A part que la baisse de fertilité ne tue pas. Hors ce qui est reproché au glyphosate, en premier lieux, c'est d'être dangereux pour la santé.Uno a écrit :Ce sujet n'a aucun rapport et cela d'autant plus que l'explosion de la population mondiale est aujourd'hui le fait de pays pauvres, notamment sur le continent Africain, en raison de misères et contraintes sociales aidés par le manque d'éducation. Ce n'est pas pour autant que qu'il serait positif de souhaiter ou encourage la diffusion la perturbateurs endocriniens via l'usage de pesticides dans ces pays en vue de baisser la fertilité, ce serait même dégueulasse, car la question des perturbateurs endocriniens est une question de santé public, notamment le fait que des gens pourraient avoir une fertilité réduite et ne pas pouvoir avoir d'enfants où parfois plus grave avoir des malformations des organes génitaux, bref c'est un problème de santé public, au même titre que toute maladie générer par la pollution.
Et bien sur que ca serait dégelasse d'autoriser de produire des PE pour des raisons de contrôle de la population.
Pour les problème de mal formation des organes génitaux, c'est plus dans le sujet effectivement.
Qu'il n'y aurait plus de pesticides, ce phénomène existerait toujours. Le phénomène est d'ailleurs partiellement causé par les apiculteurs eux-mêmes ou par des raisons chimique bien plus...darwinienne (même si peut l'avouerons ni même ne s'informent réellement en ce sens).Certes mais l'influence du Glyphosate comme celles d'autres pesticides et insecticides utilisés dans l'agriculture demeure controversés et ce n'est pas que la santé humaine qui est menacée, pensons à la chute des populations d'abeilles.
C'est asses marrant de te voir parler de ca, puisqu'on me reproche de ne pas être trop objectif sur la question (que j'ai plusieurs fois abordée ici), étant donné que mon père est apiculteur et que c'est une activité que je pratique l'été

Je suis plutôt pour la lutte contre les pesticides, et le développement de nouvelles substances et/ou techniques de productions.
Sauf que je suis aussi plutôt contre la diabolisation d'un produit qui semble t'il n'est pas le nouveau vilain méchant de la nature (comme à pu l'être les histoires de la classification de la viande rouge/cuite à l'époque ou les etudes on re-démontrées sans doute possible que sa consommation n'était pas sans risques avant que le scandale ne s'endorme et soit remplacé par d'autres).
Mais j'y revient juste après.
Evidement, et c'est pour ca que la recherche et le débat doit subsister (on parle pas de la terre plate laEn fait si certains balancent des théories complotistes tirées par les cheveux, cela ne veut pas dire que les inquiétudes et ne sont pas légitimes et n'ont aucune base scientifiques

Mon but n'est pas de protéger le glyphosate, tu t'en doute, bien mais de faire en sorte que si on le dégage ou l'accepte encore 20 ans, c'est pas à coups de biais d'experimentation sur fond de scandale idéologico-économique (peut importe si c'est le pour ou le contre qui l'emporte).
Je ne peut que plussoyer cela.La question des produits chimiques qui finissent dans nos assiettes et dont nous bouffons un cocktail sur la durée d'une vie
Mais je ne suis pas au courant d'etudes actuelles au long terme, amha, il doit exister des etudes en cours. Voir des finies. Non ?
Oui c'est toxique, potentiellement/probablement, comme tout un tas de trucs qui nous entours. Ce que je dit, c'est juste : à quel point bouffer du glyphosate toute une vie est plus dangereux que de bouffé du suja et boire de la bière toute une vie ?que nous avons quand même déjà un plus d'une piste, c'est-à-dire bien plus qu'une étude scientifique, pointant vers la nocivité de ces produits et sur l'effet cocktail.
Effectivement, c'est tout à fait le cœur du problème.Déjà je crois que la bière n'est pas recommandé en période de grossesse, mais encore une fois c'est le cocktail inédit de substances auxquels nous sommes exposés aujourd'hui qui pose question car de fait on ignore les effets, mais on constate aujourd'hui
+1Et c'est même pour cela que je suis favorable aux OGM, car ils pourraient générer des plantes qui seraient plus résistantes et nécessiteraient moins de traitements en pesticides et herbicides en tout genre sans altérer la productivité.
Je suis d'accord, comme déjà expliqué. Mais en l'état, la consommation de denrées par une population aussi nombreuse que sur terre (et qui n'a pas envie de bouffer qu'une fois par jour) ne permet pas un "retour" au tout bio, qui lui aussi à des defaults majeurs. Notamment celui de ne pas faire l'affaire des agriculteurs eux-même.Mais le modèle de culture OGM consistant à créer une plante résistante au glyphosate pour en asperger massivement les champs en éliminant ainsi que les mauvaises herbes est un modèle aberrant contraire à ce que l'on devrait viser compte tenu des risques.
Demande même à un apiculteur...(fait gaffe quand même, ils sont pas tous très objectif

