











you made my day.
Si vous parlez de ce message, je ne l'avais pas vu. Pour autant moi et Beetlejuice y avons déjà répondu cent fois. Je m'y essaie une dernière fois sans trop d'espoir néanmoins.Psyricien a écrit :Intriguant que vous skippiez systématiquement tout les passages où je clarifie cela ... c'est à croire que vous tenez à continuer de malmener un pauvre épouvantails.
En effet vous tournez drôlement en rond, vous ne risquez pas d'arriver quelque part.Psyricien a écrit :Complément qui résume mon questionnement:
Nous avons deux personnages:
1) X décrit par les textes d'une religions contenant de nombreux éléments fantaisistes
2) Y un personnage historique supposé être l'inspiration de X.
Les connaissances actuelles, à en croire les intervenant sur ce fil, de Y, font que de Y on ne sait rien, si ce n'est qu'il aurait existé.
Mon questionnement, est donc de savoir si il est légitime de parler de de "Y" comme le "X-historique" ? Puisque en fait on ne sait pas à quel point X et Y sont similaire ou dissemblable.
N'ayant aucune connaissance de "Y", il me semble au mieux confusant, de nommer "Y" : "X-historique".
De combien "Y" doit-il être éloigné de "X" pour que l'on puisse les considérer comme des personnages fort différent (et cela même si X est construit en partie sur Y pour son socle historique).
Ce que vous n'arrivez pas à saisir, c'est que l'historien n'étudie pas tant un personnage que la représentation qui en a été faite à travers toutes les sources à sa disposition. Il ne peut ni ne cherche à prouver son existence - tout au plus peut-il en estimer le degré de crédibilité avec des outils de critique textuelle que je vous ai déjà donné.Babel a écrit :(...) sur quels critères précis définissez-vous un document comme douteux ? Parce qu'on dirait que vous avez votre propre méthode (si c'est pas réaliste c'est mythique) qui est bien éloignée de celle des historiens.Psyricien a écrit :Là on commence à toucher à un problème méthodologique.
Si j'ai un texte X qui décrit un personnage Y en des termes mythique, ça discrédite le texte X.
Et si, je n'ai plus de document parlant de Y après avoir écarté les documents douteux, alors Y est douteux.
Mais ce n'est pas parce que un texte X parle de Y via des éléments "fantaisistes" que cela discrédite Y.
Saisissez vous la nuance entre les deux approches ?
Si j'ai un texte X qui décrit un personnage Y en des termes mythique, ça discrédite le texte X: que signifie précisément cette affirmation ? Que signifie ici discréditer ? Vous manquez vraiment de rigueur et vous vous étonnez que je ne vous comprenne pas.
Si je reprends vos propres termes (que je ne partage pas), je dirais plus volontiers: si j'ai un texte X qui décrit un personnage Y en des termes mythiques, ça me renseigne sur la nature du texte X (intention de l'auteur, genre littéraire, époque de rédaction...).
Vous feriez un piètre historien: on n'écarte pas les documents "douteux" comme vous le dites. On les prend pour ce qu'ils sont. Il n'y a pas de bons documents ou de mauvais documents, il y a une somme de sources qu'on fait dialoguer entre elles pour tenter une reconstitution de leur genèse.
Et hélas, parmis les cent fois en question, vos réponses ne sont pas satisfaisantes (elle sont généralement pas mal HS).Babel a écrit :Si vous parlez de ce message, je ne l'avais pas vu. Pour autant moi et Beetlejuice y avons déjà répondu cent fois. Je m'y essaie une dernière fois sans trop d'espoir néanmoins.
Non je pose une question simple, à quel point "Personnage historique" et "Personnage de conte" doivent t-il être proche pour justifier l'amalgame des noms ?En effet vous tournez drôlement en rond, vous ne risquez pas d'arriver quelque part.Psyricien a écrit :Complément qui résume mon questionnement:
Nous avons deux personnages:
1) X décrit par les textes d'une religions contenant de nombreux éléments fantaisistes
2) Y un personnage historique supposé être l'inspiration de X.
