richard a écrit : 23 nov. 2017, 15:05 Les tenants de la RR ne sont pas (tous) des imbéciles, ils croient à ce qui est dit et reconnu par la communauté scientifique et c’est bien normal. Ils se moquent de mes prétentions, pensent que je comprends rien à la RR.
On ne le pense pas, on te l'as prouvé à de très nombreuses reprises en mettant les quelques lignes d'équation requises dans ce but et
soit tu as fini par reconnaitre ton erreur,
- en particulier concernant l'invariance de Lorentz de l'équation de propagation des ondes lumineuses et le non respect de l'invariance galiléenne par cette même équation
- en particulier aussi concernant le fait que la vitesse d'un son est invariante par rapport à la vitesse de sa source, mais pas invariante par changement de référentiel (il faut ajouter la vitesse de son milieu de propagation par rapport au référentiel d'observation ce qui n'est pas le cas pour la lumière et c'est pour cela que le son émis dans l'air ne peut pas rattraper un avion volant à vitesse supersonique)
soit tu t'es dépêché de répondre à un autre post posé au moment précis où tu étais coincé par la question posée, te donnant ainsi l'opportunité de ne pas répondre à cette question.
- ça a été le cas concernant le fait que l'invariance des longueurs, des durées et de la simultanéité (3 propriétés qui ont cours en relativité galiléenne) permettent (contrairement aux faits d'observation) la mesure de la vitesse absolue d'un observateur avec un Morley Michelson, sauf à remettre en cause le théorème de Pythagore.
- C'est toujours le cas concernant l'identification erronée
- de la durée propre T0 séparant les évènement z1 et z2 se produisant au même endroit (dans un référentiel inertiel R)
- avec la durée propre T séparant les évènements z1 et z3 se produisant aussi au même endroit (dans ce même référentiel)
- mais avec un évènement z3 simultané avec un évènement z'2 séparé de z1 par la durée T0 (comme z2) mais ne se produisant pas au même endroit que z1, z2 et z3 (dans R) donc non simultané avec z2, lui
Ce qui est incompréhensible, c'est que tu continues à redire les grosses bêtises que l'on t'as déjà signalées alors qu'on t'as expliqué en détail où se situaient tes erreurs.
Essayer de proposer une théorie pour prédire des faits d'observation n'ayant pas encore de théorie apte à la prédire,
voir même une théorie en mesure de prédire des phénomènes qui n'ont pas encore été observés, n'est pas en soi nécessairement stupide. Toutefois,
cela passe par une connaissance et une compréhension approfondie de tout ce qui a déjà été réalisé concernant la question à laquelle on s'intéresse.
Cela nécessite aussi de faire reposer la théorie en question sur des hypothèses déjà validées ou dont on peu apporter un début de justification en l'appuyant sur un principe physique que l'on prend la peine d'expliciter et de justifier (rien n'est pire que les hypothèse implicites dont tes posts sont truffés par manque de rigueur scientifique et de précision).
Tu n'as pas du tout compris ce qu'est une démarche scientifique.
Raphaël a écrit : 25 nov. 2017, 03:04richard a écrit : 24 nov. 2017, 11:57Non je vous prends pour des zozos qui croient en une théorie fausse.
Contrairement à une théorie fausse, une théorie vraie peut servir à faire des prédictions vérifiables. Qu'en est-il de la tienne ?
La question ne se pose pas. Il n'a pas de théorie fausse (et encore moins de théorie juste). Il ne peut pas avoir écrit quoi que ce soit ressemblant même vaguement à une théorie scientifique (juste ou fausse, c'est à dire émettant des prédictions réfutables) au vu des nombreuses
Âneries que
richard écrit à longueur de post.
Avant de pouvoir s'intéresser à ce qu'il écrit, il faudrait d'abord que richard comprenne et corrige les nombreuses erreurs basiques qu'il commet (et réitère) dans ses posts. Le pousser à présenter sa théorie ou à en parler, ce n'est pas lui rendre service. C'est l'aider à s'embourber encore un peu plus dans ses erreurs. C'est comme si on demandait à un décorateur d'intérieur de mettre en place toute la décoration d'un appartement situé au 6ème étage dans la boue et les gravats d'un chantier de construction en cours de réalisation du rez de chaussée (les plans du gros œuvre ayant été réalisés par Numerobis, et ce, sans l'aide de Panoramix).
Wooden Ali a écrit : 24 nov. 2017, 09:39J'ai l'impression que le rejet de la RR par richard tient au fait qu'il n'admet pas, contrairement à l'évidence de nombreux faits, qu'il existe une vitesse limite. Cela dépasse son intuition, donc c'est faux.
En fait, ce qu'il n'admet pas, c'est ce qui a posé problème il y a plus d'un siècle : admettre que simultanéité, mesures de durées et mesures de longueurs ne sont pas absolues mais relatives à une classe d'observateurs (au repos dans un même référentiel inertiel).
