jean7 a écrit : 07 avr. 2018, 02:19N'existe-t-il pas un contexte encore plus large que toi tu ne verrais pas ? Tout le volet des plaignants par exemple ? Tu semble ignorer cette réalité.
Quels plaignants? On cherche encore des tiers qui ne sont pas anonymes et depuis quand l'offense est-il un crime, le fait de faire une blague offensante est un crime? C'est bien là que ta sale trogne d'autoritariste ressort, car selon ta même logique il suffirait que suffisamment de musulmans portent plaintes pour une caricature offensante de Mahomet pour que la condamnation pour crime de haine soit justifier. Le contexte plus large que tu mentionne ici ne vaut donc rien, pire c'est un pseudo-argument extrêmement dangereux, le même qui justifie le rétablissement du délit de blasphème si on venait à trop offenser certains membres de telle ou telle communauté religieuse. C'est d'ailleurs sur cela que compte de nombreux censeurs, l'usage de la pression par le nombre sur les autorité pour rétablir une censure et réellement détruire à petit feu la Liberté d'Expression. Le pire était que tu use de cette argument du nombre pour justifier que l'on condamne un humoriste sans aucune mauvaise intention et s'adonnant à une blague potache au même titre qu'un néonazi qui menacerait de s'en prendre physiquement aux juifs.
jean7 a écrit : 07 avr. 2018, 02:19Markus lui-même comprend qu'il a pu leur causer tort parce qu'il s'en excuse.
Ce qui rend la condamnation encore plus grave, il s'excuse simplement si sa blague a pu être mal prise, comme toi tu peux t'excuser si un jour tu fais une blague pouvant blesser des proches, pour autant jamais tu ne te considéreras pas coupable 'un crime, ni digne d'un tribunal, car offenser n'est pas un crime, ni même un délit en soit, l'humour offensant fait partie intégrante de l'humour. Bref nous avons là un type qui a fait une blague offensante et dont les excuses prouvent, si besoin est considérant l'ensemble du contexte sur lequel le malhonnête que tu es conchies, que le bonhomme n'avait aucune mauvaise intention. Mais pourtant on le condamne au même titre qu'un néonazi qui menacerait d'aller brûler des synagogue. Quand je dis que tu justifie un jugement malhonnête je pèse foutrement mes mots.
jean7 a écrit : 07 avr. 2018, 02:19Qu'il contiendrais ce type de propos.
encore une fois
comme le fameux spectacle d'Élie et Dieudonné qui me faisait déjà rire dans ma jeunesse.
«Ce que je comprends c’est qu’en 45 les Boches ils auraient pu finir le boulot Cohen»
[Le Public éclate de rire]
Spectacle contenant une série de propos haineux qui s'enchaînent les uns sur les autres et qui a chaque fois font éclater de rire le public, spectacle qui avait du succès. Spectacle qui selon les standards du maître censeur que tu es, devrait être interdit avec une condamnation des auteurs de la blagues qui propageraient donc la haine car le contexte et l'intention ne sont bien évidemment pas pertinent, la prestation contient des propos haineux c'est donc qu'elle propage la haine et qu'il faut la condamné. C'est bien là que toute ta position est puante soit de stupidité, soit pire d'une malhonnêteté ayant pour seule motivation un autoritarisme zélé visant à policer la parole.
jean7 a écrit : 07 avr. 2018, 02:19Qui contribuent à l'expliquer autrement que par un superbe "tous pourris".
Considérer le contexte et l'intention comme non pertinent dans une blague, c'est inacceptable et démontrer le caractère pourri de ce juge et de ceux qui soutiennent ce jugement je confirme.
jean7 a écrit : 07 avr. 2018, 02:19Ou un malhonête peut-être ?
Je confirme. Il faut être un gros malhonnête pour justifier pareil jugement et reanger cette prestation potache dans la même catégorie que celle d'un réel crime haineux.
jean7 a écrit : 07 avr. 2018, 02:19La lecture de l'explication wikipedia est nécessaire pour comprendre que "crime de haine" ne désigne pas des crimes perpétré par haine mais des crime en relation avec la haine. En tout cas, ce nom est extrêmement mal trouvé et tordu. En effet, la haine ne peut pas être un crime en soit.
Et pourtant le malhonnête que tu es soutient la condamnation, la justifie, car en fait toi ce n'est même pas la haine que tu trouves légitime de condamné mais simplement les propos offensants, ce qui est encore pire. Car voilà dans cette affaire le juge ne pouvait pas légalement condamné ces propos en raison de leur caractère offensant, légalement condamné une blague offensante ne pouvait passer. Il devait alors en toute malhonnêteté ignorer le contexte et l'intention de l'auteur qui alors a pu être condamné pour crime de haine, au même titre qu'un néonazi qui menacerait verbalement les juifs. L'aberration de ce jugement est donc flagrant. Mais le malhonnête que tu es se rend également bien compte que la condamnation pour haine ne tient pas, simplement ce jugement te satisfait même si malhonnête, car ce que tu souhaite c'est simplement l'interdiction des propos que tu juges offensant. Ce qui devait également être le cas du juge qui sait très probablement parfaitement en que le condamné ne s'est adonné a aucune menace haineuse et n'a jamais eu aucune intention haineuse, mais pour le condamné il fallait ignorer le contexte et l'intention pour le ranger dnas la même case que celle d'un néonazi appelant réellement à en découdre avec les juifs.
jean7 a écrit : 07 avr. 2018, 02:19J'espère pas.
Malhonnête, il a déjà été condamné pour crime de haine au même titre qu'un néonazi, la peine qu'il recevra, même si elle se limitait à une amende, ne changerait rien, c'est inscrit dans son casier, et le précédent est créer. Un humoriste peut se voir condamné pour crime pour ses propos, indépendamment du contexte et de l'intentions dans lesquels s'inscrivent ces derniers. Seul un imbécile ou un autoritariste ayant une conception à géométrie variable de la Liberté d'Expression peut souscrire à pareil jugement.