Les connaissances actuelles, à en croire les intervenant sur ce fil, de Y, font que de Y on ne sait rien, si ce n'est qu'il aurait existé.
Mon questionnement, est donc de savoir si il est légitime de parler de de "Y" comme le "X-historique" ? Puisque en fait on ne sait pas à quel point X et Y sont similaire ou dissemblable.
N'ayant aucune connaissance de "Y", il me semble au mieux confusant, de nommer "Y" : "X-historique".
De combien "Y" doit-il être éloigné de "X" pour que l'on puisse les considérer comme des personnages fort différent (et cela même si X est construit en partie sur Y pour son socle historique).
Mon questionnement est évidement valable pour tout personnage dont notre connaissance n'est basés que sur des infos douteuses.1) X décrit par des textesd'une religionscontenant de nombreux éléments fantaisistes
2) Y un personnage historique supposé être l'inspiration de X.
Comment ne voyez-vous pas que votre schéma vaut pour tout personnage historique sitôt qu'on enlève le terme religion qui semble vous donner des boutons ?
Mais, biensur qu'il n'est pas propre à Jesus, et je n'ai jamais prétendu qu'il l'était. Arrêter d'inventer le propos des autres !!!Comment ne voyez-vous pas que votre questionnement n'est pas propre à Jésus ?
Oui, oui, encore une accusation de crime contre leur majesté les historiens.Comment ne voyez-vous pas que ce n'est pas tant l'existence de Jésus que vous questionnez que la façon dont travaille l'historien ?
Oui, et c'est bien mon propos ... où est la limite, à qu'elle point X a t-il besoin de coller à Y pour que l'on puisse l'appeler Y légitimement ?Comment ne voyez-vous pas que tout texte à caractère biographique, religieux ou non, poursuit un but précis et est orienté et qu'il prend donc des libertés avec la réalité ? Que toute biographie a un écart fort avec le réel ? Que Y ne peut jamais être égal à X ?
Personne n'a nié cela, vous êtes dans l'excès ... dans la caricature, vous êtes incapable de répondre à une question simple, c'est triste.Est-ce qu'il faut vous rappeler cette évidence que tout texte historique est un récit écrit par un ou des individus poursuivant un but politique, religieux, idéologique... ? Que les Anciens n'avaient pas la même perception de l'Histoire que nous avons aujourd'hui ?
Oui, c'est votre argument majeur ... sauf qu'il est hors sujet, puisque ce n'est pas les conclusions que je conteste, c'est la façon de les communiquerDe toute évidence, vous ne comprenez pas la façon dont procèdent l'historien et la critique textuelle.
Normalement je ne réagit (pas trop) au hors sujet ... mais comme vous êtes bloquez la dessusJe vous l'avais déjà indiqué ici et vous n'avez pas réagi (comme à la plupart de mes arguments cela dit):
Le surnaturelle rend un texte immédiatement douteux. Le personnage au coeur des phénomènes surnaturels est donc lui même douteux.(...) sur quels critères précis définissez-vous un document comme douteux ? Parce qu'on dirait que vous avez votre propre méthode (si c'est pas réaliste c'est mythique) qui est bien éloignée de celle des historiens.Psyricien a écrit :Là on commence à toucher à un problème méthodologique.
Si j'ai un texte X qui décrit un personnage Y en des termes mythique, ça discrédite le texte X.
Et si, je n'ai plus de document parlant de Y après avoir écarté les documents douteux, alors Y est douteux.
Mais ce n'est pas parce que un texte X parle de Y via des éléments "fantaisistes" que cela discrédite Y.
Saisissez vous la nuance entre les deux approches ?
Discréditer:Si j'ai un texte X qui décrit un personnage Y en des termes mythique, ça discrédite le texte X: que signifie précisément cette affirmation ? Que signifie ici discréditer ? Vous manquez vraiment de rigueur et vous vous étonnez que je ne vous comprenne pas.
Et je suis relativement d'accords là dessus ... et donc ? Encore une fois ... je parle pas de ça !Si je reprends vos propres termes (que je ne partage pas), je dirais plus volontiers: si j'ai un texte X qui décrit un personnage Y en des termes mythiques, ça me renseigne sur la nature du texte X (intention de l'auteur, genre littéraire, époque de rédaction...).
