On t'a déjà dit que cette façon de faire était insupportable.richard a écrit : 16 nov. 2017, 10:07On va procéder étape par étape
[...]
Est-ce que tout le monde est-il d’accord jusque là?
Va au bout du raisonnement.
On t'a déjà dit que cette façon de faire était insupportable.richard a écrit : 16 nov. 2017, 10:07On va procéder étape par étape
[...]
Est-ce que tout le monde est-il d’accord jusque là?
Moi oui.richard a écrit : 16 nov. 2017, 10:07Le temps de visionnage du film a duré T°1 = t4 - t3 tel que T°1 = T°.
Il s’agit en fait de l’invariance d’une durée propre dans le temps (invariance du temps par déplacement dans le temps).
Est-ce que tout le monde est-il d’accord jusque là?
Je ne suis pas impatient, je suis exaspéré. Pas besoin d'y aller piano, va droit au but.richard a écrit : 16 nov. 2017, 11:00Je comprends ton impatience thewild, mais tu sais bien «qui va piano, va sano».
Un autre cosmonaute, monsieur A’, visionne également ce film* dans sa fusée R’, soit entre les événements z’1= (M’,t’1) et z’2=(M’,t’2). Le temps qu’il met à regarder ce film est donc égal à T’°= t’2-t’1. Cette durée est évidemment égale à celle que le cosmonaute A à mis pour regarder ce même film dans sa fusée: T’°= T°.richard a écrit : 16 nov. 2017, 10:07Un cosmonaute, monsieur A, commence à regarder dans sa fusée un film à l’instant t1 (événement z1= z1(M,t1)) et finit de le le regarder à l’instant t2 (événement z2=z2(M,t2)). Pour lui le visionnage de ce film aura duré T°= t2 - t1.
Quelques semaines plus tard il regarde à nouveau ce film qu’il aime bien, entre t3 et t4 ( événements z3 = (M,t3),
z4=(M,t4) respectivement).
Le temps de visionnage du film a duré T°1 = t4 - t3 tel que T°1 = T°.
Il s’agit en fait de l’invariance d’une durée propre dans le temps (invariance du temps par déplacement dans le temps).
richard a écrit : 16 nov. 2017, 14:43 * On admettra que la communication est instantanée ou que la durée de la transmission est la même dans les deux cas.
Est-ce que l'on peut considérer que c'est un bon film et qu'aucun des Kosmonautes ne se soit endormis ?richard a écrit : 16 nov. 2017, 15:02 Inversement, si pour A’ son visionnage du film commence à t’1 et finit à t’2, vu de A il commence à t5 et se termine à t6, soit une durée T = t6 - t5 telle que T = gamma T’°.
Stop ! Tu t'es déjà planté à l'étape d'avant.richard a écrit : 16 nov. 2017, 15:02 Inversement, si pour A’ son visionnage du film commence à t’1 et finit à t’2, vu de A il commence à t5 et se termine à t6, soit une durée T = t6 - t5 telle que T = gamma T’°.
La durée de communication n'est instantanée que si la vitesse de la lumière est infinie, ce qui n'est pas le cas en RR.richard a écrit : 16 nov. 2017, 14:43 A et A’ ont convenu de se signaler quand ils commencent et finissent de regarder leur film. Monsieur A téléphone donc à A’ au début et à la fin du visionnage de son film*. A’ enregistre ces événements, soit z’3= (M’, t’3) et z’4 = (M’, t’4). La différence de temps entre ces deux événements est donc égale à T’= t’4- t’3 qui, d’après la RR, est telle que T’ = gamma T°.
* On admettra que la communication est instantanée ou que la durée de la transmission est la même dans les deux cas.
C'est la conclusion ?richard a écrit : 16 nov. 2017, 16:35 En résumé, la durée propre de visionnage d’un film ne varie pas ni au cours du temps: T°1= T° (1a), ni avec la vitesse: T’°= T° (1b). Les temps impropres (mesurés depuis un autre référentiel que celui où il est projeté) sont fonction de la vitesse relative: T = gamma T’° (2a), T’ = gamma T° (2b).
Il est donc clair que les durées de visionnage impropres T et T’ sont égales: T’ = T (3).
Richard, pour que tu puisses écrire ça il faudrait que tes deux voyageurs soient dans le même référentiel, même norme même direction, comme ce n'est pas le cas dans ton exemple ton affirmation est fausse.richard a écrit : 16 nov. 2017, 13:04 Cette durée est évidemment égale à celle que le cosmonaute A à mis pour regarder ce même film dans sa fusée: T’°= T°.
Fait gaffe, richard doit être contagieux, tu voulais surement écrire que gamma vaut 1.Cogite Stibon a écrit : 16 nov. 2017, 17:23 Sauf que tu as introduis des hypothèses non relativistes qui font que gamma vaut 0.
Tu nous dis quand c'est fini ?richard a écrit : 16 nov. 2017, 17:31 Le cosmonaute A revient sur Terre et quelque temps plus tard regarde à nouveau ce film avec sa petite famille. Le début du visionnage est l’événement z7 = (N, t7) et la fin l’événement z8 = (N, t8). Le visionnage du film aura donc duré
T°2= t8-t7, tel que T°2= T°.
Oups !unptitgab a écrit : 16 nov. 2017, 18:26Fait gaffe, richard doit être contagieux, tu voulais surement écrire que gamma vaut 1.Cogite Stibon a écrit : 16 nov. 2017, 17:23 Sauf que tu as introduis des hypothèses non relativistes qui font que gamma vaut 0.
On n'est pas sorti de l'auberge, jusqu'à maintenant il n'a fait que planter le décor pour montrer que les temps propres ne dépendent pas de leurs vitesse relatives. Ce qu'on sait depuis belle lurette.
C'est déjà fait.
Si on multiplie la vitesse de visionnage et la vitesse de l'horloge par un facteur gamma c'est clair que la durée de visionnage sera toujours la même.richard a écrit : 16 nov. 2017, 16:35 En résumé, la durée propre de visionnage d’un film ne varie pas ni au cours du temps: T°1= T° (1a), ni avec la vitesse: T’°= T° (1b). Les temps impropres (mesurés depuis un autre référentiel que celui où il est projeté) sont fonction de la vitesse relative: T = gamma T’° (2a), T’ = gamma T° (2b).
Il est donc clair que les durées de visionnage impropres T et T’ sont égales: T’ = T (3).
Autrement dit on compare deux durées qui ont été mesurées chacune avec leur horloge propre. Le problème c'est lorsque gamma est différent de 1. Dans ce cas il y a une horloge qui tourne plus vite que l'autre ...Cette durée est évidemment égale à celle que le cosmonaute A à mis pour regarder ce même film dans sa fusée: T’°= T°.
C'est tout à fait ça. une autre image, c'est de considérer un mètre gradué en 100 cm sur un ruban possédant une certaine élasticité. Si je tire dessus, comme il est élastique, il s'allonge...Raphaël a écrit : 17 nov. 2017, 02:11Autrement dit on compare deux durées qui ont été mesurées chacune avec leur horloge propre. Le problème c'est lorsque gamma est différent de 1. Dans ce cas il y a une horloge qui tourne plus vite que l'autre ...
Le convaincre de quoi ?richard a écrit : 16 nov. 2017, 21:02Salut curieux! Si tu pouvais convaincre unptitgab ce serait sympa; il dit que c’est faux.
Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur inscrit