Si un jour t'en voit un, dit lui de traiter "naturellement" toutes ses ruches contre le varroa. Sans chimie de synthèse.
Il va dire qu'il est d'accord, mais va t'il le faire ? Surveille le bien...
Le mec qui à 30 ruches et qui se fait sont petit billet. Oui. Mais le pro qui, pour se sortir un peut plus que le smic par mois, doit en posséder + de 300 et va en perdre 30 et n'aura pas de productivité sur les 50 autres ? (si la météo va bien...) Il va faire quoi ? Malgré sont amour pour la nature ?
Même mon père qui passe sont temps à chier contre Monsanto sur Facebook ne veut pas physiquement et techniquement s'employer à un traitement manuel et naturel du varroa (il à - de 50 ruches). Et peut des apiculteurs pro qu'il fréquente font différemment de lui.
Pourtant croit moi, les apiculteurs n'aiment pas les pesticides...
C'est un peut comme ces apiculteurs qui tuent les frelons asiatiques mais relâchent les européen, parce que c'est recommandé...bcp disent le faire, peut le font. Moi, je les bute tous perso. Parceque tu sais quoi ? Je suis payer pour faire du miel. Et le frelon, je veut le protéger dans le fond, mais me payer mes vacance je suis prêt à en tuer.
Et ca, c'est le problème. Qui parmi tout les soit disant amis de la nature sont VRAIMENT les amis de la nature ?
Nicolas Hulo ? Avec son hélicoptère, ses ULM et ses vol en Mig-31, en Mig-29 et en Mirage 2000 ?
Perso j'adore l'aviation (notamment militaire...celle qui pollue et fait un bruit du tonnerre)...alors je lui en veut pas d'être un humain normal. Cad, avec des valeurs un peut difficile à suivre dans un monde moderne qui s'ouvre sur la technologie.
Au bout d'un moment faut accepter les choses. L'humain pollue; peut importe ce qu'il fait. Même si il était un bioman biologique.
Ca ne veut pas dire qu'il ne faille pas chercher des techniques et des substances de remplacement contre le glyphosate, au contraire !
Ca veut juste dire qu'il faut le faire bien. Et avec ce qui se passe, le doute est permis sur la décision qui sera prise.
Qu'elle soit bonne ou non, il semble qu'elle est bien partie pour ne pas être tout à fait rationnelle.
Alors on fait quoi ? Il faudra des années d'etudes et de débats, mais prendre une décision avant ? Espérons qu'on tire le bon lot...
Pour le moment (de la semaine), la commission Européenne semble prendre une décision pragmatique ( http://www.lemonde.fr/planete/article/2 ... _3244.html ), mais quid du traitement de l'information et des différents lobby qui vont pousser à une décision d'on la débilité ou le génie ne sera vue qu'a posteriori.
Oula ! Je dit pas que c'est pas légitime.Le tapage médiatique est liée aux incertitudes dans un contexte plus vaste d'inquiétudes ma fois légitimes.
Moi même ca m'intéresse, et en tant qu'apiculteur du dimanche, j'aimerait bien éviter le plus possible les trucs qui flingue le gagne pain de mon papa à moi.
Mais voit tu, je pense qu'on en fait bcp concernant le glyphosate, et que cela empêche pas mal au débat publique de se passer dans une ambiance rationnelle. C'est tout aussi légitime à mon gout de vouloir relativiser cela.
Si tu regarde mes interventions sur le sujet, j'applique ce relativisme "calme ta joie" à ceux qui défendent le glyphosate aussi.
Tout simplement parce que je pense que c'est la meilleur chose à faire pour le moment, en tout cas si on à envie de se faire une idée du problème mais qu'on à pas (comme moi) un master de chimie, de biologie, de médecine, d'écologie, et d'autres trucs qui finissent en "ie".