C'est ici l'éternel appel à "on fait avec ce que l'on a".Vous feriez un piètre historien: on n'écarte pas les documents "douteux" comme vous le dites. On les prend pour ce qu'ils sont. Il n'y a pas de bons documents ou de mauvais documents, il y a une somme de sources qu'on fait dialoguer entre elles pour tenter une reconstitution de leur genèse.
Ce que vous n'arrivez pas à saisir, c'est que l'historien n'étudie pas tant un personnage que la représentation qui en a été faite à travers toutes les sources à sa disposition.
Ca tombe bien, c'est pas de ça que je parle ... vous aimez vraiment converser seul ?Il ne peut ni ne cherche à prouver son existence - tout au plus peut-il en estimer le degré de crédibilité avec des outils de critique textuelle que je vous ai déjà donné.
Et donc, pour la millième fois, non je n'essaie pas de vous démontrer que Jésus a existé car c'est impossible mais j'essaie de vous montrer que les sources dont on dispose ne sont pas en contradiction avec l'existence d'un Jésus historique.
Et je vous ai déjà dis que ce n'est pas le but que je poursuit ... pauvres épouvantails, vous aimez les malmenerMais qu'à l'inverse, considérer un Jésus totalement mythique nécessite d'envisager une contre-histoire qu'aucun historien n'a jamais produite.
D'autre part, à moins de considérer que Jésus est un pur mythe (ce que vous ne semblez pas/plus croire mais vous n'êtes pas clair), les éléments que vous appelez "mythiques" dans les Evangiles peuvent être retrouvés avec plus ou moins de précision. On s'accorde à penser que le processus de "mythification" se fait avec le temps, et que donc plus un texte ou portion de texte est récent, plus il s'éloigne de la réalité historique.
Qui a dit le contraire ? Personne, encore une fois vous passez votre temps à shooter à coté du ballon.C'est pourquoi les exégètes font l'archéologie du texte et tiennent pour plus probablement historique les sources les plus anciennes.
Pour être exact,miraye a écrit :Puisqu'on en est aux explications de textes et pour en revenir au différent entre Psyricien et Babel /BeetleJuice, j'ai l'impression de derrière mon écran, que par Jésus historique Psyricien entend : la réalité historique du personnage décrit dans la bible.
Tandis qu'un certains nombres d'autres intervenants dont moi pensait à la réalité historique d'un gourou (un humain classique) qui aurait existé (ou pas) et aurait inspiré certains textes de la bible à posteriori.
Il faut aimer sodomiser les diptères pour qu'une simple expression comme "Jésus historique" fasse ainsi surréagir.Psyricien a écrit : Ici Jesus n'est que l'exemple, le cas particulier qu'il me semblait pertinent de mentionner dans un fil où vous nous parlez d'un "Jesus historique".
(...)
je questionne juste le bien fondé d'une FORMULATION, et par la même la pertinence d'user de cette FORMULATION à des fin de communication.
(...)
pourquoi alors avoir besoin de parler de "X historique" ... elle est là la question outrancière à laquelle vous ne voulez surtout pas répondre![]()
(...)
Ce que je soulève c'est: est-il légitime de nommer le personnage qui aurait existé "X historique" ?
(...)
ce que vous nommez "Jesus historique" semble autant mériter son nom que le "BigBang" ... et c'est de ça que je parle ?
Soupçonnant que vous lisiez très mal ou seulement ce qui vous arrange, je vous l'avais à nouveau écrit dans ce message.Babel a écrit :Psyricien a écrit :Après, ce que je trouve intéressant c'est le choix des mots pour décrire un personnage. Choix qui me semble au mieux complètement confusant en terme de communication.
Vous me direz, même en science dure on a ce genre de soucis de terminologie (fichu Big-Bang) ... ce qui n'interdit pas pour autant de la soulever.
Quoique apparemment en histoire, si j'en crois ce que l'on me dit, questionner le bien fonder d'une formulation ce n'est pas pertinent ...
C'est pourtant très pertinent, car la communication des travaux passe par les termes utilisés pour en parler.
