Kraepelin a écrit : Je résume ma position ici. En une phrase ça dirait: Les recherches sur l'homoparentalité sont toutes de mauvaise qualité et ne permettent pas de conclure grand-chose.
Il y a plein de facon de faire bien pire qu'un échantillon non aléatoire. On ne peut pas juger de ce qui est le plus ou moins mauvais sur ce seul critère. Le plus important est que les conclusions ne dépassent pas ce que les résultats (et donc la methode) disent.Kraepelin a écrit :Peut-être est-ce parce que je présente comme "moins mauvaises" les recherches reposant sur des échantillons aléatoires (parce que je trouve que ces recherches ont une plus grande chance d'être fiables)
Ici(inutile de me rappeler que ca vient d'un militant LGBT).Kraepelin a écrit :Vraiment? Ça m'a échappé. Où as tu découvert ça?spin-up a écrit :Oui, voilà. Il n'y avait pas grand chose a sauver la dedans, n'est ce pas pas? Le sujets du groupe "homoparental" n'ayant en réalité pas été elevés par des parents de meme sexe.
Le critere retenu par Sullins pour definir le groupe homoparental n'est pas valide puisqu'avoir un parent qui a eu un partenaire de meme sexe n'est pas du tout la meme chose qu'avoir été élevé par un couple de même sexe. Par ailleurs, la selection est biaisée d'emblée par le fait que les 20 sujets du groupe soi-disant homoparental, viennent de foyers moins stables (du fait du critère utilisé).
Alors on a beau jeu de critiquer la sélection de convenance quand la sélection opérée ici et vantée comme aléatoire:
-donne un échantillon vraiment très restreint (pas une faute, mais une faiblesse statistique intrinsèque)
-applique un critère qui ne permet pas de sélectionner des enfants élevés par un couple de meme sexe (un comble !)
-biaise de facon enorme les resultats issus de l'echantillon soi disant homoparental