mal à investir du temps dans des lectures que je ne comprendrais sans doute qu'à moitié, d'autant que personne autour de moi ne s'intéresse à ces sujets et que je n'ai pas une mémoire suffisamment bonne pour retenir toute l'information que je tente d'acquérir tant bien que mal par mes propres moyens. C'est pas faute d'avoir essayé pourtant, mais force est d'admettre que j'ai de sérieuse lacunes quand il s'agit d'aborder des sujets qui demandent d'avoir une relativement bonne culture historique.Babel a écrit :Je ne parviens jamais à estimer un évènement analysé de manière suffisamment fine et complète me permettant d'arrêter mon jugement. C'est une attitude assez stérile puisqu'elle suspend de manière presque maladive la possibilité de se prononcer.
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