Je vous concède que le qualificatif de "Jésus historique" peut porter à confusion. Je pense que les exégètes utilisent cette terminologie afin de la distinguer d'un "Jésus théologique", pour affirmer que les questions de foi ne sont pas de leur ressort ou compétence.
Et puis écrire "Jésus historique" est plus court qu'une longue périphrase du type "Reconstruction fragmentaire et hypothétique d'un personnage appelé Jésus, obtenue grâce aux moyens moderne de la recherche historique".![]()
Comme on ne peut connaître Y que par X, votre questionnement est absurde. Et c'est bien pourquoi jamais les historiens n'amalgament les deux en prétendant pouvoir reconstituer Y.Psyricien a écrit : Oui, et c'est bien mon propos ... où est la limite, à qu'elle point X a t-il besoin de coller à Y pour que l'on puisse l'appeler Y légitimement ?
C'est encore vous qui êtes piégé dans une dichotomie 0/100% que vous semblez vouloir m'attribuer (cessez un peu de sur-interpréter ce que je dis ... la sur-interprétation ... on pourrait en parler longuement chez les sciences "molles", mais ne divergeons pas).
Je parle justement des nuance de gris au millieu.
Si X contient 1% de Y est-il légitime de l'appaler Y ?
Même chose avec 10%
Même chose avec 50%
Même chose avec 90%
Où est la limite ? Et dans le cas présent, vus que rien de "Y" n'est connue ... ce nombre est inconnu, et donc l'association semble peu légitime (à en croire les éléments que vous apportez.)
Je ne dit rien d'autre, je parle de FORMULATION ... est-ce que ça rentre ?
Absolument pas. Tout dépend de qui écrit le texte, de la période et de l'environnement culturel desquels il émane.Psyricien a écrit :Le surnaturelle rend un texte immédiatement douteux. Le personnage au coeur des phénomènes surnaturels est donc lui même douteux. La description qui est donc du personnage dans ce document est donc peu utile pour dégager une réalité historique quelconque.
Bien sûr que si vous en parlez même si de manière indirecte. Pour vous, un texte contenant des éléments surnaturels est discrédité. Je vous ai déjà montré combien cette affirmation est erronée.Psyricien a écrit :On se demande bien ce que vous pouvez dégagez de ma compréhension des méthodes des historiens ... puisque je n'en parle pas le moins du monde !
Aussi étrange que cela puisse paraître à votre esprit supérieur, oui, on fait avec les sources qu'on possède. Je reconnais que c'est une méthode bien peu orthodoxe. On ferait mieux de travailler avec ce que l'on n'a pas, c'est certain.Psyricien a écrit :C'est ici l'éternel appel à "on fait avec ce que l'on a".Babel a écrit :Vous feriez un piètre historien: on n'écarte pas les documents "douteux" comme vous le dites. On les prend pour ce qu'ils sont. Il n'y a pas de bons documents ou de mauvais documents, il y a une somme de sources qu'on fait dialoguer entre elles pour tenter une reconstitution de leur genèse.
Et c'est sans doute ce qui vous fait bugger. Vous voudriez qu'une science "molle" ait le même degré de fiabilité qu'une science "dure".Psyricien a écrit :Je serais surement un piètre historien, car j'aime les savoirs fiables
Psyricien a écrit :Mais j'imagine que le besoin d'arriver à une conclusion est trop fort.
Si vous arrêtiez de jouer à celui qui a la plus grosse, peut-être apprendriez-vous deux trois choses sur un sujet que vous connaissez si mal et que vous maltraitez avec une arrogance crasse.Psyricien a écrit :Vous élever l'art de pisser dans un violon à un niveau rarement atteint.
Croire avoir répondu, et répondre sont deux choses potentiellement très différentesBabel a écrit :Ainsi donc vous aboyez si fort à cause d'une simple formulation langagière (le Jésus historique) pour laquelle je me suis déjà expliqué dès le début de notre gentille conversation contrairement à ce que vous me chantez.
Pas étonnant que vous ayez l'impression que je ne vous comprends pas ou que je sois de mauvaise foi si vous ne lisez pas les réponses qui vous sont faites.
