MaisBienSur a écrit :
J'avoue qu'une étude qui ne prends en compte QUE les témoignages allant dans leur sens ne rentre pas dans mon cadre de pensée.
Ah bon? Il n'y a qu'une seule personne dans l'échantillon? C'est vous qui dites n'importe quoi et qui triez les infos pour leur faire dire ce que vous voulez. Vous êtes bien placé semble t-il, pour savoir qu'en science, un seul contre exemple peut faire s'effondrer une théorie. Donc 1 cas sur 100, même sur 1000 ou 100000, vaut le coup qu'on s'arrête pour se questionner.
QUE selon ces fameux témoignages bien choisis et triés.
Vous voulez qu'on interroge qui d'autre? Un cheval en pleine forme? Ou peut être que c'est le mot "témoignage" qui vous fait peur? Allez, à la poubelle les études psychologiques ou sociologiques!
Faux
On a déjà évoqué ici certaines drogues qui produisent le même effet.
Aaaah oui? Qui soit parfaitement corrélé au cas dont on parle? Rafraîchissez moi la mémoire... Précisément quel effet dites moi? Et avec quelles drogues?
thewild a écrit :Le protocole ne doit pas avoir de faille. C'est vrai en général, mais plus particulièrement sur des sujets aussi sensibles.
Je ne vois pas ce qu'il y a de choquant dans le fait de le scruter, c'est au contraire tout à fait normal.
Ben écoutez ça tombe très bien : on est d'accord!
Il semble en revanche que vous aussi soyez victime de biais de sélection en ne lisant que la moitié de mon message ou que vous ne teniez pas compte du contexte dans lequel il est écrit, et ce à quoi il répond. Voir même que vous ne compreniez pas le second degré. Je précise donc ma pensée : trouvez moi dans le protocole ce qui stipule que les médecins ne confirment les témoignages que par empathie.
En étudiant sérieusement la question, peut-être ?
Ça tombe très bien : il y a l'étude AWARE, maintenant AWARE 2, ou encore l'étude de Sylvie Déthiollaz et Claude-Charles Fourrier de l'ISSNOE qui s'y coltinent...
En émettant des hypothèses réfutables qui expliqueraient les faits observés et en les soumettant à l'épreuve de l'expérimentation.
En appliquant la méthode scientifique donc.
Allez, puisque personne n'ose le faire, je me lance :
la conscience pourrait être en partie indépendante du cerveau. Voilà précisément une hypothèse réfutable (c'est pas vous qui direz le contraire), qui explique les faits observés, et qui est justement soumise à l'épreuve de l'expérimentation.
Il est important de s'en tenir aux faits : je ne vois pas ce que la DMT vient faire ici ni en quoi ces perceptions seraient des prouesses.
Ah c'est sur que visualiser une scène entière avec des perceptions accrues et un niveau de conscience aiguisé, sur la base d'une hypothétique reconstruction de souvenirs fugaces, avec un cerveau en rade, c'est absolument commun...
