ti-poil a écrit :Au moins eux ne font pas des ravages mortels comparé aux professionels de la médecine "légale", fier associés des multinationales pharmaceutiques qui au bas mots controlent 42% du budjet du pays.
Ce couplet-réflexe anti-médecine a été permis grâce à l'habituelle vide insondable dans la boîte crânienne de ti-poil.
Il n'a jamais réfléchi que les
alternotérapeuthes aimeraient bien, eux aussi, avoir une énôrme part de marché. Ils ne fonctionnent pas tous sur la seule envie d'aider leur prochains. Ils réussissent quand même pas mal, si on pense au peu (rien, souvent) d'investissement en recherche que nécessitent leurs prétentions. Le rapport gains/investissements est souvent positif.
Et, à cause de ce manque d'investissement en recherche, s'ils arrivaient à prendre une place prépondérante dans le marché de la médecine*, ils causeraient certainement encore plus de "ravages mortels" qu'il y en a actuellement.
Jean-François
* Ce qui n,est pas la même chose que la médecine elle-même.