Raphaël a écrit :Ton lien parle de la synchronisation d'horloges tandis que Beetlejuice parlait de la synchronisation de temps propres.
A priori, cest la même chose. En fait, on parle d'observateur depuis le début parce qu'on imagine bien qu'il va falloir que quelqu'un lise l'horloge, mais on pourrait tout à fait s'en passer et parler juste des horloges et de leur temps propre.
The Wild a écrit :Et puis il faut arrêter avec cette manie de parler de l'invariance du temps propre à la fin !
En fait, on a reprit la formulation de richard, mais pour tout le monde sauf lui, ça veut dire qu'une horloge indiquera toujours le même nombre de seconde dans une seconde de son temps propre (c'est très moche à dire

), même si par ailleurs, une comparaison avec une autre horloge constate une dilatation du temps. Pour richard, je ne sais pas exactement ce que ça veut dire, mais il a l'air de penser que le fait que le temps propre soit toujours un temps propre permet de conclure que le temps est en fait un absolu et le même partout, simplement parce qu'il place en fait les éléments de la relativité (qui s'exprime toujours relativement à un référentiel, d'où le nom...) dans un cadre absolu.
C'est pour ça qu'il ne précise jamais exactement le référentiel et qu'il fait passer les conclusions d'un référentiel à l'autre sans transformation, parce que volontairement ou non, il fait comme s'il n'y avait qu'un seul référentiel absolu, donc conclu à un temps absolu, à des mouvements absolus...
Cà n'est pas qu'avec la relativité d'Einstein qu'il a un problème, c'est avec la relativité tout court, telle qu'énoncé par Galilée.
This is our faith and this is what distinguishes us from those who do not share our faith.
(John Flemming, Évêque irlandais, 3ème dan de tautologie, ceinture noire de truisme, champion des lapalissades anti-avortement.)