Relis-toi!LoutredeMer a écrit : 13 mars 2018, 22:25Oui et alors? Quel rapport avec ce que j'ai dit?Kraepelin a écrit : 13 mars 2018, 20:22 Non, c'est le témoin d'un courant social indépendamment de son mérite. La popularité n'est pas un indice de vérité. Le sophisme ad populum dénonce cette fausse impression. Un courant populaire peut-être un courant légitime. L'histoire nous montre qu'il peut aussi être parfaitement démagogique.
Quelle blague! Des femmes qui dénoncent des viols ou des tentatives de viols il y en as eu d'aussi loin que remontent les archives humaines. Même dans l'Ancien Testament c'est un sujet explicite.LoutredeMer a écrit : 13 mars 2018, 22:25 Ce que j'explique plus haut, c'est que les femmes qui doivent se taire depuis 2000 ans ont enfin l'occasion, les moyens et la liberté de parler donc elles le font.
Justement, tu as dit «a priori»LoutredeMer a écrit : 13 mars 2018, 22:25J'ai dit "à priori".Les victimes prétendu deviendraient plus crédibles que les agresseurs allégués? Ou mieux, les témoignages de femmes devraient être plus crédibles que les témoignages d'hommes?


Non! Jamais! «A priori» aucun témoignage n'est plus crédible qu'un autre. C'est à posteriori et au mérite (et seulement au mérite) que les témoignages sont plus ou moins crédibles.LoutredeMer a écrit : 13 mars 2018, 22:25 Oui, une victime de quoi que ce soit est à priori plus crédible qu'un agresseur.
LoutredeMer a écrit : 13 mars 2018, 22:25 Un rapport d'agression sur soi (je n'ai pas le mot exact) n'est pas un témoignage (quelqu'un l'a déjà dit ici).

S'il n'y avait que toi. Ici c'est l'épidémie. La connerie est devenue école et elle fait sensation. Avec les hystériques qui font maintenant les lois au Québec et au Canada, il me faudrait un bassin personnel. T'as pas entendu parler de la connerie de Justin Trudeau. Imagine le niveau de pénétration idéologique nécessaire pour en arriver à faire dire de pareilles connerie à un premier Ministre.LoutredeMer a écrit : 13 mars 2018, 22:25Kraepinou, tu n'as jamais essayé le ski nautique? C'est génial, ça détend.Qu'elle épouvantable manifestation de démagogie misandrique!
C'est ce genre de raisonnement qui me fout l'angoisse!
Je devine pourquoi certaines circonstances commandent une évaluation psychiatrique de la victime alléguée. C'est elle qui vient à la police dire qu'elle a été victime. S'il n'y a pas de quitte médicale, pas d'autres témoignages ni d'autres preuves, un examen psychiatrique peut ajouter de l'information pertinente. L'agresseur allégué, lui, ne fait même pas partie de l'enquête à ce stade. Ce n'est que lorsqu'il y a une certaine présomption de vérité que l'agresseur allégué est questionné. Là parfois son état mental peut justifier un examen psychiatrique, mais les cas de figure sont beaucoup plus rares. Alors, non il n'y a pas de raisons de commander automatiquement un examen psychiatrique des agresseurs allégués. Imagines-tu combien de fois les hommes politiques et les célébrités sont accusés de ce genre choses? Tu voudrais un examen psychiatrique à chaque fois? Puffffff!LoutredeMer a écrit : 13 mars 2018, 22:25Pourquoi quoi? Sans preuves, on expertise psychiatriquement les victimes de viols mais pas leurs violeurs présumés?Kraepelin a écrit : LoutredeMer a écrit : ↑
13 mars 2018, 13:31
C'est à dire que s'il y a l'expertise psychiatrique sur la victime,( qui n'est pas systématique, mais sur ordre du juge!), cette enquete doit etre fortement justifiée, et qu'il doit y avoir enquete psychiatrique sur l'agresseur aussi.
Pourquoi?
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Tu te trouves vraiment drôle de toujours moquer les problèmes et stéréotypes qui accablent les autres? Alors c'est terrible lorsque les femmes en souffrent, mais risible si ce sont les hommes?LoutredeMer a écrit : 13 mars 2018, 22:25Maman, j'ai peur.Au contraire, c'est presque toujours le cas. La présomption de culpabilité et d'innocence est très fortement influencé par les stéréotypes sexistes misandriques hérités du passé et encore fortement alimenté par la propagande.
J'ai soumis des states des fausses allégations documentés par les polices parce qu'elles étaient le fait de fillettes pas trop futées. Les cas de femmes intelligentes qui parviennent à leurs fins ne peuvent pas, par nature, faire l'objet de statistiques.LoutredeMer a écrit : 13 mars 2018, 22:25Je pense qu'e tu as des stats officielles à nous soumettre ...Ainsi, si elle est une femme, une fausse victime un peu intelligente parvient facilement à exploiter ces préjugés pour détourner les enquêtes policières (ou administratives) et finir par faire arrêter et condamner un innocent.
Nirrais-tu que les stéréotypes accrochent au cou des hommes mis en accusation un panneau où est inscrit «coupable» dès qu'une accusation de méfait sexuel est allégué par une femme?