Cogite Stibon a écrit :Etienne Beauman a écrit :Au contraire, il faut lui demander des sources encore et toujours, lui demander de s'expliquer, lui renvoyer les sophismes qu'il utilise.
Comme avec tout le monde, d'ailleurs.
Oui, bien sûr.
Je voulais insister sur le fait que quand quelqu'un dit une connerie, on ne va pas trop hésité en général à intervenir.
Mais quand la même connerie est dite avec les formes par quelqu'un qui semble maitrisé son sujet bien mieux que nous on peut hésiter.
Emanuelle a écrit :Mais cela n'a aucun effet si les deux sont d'accord pour passer outre.
Si la loi est mal faite il faut changer la loi.
Ils y a même un certain pourcentage de cas où la victime, traumatisée par la violence de ses propres parents, cherche inconsciemment à reproduire la scène traumatique avec son propre conjoint.
Quel pourcentage ?
Pour au moins un cas je suis sûr que la femme n'était pas traumatisé par la violence de ses propres parents, pour un autre je pense que c'est fort peu probable, pour un troisième c'est possible je ne connais pas du tout l'histoire de sa jeunesse.
En revanche pour deux d'entre elles je sais qu'elles ont eu plusieurs partenaires, certains les battaient d'autre non, il y en a même un que je soupçonne d'avoir été battue par une des femmes...
Elle semble alors "provoquer" un conflit qui fait surgir la violence situationnelle.
Pragmatiquement j'associe plus probablement ce comportement au fait qu'elles ont été battues pendant des année plutôt qu'à une hypothétique source parentale.
Je ne pense pas qu'elle avaient ce comportement quand elles étaient jeunes.
Par définition, les mécanismes traumatiques dont parle K sont inconscients.
Et comment on modifie un mécanisme traumatique antérieure inconscient ?
Ce sont bien des comportements susceptibles d'influencer le conjoint qu'il faudrait modifier, n'est ce pas ?
Si c'est possible de le faire maintenant, pourquoi cela n'aurait pas pu être fait avant ?