De pire en pire.CONFÉRENCE Jacques Grimault: Le Savoir des Anciens, apprentissage par la cabale hermétique, la langue des oiseaux
Ils demandent les relevés d’impôts pour le savoir ? Ça se passe comment ?LIEN DE RESERVATION: 15 euros
tarif réduit à 10 euros (pour ceux qui en ont besoin)
Bien entendu...ce qui est vrai ne vient que de Grimault (et même pas de tout ceux qu'il à plagiés...tien...).Un savoir bien réel et solide, ignoré de l’Université, un régal d’originalité et d’ingéniosité…
De la vraie culture et du vrai savoir !
Juste pour en apprendre un peut plus, je mettrait bien 1€...suis curieuxCette news est réservée aux contributeurs du projet. Vous savez ce qu'il vous reste à faire !
Voilà voilà...Paul Tucker a écrit :We are a prayer delivery service that enables people across the world to send prayers to multiple holy sites in Jerusalem, Israel.
Ha mais ca c'est pas forcément bidon, il peut très bien délivrer exactement le service dont il fait la publicité.Hallucigenia a écrit :Voilà voilà...Paul Tucker a écrit :We are a prayer delivery service that enables people across the world to send prayers to multiple holy sites in Jerusalem, Israel.
Ma compréhension est plutôt que c'est le résultat qu'on obtient lorsqu'on donne des moyens à un incompétent: du gaspillage en pure perte. Trois mot-clés: Enfer, Pavé, Bonnes intentions...Nicolas78 a écrit :L'idée ne me parait pas idiote, c'est techniquement que ça déconne c'est ça ?
Comme cela ne m'intéresse pas vraiment, je me fie à ce qu'à présenté spin-up et peux très bien me tromper.Nicolas78 a écrit :Quoi l'ado était seul à gérer l'argent selon ses propres plans ? Aucun critique ? Aucun autre techniciens ? Aucun conseillers ni même collègue ?
Je m’étonnait qu'un tel projet et tant d'argent fut laissé à un ado seul.Several criticisms and doubts about method, feasibility, efficiency and return on investment have been raised in the scientific community about the Ocean Cleanup Array.
- The Ocean Cleanup did not produce a thorough Environmental Impact Report and did not examine alternatives.[14]
- 92% of plastic in the ocean is smaller than micro-plastic and cannot be caught by this system [15]
- The ocean sea surface is not the final resting place. Researchers have now found microplastic and synthetic fibers frozen into ice cores, abundant on the sea floor, and on every beach worldwide. Along the way it passes through the bodies of billions of organisms.[16]
- Taking the system upstream would capture more plastic before it degrades and impacts marine life, and more than likely at less cost than the Net Array.[14]
- Discouraging plastics consumption would be more effective long-term, and The Ocean Cleanup's strategy will instead enable environmentally harmful consumption patterns.[5]
Et oui, malheureusement nous ne danserons pas sur le Le 7ème continent : un monstre de plastique, car il se désagrège en fines particules qui viennent empoisonner les poissons et autres animaux !Nicolas78 a écrit :...
On voit bien que le projet Ocean Cleanup a démarré sur des prémisses un peu bidon...Mais la façon dont on parle de cette question, surtout dans les médias, est absolument fascinante — encore que «morbidement» serait peut-être un adverbe plus approprié ici, vous me direz ce que vous en pensez. Ainsi est-il courant de lire qu’il y a des «îles», voire des «continents» de plastique qui s’accumulent dans les gyres subtropicales, soit des endroits où les courants océaniques font tourner l’eau en rond. Et l’on prend toujours bien soin d’accompagner ces topos de photos d’étendues d’eau totalement couvertes de plastique, alors qu’en fait, même dans les pires secteurs, la concentration des morceaux de toutes tailles tourne autour de 400 grammes par kilomètre carré flottant à la surface de l’eau. Il faut bien lire grammes et km2, ici, parce qu’il n’y a vraiment aucune île de plastique là-dedans, et encore moins un continent.
C'est bien intéressant ! Merci pour le débunkage !Christian a écrit :À propos des continents de plastique, Jean-François Cliche en parle dans son blog :
On voit bien que le projet Ocean Cleanup a démarré sur des prémisses un peu bidon...Mais la façon dont on parle de cette question, surtout dans les médias, est absolument fascinante — encore que «morbidement» serait peut-être un adverbe plus approprié ici, vous me direz ce que vous en pensez. Ainsi est-il courant de lire qu’il y a des «îles», voire des «continents» de plastique qui s’accumulent dans les gyres subtropicales, soit des endroits où les courants océaniques font tourner l’eau en rond. Et l’on prend toujours bien soin d’accompagner ces topos de photos d’étendues d’eau totalement couvertes de plastique, alors qu’en fait, même dans les pires secteurs, la concentration des morceaux de toutes tailles tourne autour de 400 grammes par kilomètre carré flottant à la surface de l’eau. Il faut bien lire grammes et km2, ici, parce qu’il n’y a vraiment aucune île de plastique là-dedans, et encore moins un continent.
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