25D a écrit :L'ontologie de base devrait comprendre celle de la physique classique, de la physique quantique et celle de l'immatériel.
L'ontologie de la physique c'est un sujet asses compliqué et peut discuté, car finalement peut utilisé.
La physique comme toutes les sciences se base sur un axiome qui est le matérialisme, et est donc est liée plus ou moins à une philosophie qui est l'actuel physicalisme. Le physicalisme rend compte des problèmes liés à la MQ (si tu veut), en introduisant des concepts qui dépasse le cadre de la matière (mais respectant l'axiome de base). C'est une philosophie/métaphysique "scientifique". La matière est une philosophie dans sont sens le plus complet (avec ce qu'elle implique d'ontologie, liée aux besoins humains de décrire et de parler de, allant même jusque l'essentialisme). L'essentialisme en épistémo n'est la que par un besoin d'explication, on cherche la nature des choses pour comprendre et expliquer la matière. Mais c'est de la description. En vrai, la matière n'est pas ce qu'on décrit. Elle nul ne sais si elle à une nature indépendante de notre façon de la voir. Et quel sens donner ? Le
but échappe à tout les domaines de la connaissance.
Ce que je te demande, c'est en quoi tu crois ? Pas de me lancer dans les concepts de philo en science.
Croit tu que la philosophie en science répond à ces questions existentielles et y donne des réponses sures ? Ou aide simplement à trouver des outils descriptifs ? Qui eux, sont liée à l'observation, et à l'experience ?
Si tu pense que c'est la deuxième idée, alors avant d'introduire Dieu , l'âme et l'immatériel il faudrait parvenir à construire une philosophie capable de produire des connaissances dans un domaine transcendant et capable d'observer et d'interagir avec le tout.
Ou alors : un domaine intuitif, ou la connaissance s'impose par une induction fulgurante, certaine. Capable de produire de l'objectif avec du subjectif.
Un tel système, si il est possible, n'est pas, à ma connaissance, transmissible.
Si on peut douter de l'efficacité des différents courants épistémologique en science, imagine avec un tel système...
Comme nous redécouvrons l'existence de l'immatériel et que cet immatériel n'est en rien de nature religieuse, et que de ce fait nous changeons de paradigme nous pouvons dire aussi que nous en avons changé son ontologie.
Nous redécouvrons rien du tout. L'immatériel existe, ce sont les forces, l'énergie ou les concepts.
Par exemple la force centrifuge.
L'immatériel d'on tu parle toi : l'âme et Dieu, introduisent des notions
spiritualistes, d'on l'ontologie ne sert pas à décrire le réel mais à trouver à quoi servirait tout, ya t'il autre chose que la matière ? La matière est t'elle un support à quelque chose capable de s'en émanciper...qu'elle serait sont but ? ou à t'elle une essence qui la transcende ? ya t'il un échappatoire pour les systèmes émergents de la matière après la vie ? etc.
Il nous reste à continuer l'étude de l'immatériel pour pouvoir mieux le définir.
Pour le moment, l'etude de l'immatériel ce limite aux
concepts d'on j'ai parlé, qui pour certains décrivent très bien le réel, les forces ne sont pas que conceptuelles, elles nous touchent directement (d'où les questionnements essentialistes/ontologique parfois en philosophie des sciences). Mais tout cela reste dépendant du physicalisme... Même si certaines idées ou certaines motivations à en savoir plus peuvent trouver des sources en dehors du physicalisme.
Aussi, la nature de tout ces concepts est d'origine purement humaine. L'ontologie, quoi que pratique, échoue autant que la science à donner un sens ou une essence primordiale à quoi que soit. En science, elle ne sert qu'a trouver un moyen de remettre en question certaines description mais de devrait pas laisser penser que l'objet est cette description.
Elle est un outil qui à trouver un intérêt en physique quantique, peut-être chez quelques scientifiques, afin de répondre à une détresse descriptive de la réalité.
En rien tout ceci n'introduit Dieu, l'âme ou l'immatériel selon des notions
transcendantales capable de dépasser le naturalisme scientifique.
Je te demande donc, d'une autre façon, qu'entend tu par "immatériel" ?
- Une (des) forme (de) transcendance de la matière ?
- Des concepts décrivant des interactions immatérielles mais jaillissant de manière dépendante de la matière ?
Et si possible, pas selon "Khun" ou "Michel". Mais selon toi.
Moi je tes déjà dit.
Je ne croit pas à l'immatériel, j'y adhère.
Quand à l'immatériel transcendant, ou à l'idée que l'essence est porteuse de l'objet, je ne sais pas (et je ne serait pas demain amha)