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Message
par sami83g » 19 nov. 2021, 16:33
Bonjour,
Qu'est-ce que les mystères de la torah, de la bible et du coran ? En fait, ces mystères sont des mensonges.
Les religieux mentent en disant que la croyance au divin est un besoin génétique.
Les religieux mentent en disant qu’il y aura une fin du monde.
Les religieux mentent en disant que nous possédons une âme éternelle.
Les religieux mentent en disant que la religion est le ciment de la société.
Les religieux mentent en disant que les livres sacrés parlent d’amour.
Les religieux mentent en disant que leur but est d’amener la paix sur terre.
Les religieux mentent ……….
Cette clarification à propos des mystères religieux ne vous surprendra certainement pas.
Des mystères existent dans tous les domaines culturels de la société.
Pour ne pas trop vous ennuyer avec ces évidences mystiques, je vous propose la suite de l’histoire de Vic, le fils de M. Timme. Ce sera le douzième chapitre de la saga de Mani Pue-Lation.
Petite récapitulation.
A) Le premier chapitre est présenté dans le sujet : « Pourquoi faire des holocaustes ??? » On y explique une méthode pour détruire la culture athée.
B) Le deuxième chapitre est présenté dans le sujet : « Le créationnisme et le féminisme ». On y réalise la facilité avec laquelle les féministes-religieuses valorisent les fausses victimes pour se donner de l’importance.
……..
j) Le dixième chapitre est présenté dans le sujet de « La création des dieux pour sauver son honneur ». Vic et Justi rencontrèrent un avocat pour dénoncer les abus psychiatriques et les complots religieux utilisant les psychotropes.
K) Le onzième chapitre est présenté dans le sujet de « Le coran et son histoire d’Adam et Ève ». Vic rencontra les parents de Justi. C’étaient des gens aimables et intelligents qui rejetaient la religion islamique, mais qui la pratiquaient pour éviter d’être harcelés par des fanatiques.
Résumé du chapitre précédent.
Vic et Justi passèrent leurs vacances à Paris. Vic, essentiellement un anti-catholique, découvrit que la religion islamiste reproduisait les mêmes atrocités religieuses qu’il avait vécues. Les parents de Justi lui expliquèrent que des fanatiques islamistes se cachent derrière des sentiments de bienveillance pour appliquer un prosélytisme politique, totalitaire et meurtrier, où les dogmes sont rois et maitres. Il fut surpris, aussi, de constater la comédie que les parents de Justi s’obligeaient à faire pour protéger l'intégrité de leur libre pensée.
On reprend l’histoire…
Une vie paisible attendait notre jeune couple au retour de leurs vacances à Paris. Justi continuait de prodiguer ses bons soins à la pharmacie et Vic renoua avec son petit boulot au journal du coin.
Depuis plus d'un an, ils s’exerçaient, avec plaisir, pour concevoir un poupon. Idéalement, ils désiraient procréer de petits héritiers. Malheureusement, Justi ne montrait aucun signe de grossesse et ils consultèrent un spécialiste pour identifier la source du problème.
Le passé douloureux rejoint Vic quand il apprit qu’il était stérile. Il se souvint des abus, de sa mère, de la psychiatre et du curé. Il s’imagina que son problème de stérilité provenait des psychotropes prescrits par la psychiatre ou des drogues fournies par des amis criminels. Justi, qui est pharmacienne, lui expliqua que l’ingestion sur une longue période de drogues ou de psychotropes ne cause pas nécessairement la stérilité chez le mâle, elle ne pouvait pas associer, de façon certaine, son état actuel avec la prise de substances psychotiques qu’on lui avait imposé.
Par contre, elle connaissait l’histoire de Vic et elle lui exprima un doute. Si une mère fait consommer des pilules anticonceptionnelles à son garçon pendant sa jeunesse, ce garçon peut devenir stérile à l’âge adulte. Cet acte criminel, un empoisonnement aux œstrogènes, est pernicieux et difficilement identifiable. Devant le drame de sa stérilité, Vic se dit en lui-même qu’il devra, un jour, vérifier cette hypothèse auprès de sa mère, puisqu’il sait que cette dernière n’hésitait pas à tricher.
Vic et Justi entreprirent des démarches d'adoption. Ce long processus exigeait du temps. Les services sociaux s’assuraient de la fiabilité et de la solvabilité des parents. Leur projet parental avançait rondement et le couple planifiait d’accueillir un enfant dans la prochaine année.
Jusqu’à ce qu’un évènement perturbe la vie paisible du couple.
Il y a quatre ans, Vic et Justi avaient contacté un avocat pour se plaindre d’une secte religieuse qui distribuait des psychotropes à leurs fidèles dans un but de manipulation spirituelle pour convertir des recrues. Ils avaient expliqué qu’un prêtre, Salchi Hein, avait essayé d'embobiner Vic. Cette plainte s’avéra inutile, mais elle s’était rendue, étonnamment, aux oreilles des dirigeants de cette secte.
Le prêtre Salchi Hein voulait venger l’honneur de leur groupe cabalistique. Il a alors formulé, au journal qui employait Vic, une plainte d’agression sexuelle proclamant que Vic aurait abusé d’une de ses fidèles, demoiselle Vilénie.