Un problème similaire (pire en fait) se pose en physique quantique ou (au plan des principes physiques) une mesure peut avoir été terminée et avoir donné un résultat déterminé pour un observateur O, alors que, au contraire, pour un autre observateur P, les deux résultats de mesure distincts continuent à coexister, et ce pour "un" observateur O
dans un état superposé lui aussi puisqu'il observe (sans le savoir) deux résultats de mesure distincts.
L'état quantique, que nous avons tendance à interpréter comme la description objective d'un objet observé indépendamment de toute considération d'observateur semble donc pouvoir, au mieux, décrire, en fait, la (connaissance de la) relation entre l'objet observé et
un observateur (cf le
collège de physique et de philosophie du 16 janvier 2012 avec Smerlak, D'espagnat, Bitboll, Rovelli, Balian, Grinbaum pour ne citer que les noms les plus connus) .
Cette perte d'objectivité de la description du monde a commencé avec la relativité. Elle s'est poursuivie et amplifiée avec la physique quantique avec le problème de la mesure quantique. Elle nous pose problème parce qu'elle entre en conflit avec notre culture scientifique héritée des siècles passés (culture scientifique qui, pourtant, avait largement fait ses preuves. Je veux évoquer plus précisément la partie de notre culture scientifique implicitement contenue dans la physique classique).
On peut comprendre un certain scepticisme à l'égard de ces idées "nouvelles" et tenter de se raccrocher à des interprétations moins dérangeantes (et intéressantes, pourquoi pas, si elles peuvent conduire à des prédictions testables distinctes des prédictions issues d'une présentation standard. C'est le cas, par exemple, pour le
formalisme quantique à deux vecteurs d'état).
Le problème de richard n'est pas le fait qu'il soit perturbé par ces idées nouvelles. Tout le monde l'est ou l'a été à un moment ou à un autre. Le problème est qu'il ne sait pas lire trois lignes d'équation dès lors qu'elles le contraignent à changer d'avis. Il est à la fois victime d'une très forte envie de croire en l'existence d'un espace-temps absolu (ce qui, en soi, n'est pas si grave) mais le problème c'est qu'il s'enfonce dans de nombreuses erreurs, dans le déni de ces erreurs et fuit devant les questions remettant en cause son crédo quand il ne trouve pas d'autre solution pour atteindre son but.
C'est d'autant plus amusant qu'il existe des approches scientifiquement correctes pour aller dans cette direction (sans que l'on soit pour autant obligé d'adhérer à la position de leurs auteurs) comme par exemple les travaux de Mayeul Arminjon (
gravitation as a pressure force : a scalar ether theory) (1). Richard a probablement vaguement survolé les travaux de Mayeul Arminjon de façon très superficielle par manque de compétence...
...Mais dans ce cas, pourquoi s'efforcer de faire mal ce que d'autres font très bien avant d'avoir bien compris leur travail.
Ce qui me gène beaucoup dans les messages de richard, ce n'est pas son incompétence (tout le monde est incompétent à des degrés divers sur un sujet ou sur un autre),
c'est sa fuite devant les questions quand elles lui montrent ses erreurs en quelques lignes alors qu'elles demandent un effort minime pour être lues et comprises (même à son niveau) et qu'il recommence 3 posts plus loin à redire les bêtises qu'on lui a déjà signalées et explicitée à plusieurs reprises.
Je m'efforce de rester patient à son égard dans mes questions et réponses mais, à la longue, son attitude de déni et de fuite devant les questions auxquelles une réponse sérieuse ferait avancer la discussion finit par devenir un peu pénible.
(1) Je lui avais effectivement conseillé de consulter les travaux de Mayeul Arminjon il y a une quinzaine d'années, à une époque où je voulais à tout prix que la fonction d'onde "d'une chaise" soit la représentation physique, objective, "d'une chaise" indépendamment de toute considération de d'observateur.
En raison de l'effet EPR, cette position philosophique réaliste nécessite d'introduire un référentiel quantique privilégié violant l'invariance de Lorentz au niveau interprétatif. Cela nécessite donc de se placer dans le cadre de l'interprétation lorentzienne de la Relativité Restreinte (cela ne change toutefois pas d'un iota les mathématiques et la physique associées à la prédiction des faits d'observation sur lesquels repose la Relativité Restreinte, mais ouvre la possibilité, sans conflit avec ces faits d'observation, de violations, un peu cachées, d'invariance de Lorentz. cf
Special Relativity and possible Lorentz violations consistently coexist in Aristotle space-time. Pas sur d'ailleurs que j'ai totalement accepté l'hypothèse actuellement la mieux acceptée : celle d'une interprétation purement épistémique du vecteur d'état).