C'est peu intéressant ... la communication d'un savoir est peu intéressante ... c'est votre avis. Pourtant la communication d'un savoir est justement l'un des objectif premier de la recherche.Moi qui croyais benoîtement que ce débat syntaxique, peu intéressant du reste, était derrière nous, je vois que vous êtes resté sur le bord du chemin (de croix).
Nuance ... j'ai posé une question simple, que vous n'arrivez pas identifier depuis un long moment maintenant.Il faut aimer sodomiser les diptères pour qu'une simple expression comme "Jésus historique" fasse ainsi surréagir.
Et je n'ai pas sur-enchéri sur vos propos ... c'est vous qui êtes revenu répondre au mien.D'autant que je vous ai répondu il y a déjà un mois vous concédant même que l'expression pouvait porter à confusion.
Elle ne m'en donne pas, ça c'est votre "délire" ...Soupçonnant que vous lisiez très mal ou seulement ce qui vous arrange, je vous l'avais à nouveau écrit dans ce message.
Je vais donc vous le redire pour une troisième fois: les historiens parlent du "Jésus historique" pour le distinguer du "Jésus mythique ou théologique". Je suis désolé que l'expression vous donne à ce point de l'urticaire.
Comme on ne peut connaître Y que par X, votre questionnement est absurde. Et c'est bien pourquoi jamais les historiens n'amalgament les deux en prétendant pouvoir reconstituer Y.Psyricien a écrit : Oui, et c'est bien mon propos ... où est la limite, à qu'elle point X a t-il besoin de coller à Y pour que l'on puisse l'appeler Y légitimement ?
C'est encore vous qui êtes piégé dans une dichotomie 0/100% que vous semblez vouloir m'attribuer (cessez un peu de sur-interpréter ce que je dis ... la sur-interprétation ... on pourrait en parler longuement chez les sciences "molles", mais ne divergeons pas).
Je parle justement des nuance de gris au millieu.
Si X contient 1% de Y est-il légitime de l'appaler Y ?
Même chose avec 10%
Même chose avec 50%
Même chose avec 90%
Où est la limite ? Et dans le cas présent, vus que rien de "Y" n'est connue ... ce nombre est inconnu, et donc l'association semble peu légitime (à en croire les éléments que vous apportez.)
Je ne dit rien d'autre, je parle de FORMULATION ... est-ce que ça rentre ?
L'appellation "Jésus historique" ne renvoie ni à X ni à Y, mais bien plutôt à un X' débarrassé le plus possible de ses oripeaux mythiques/théologiques tardifs.
Y est, je vous l'ai déjà dit, inatteignable.
Et j'ai jamais prétendu le contraire ... c'est vous qui voulez m'attribuez une dichotomie débile "on sait tout"/"on sait rien".X' est un travail de reconstruction forcément lacunaire et difficile à évaluer. C'est frustrant mais c'est ainsi.
Ah ? Donc vous venez de me dire que Y est inatteignable ... mais maintenant vous pouvez l'atteindre ?Absolument pas. Tout dépend de qui écrit le texte, de la période et de l'environnement culturel desquels il émane.Psyricien a écrit :Le surnaturelle rend un texte immédiatement douteux. Le personnage au coeur des phénomènes surnaturels est donc lui même douteux. La description qui est donc du personnage dans ce document est donc peu utile pour dégager une réalité historique quelconque.
Car on ne parle de la même chose ... je parle de "fait", vous voulez à tous pris voir que je parle "d'interprétation".C'est à cause de ce genre de remarques que je prétends que vous avez de grosses lacunes en méthodologie historique et de critique textuelle.
Vous pouvez interpréter le texte, pour sur ... la fiabilité de ce que vous en extirpé ... ma foi c'est autre-chose.Bien sûr que si vous en parlez même si de manière indirecte. Pour vous, un texte contenant des éléments surnaturels est discrédité. Je vous ai déjà montré combien cette affirmation est erronée.Psyricien a écrit :On se demande bien ce que vous pouvez dégagez de ma compréhension des méthodes des historiens ... puisque je n'en parle pas le moins du monde !
