Heuuu, on peut être logique est "fou" non ?

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C'est pourquoi il existe des pathologies différentes il me semble, de plus, la notion de folie est discutable en psycho. On parle plus volontiers de souffrances ou de lacunes.
Heu sinon je sais pas trop, mais une personne souffrant d'illogisme n'est pas nécessairement fou dans le sens clinique ?
* Les animaux souffrent, comme nous.
L'humain fait du mal aux animaux.
Les animaux ne valent pas plus que les humains ontologiquement.
Les mangeurs d'animaux tuent des milliers d’animaux.
Donc je vais emprisonner (ou tuer) toutes personnes n’étant pas végétarienne sur toute la planète.
Logique (justifié même), mais fou
D'après Michèle Assante et Odile Plaisant, je suis sociopathe potentiellement par exemple, comme nous tous

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https://fr.wiktionary.org/wiki/sociopathe
En fait, quelle que soit la terminologie choisie, personnalité antisociale ou sociopathe (Anglo-saxons), psychopathe (Allemands), déséquilibrée (Français), se pose inéluctablement la question de la frontière entre le normal et le pathologique à l’égard de conduites se traduisant électivement par des actes délictueux ou non conformes aux prescriptions sociales.
Sauf pour la dernière partie, ou mes actes, je ne sais pas trop (normalement, je suis pas du tout délictueux, mais pas tjr très conforme hihi etc

)... je me pose souvent la question du normatif et de la notion de folie, ça oui, et j'ai régulièrement l'impression que la frontière est floue et que nos amis psychologue sont eux même un peut pommés avec ça, de leurs propre aveux...ce qui me vaudrait les foudres chez certains autres
Je blague évidement, puisque ne se pose pas cette question de normatif sans actes (mais quand le psy se la pose selon nos actes)...mais je voulais juste illustrer le manque de repères qu'on à dans le domaine et que, du coup, la logique ou l'illogisme doit effectivement entrer dans le diagnostique d'une maladie mentale, sans en être un éléments suffisant. La frontière flous appartiens au jugement du psychologue (qui est donc conscient de ce flou et du problème normatif), qui souvent à besoin d'un consensus pour ça.
(parcontre, je me dit que si Bronner est un adepte du libre arbitre, il doit surement se sentir rassuré de savoir que tout ca n'est qu'une question de volonté et donc qu'aucun terroriste n'est fou...ce qui reste tout aussi discutable que de penser qu'ils sont fous. Puisque la souffrance suffis souvent à expliquer des actes fous, sans besoin de diagnostiquer...voir la simple manipulation mentale. Ou juste, la haine. La peur. La connerie (l'illogisme qui va avec aussi), etc)