Les administrateurs du journal reçurent la plainte de Salchi et ils refusèrent d’entendre la version de Vic qui prétendait que c’était un complot, un coup monté. Le journal remercia Vic et il en avisa les policiers dans la même journée. La carrière de recherchiste de Vic venait de s’éteindre. Il a quitté l’organisation du journal par ce bel après-midi, il a marché le long de la rivière, il réfléchissait à sa situation, il entrevoyait des conséquences.
Ensuite, Vic contacta un avocat pour se défendre devant la justice. L’accusation était grave et une enquête au niveau criminelle fut ouverte. Les procédures étaient interminables, et surtout, sa citoyenneté française n’était pas officialisée.
La plaignante avait rencontré Vic lors de la première séance du rituel de la secte. Elle prétendit que Vic l’avait invité à souper, le vendredi suivant, un 15 juin. Et c’est le soir même qu’il avait abusé de son innocence. Pendant le procès, le prêtre Salchi Hein, insistait sur le fait que Vic n’était pas français, mais canadien, et qu’il devra être expulsé du pays après son emprisonnement.
Vic avait effectivement rencontré la plaignante lors de la séance religieuse, mais il ne se souvenait pas de l’avoir invité au restaurant. Ces évènements se seraient produits il y a plus de quatre ans. Selon l’avocat, c’était la parole de Vic contre celle de la plaignante et la cause s’annonçait mal par suite des expériences de vie que son client trainait avec lui.
L’avocat fit une découverte inattendue pendant cette enquête! Vic apprit que son père, qui se préparait à quitter sa conjointe, Mani Pue-Lation (il y a de cela 18 ans), avait obtenu la citoyenneté française pour ses enfants. Vic possédait donc cette citoyenneté et il pouvait acquérir un passeport français en toute légalité. L’argument d’une immigration illégale soutenu par le prêtre revanchard tomba.
Les troubles continuaient malgré tout, la plaignante, demoiselle Vilénie, maintenait son témoignage et, évidemment, elle espérait recevoir des avantages financiers pour compenser les abus sexuels dont elle aurait été victime. Vic savait que l’agression n’avait jamais eu lieu, mais son avocat ignorait le moyen pour le disculper. Ce fut Justi, la conjointe de Vic, qui réussit à prouver l’innocence de son compagnon.
Un après-midi pluvieux, Justi était à la maison. Elle ne savait pas. Elle avait peut-être été trompée. Elle doutait. Pour chasser ces idées affligeantes, pour oublier sa malchance, elle se cherchait un livre burlesque et elle en ouvrit plusieurs. Elle en arriva à la collection d’Astérix. Vic conservait les factures parmi les pages de ses livres et Justi retrouva une facture manuscrite, vieille de quatre ans, datée d’un vendredi 15 juin, produite par une librairie à 30 km du lieu du prétendu méfait. Ce fut un soulagement qui lui tira des larmes.
Cette preuve inattendue libéra Vic de toutes poursuites judiciaires et le dossier fut clos.
Malgré la preuve que ces accusations perverses venaient d’un complot, le juge imposa à Vic de signer un document légal qui l’empêchait de poursuivre légalement la plaignante et le prêtre pour demander réparation. Vic signa cette aberrante exigence judiciaire. De toute façon, il considérait que toutes ces procédures lui avaient empoisonné la vie et qu’il devait passer à autre chose.
Cette mauvaise aventure nuisit au couple d’une manière imprévue. La préposée au service de l’adoption avait appris les déboires de Vic et de Justi. Le couple reçut un avis les informant que leur demande d’adoption était refusée. Ce fut un choc émotionnel terrible que de constater que des gens en autorité se fient à des bobards, à des complots et à de fausses rumeurs pour porter des jugements erronés et prendre des décisions ingrates.
Vic se donna quelques mois de repos avant d’entreprendre la recherche d’un nouvel emploi. Justi acceptait avec sagesse les souffrances de ce monde injuste et ces aléas indésirables. Elle tirait sa force dans l'amour, dans la présence et dans la tendresse de son compagnon.
Le bonheur n'avait pas perdu sa place dans le couple.
Un jour, il reçut le courriel d’une cousine qui lui annonçait que son grand-père, M. Pue-Lation, était décédé et qu’il y aurait un service religieux à la Cathédrale Saint-Michel de Toronto, en l’honneur de ce grand donateur.
Vic avisa Justi que son grand-père était un ancien criminel, un HellsAngels, et que cela l’afflige de savoir qu’il sera somptueusement honoré par six évêques catholiques. Justi convainquit Vic de se rendre au Canada pour les obsèques, malgré tout. Il n’avait pas parlé à sa mère depuis plus de six ans.
Le couple était honnête et intègre, il voulait vivre sereinement.
….. À suivre ……
Qu’en pensez-vous ?
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Leurs religions sont des mélanges de légendes, de superstitions et de fictions tribales.
Leurs histoires émanent de l’antiquité, valorisant la xénophobie, le racisme et la guerre.
Leurs morales louangent; menaces, mensonges, manipulations, mégalomanies, misogynies.