Vous répondez encore à un propos que je tiens pas ... j'avoue être lasse d'essayer d'expliquer ça à un réac ...L'hagiographie est un important genre littéraire pendant le premier millénaire du christianisme. Dès les origines, ces textes hagiographiques ont une valeur d'exemplarité mais aussi une dimension normative. Ils donnent des informations historiques tout en les mêlant à des légendes et des récits inspirés, souvent peuplés de merveilleux : les saints en effet sont réputés faire des miracles, ce qui a conduit le folkloriste Pierre Saintyves à considérer que les récits hagiographiques mettent en scène des saints qui ne sont que les successeurs des dieux du paganisme. C'est pour cette raison qu'ils sont aujourd'hui utilisés comme des sources historiques importantes pour l'histoire de l'Antiquité tardive et du Moyen Âge, d'autant plus que la littérature hagiographique fournit parfois une part substantielle de la documentation écrite de l'époque, voire l'unique, à côté de la littérature épistolaire.
Et c'est bien là le problème ... vous éprouvez un besoin de vous prononcer avec ce que vous avez ... il semble que la capacité de sursoir à son jugement soit hélas supplanter par le besoin de réponses faussent-elles mauvaises.Aussi étrange que cela puisse paraître à votre esprit supérieur, oui, on fait avec les sources qu'on possède. Je reconnais que c'est une méthode bien peu orthodoxe. On ferait mieux de travailler avec ce que l'on n'a pas, c'est certain.
J'aimerais surtout qu'elle soit capable de prendre de la distance vis à vis de leur conclusions quand elle reposent sur des sables mouvantEt c'est sans doute ce qui vous fait bugger. Vous voudriez qu'une science "molle" ait le même degré de fiabilité qu'une science "dure".Psyricien a écrit :Je serais surement un piètre historien, car j'aime les savoirs fiables
Ce qui EST une conclusion ! Visiblement vous croyez que conclusion renvoie à une dichotomie 0/100% ... je me demande d'où viens ce délire.Psyricien a écrit :Mais j'imagine que le besoin d'arriver à une conclusion est trop fort.
Calomniez calomniez, il en restera toujours quelque chose.
J'ai écrit cent fois qu'on ne concluait pas mais qu'on évaluait la crédibilité des sources entre elles.
Si vous arrêtiez de jouer à celui qui a la plus grosse, peut-être apprendriez-vous deux trois choses sur un sujet que vous connaissez si mal et que vous maltraitez avec une arrogance crasse.
J'y ai pourtant répondu il y a un mois. Bref.Psyricien a écrit :Nuance ... j'ai posé une question simple, que vous n'arrivez pas identifier depuis un long moment maintenant.Babel a écrit :Il faut aimer sodomiser les diptères pour qu'une simple expression comme "Jésus historique" fasse ainsi surréagir.
Psyricien a écrit :je n'attaque pas les divinité vivantes que vous vénérez
C'était intéressant en tout cas, j'avais grosso modo les mêmes à priori que Psycho sur la question, mais j'envisage maintenant le truc comme un tamis, et il me semble que l'hypothèse d'un "Jésus historique" est plus parcimonieuse que celle de l'élaboration d'un mythe à partir de rien.Babel a écrit :je vais arrêter là nos échanges qui me lassent et qui ne doivent pas passionner d'éventuels lecteurs
Donc tu crois que l'existence de Jésus est démontrée. Merci, je suis du même avis.curieux » 15 févr. 2017, 14:09
Le pater de mon patron, un normand agriculteur, lui a appris comment procéder avec les animaux malfoutus dès la naissance : un grand coup de pelle puis jeté sur le tas de fumier, ça fait de l'engrais pas cher
L'huile de kolza est utilisée dans la recette du grand El Risotto.Azlok a écrit :C'est quoi Kolza moi je suis Jesous le prophète du grand El Risitas ...
La réalité n'est elle pas un rêve.curieux » 03 mars 2017, 05:21
Moi je pense que tu prends surtout tes rêves pour la réalité
Sans point d'interrogation je présume que ce n'est pas une question mais une affirmation.25 décembre a écrit :La réalité n'est elle pas un rêve.curieux » 03 mars 2017, 05:21
Moi je pense que tu prends surtout tes rêves pour la réalité
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