Nicolas78 a écrit : 26 août 2018, 03:49
Pour toi, "absolue" relève d'un truc quasi-methaphysique ?
Ce n'est pas : "pour moi", c'est une putain de définition.
tu m'es sympathique mais t'es parfois très fatiguant, je t’assures
Je te la remets ?
allez, je te la remets :
A.− [
Dans le domaine de la pensée relig. ou profane, de l'art, de l'expr. litt., etc.] Dont l'existence ou la réalisation ou la valeur est
indépendante de toute condition de temps, d'espace, de connaissance, etc
J'ai souligné le contexte d'utilisation. à la fin de ton message tu donnes une déf sans avoir regardé le contexte, forcément tu tombes à côté.
Nicolas78 a écrit : 26 août 2018, 03:49
Mais c'est un peut ce que dit Exa avec ces réalité de type III et I
Il n'y a qu'une réalité.
Nicolas78 a écrit : 26 août 2018, 03:49
La pluie dans un jeu vidéo est tout à fait réelle.
Non, on déjà eu cette discussion.
Réel oppose à imaginaire
réel s’oppose à illusoire
réel s'oppose à simulé.
Quand une femme simule, elle ne jouit pas réellement. (Garde cet exemple en tête pour t'en rappeler)
Ensuite, accepter que le monde est réel ca me parait obligatoire. Y croire ne l'est pas (obligatoire).
Tu vas me rendre dinguo...
Si tu acceptes des postulats ou des axiomes, tu les tiens nécessairement pour vrai, puisque ce sont eux tes références pour juger si une proposition est vraie ou pas.
Tenir pour vrai c'est croire.
Accepter qu'on existe c'est croire qu'on existe, c'est renoncer au doute quant à sa propre existence.
Nicolas78 a écrit : 26 août 2018, 03:49
En cela, Exa le partage aussi du coup.
Il dit pas que des conneries, son principal problème est de redéfinir mal des notions qui sont plutôt bien défini quand on respecte leur contexte d'utilisation.
Dans quel cadre cette vérité est inclue ?
L'épistémologie, le français, la cohérence.
vérité : ♦ [Dans une conception mod. de la log. et
en épistémol.] Rapport de non-contradiction entre une proposition et un ensemble de propositions servant de référence.
absolu : Dont l'existence ou la réalisation ou la valeur est
indépendante de toute condition de temps, d'espace, de connaissance, etc
Selon ces déf une vérité ne peut pas être absolue.
Si tu te réfères à d'autre déf, c'est pas mon affaire.
Je dis : il n'y a aucune vérité absolue, et ça veut dire il n'y a aucune proposition qui serait vraie en soi, sans se référer à d'autres propositions servant de référence.
Toute vérité est contextuelle.
Dans sa définition classiqe, l'absolu
Comme je le disais t'as pas tenu compte du contexte :
I. Adj. 1. Qui ne dépend que de soi ; souverain, sans limite et sans contrôle.
Pouvoir absolu. Monarchie absolue, par opposition à Monarchie constitutionnelle. Souverain, monarque absolu. Maître absolu. Le caractère absolu de la puissance divine
Si tu avais poussé plus loin tu aurais lu
PHIL. Qui ne comporte,
qui n'admet aucune condition. Nécessité absolue.
Les vérités absolues.
Le monde existe.
J'existe.
Ce que je dis à du sens.
Sont 3 conditions à accepter si on prétends dire quoi que ce soit de censé.
Si t'avais pousser encore plus loin
"
Ce qui ne dépend de rien, dont tout dépend
et qui porte en soi-même sa raison d'être"
Or une vérité, dnas le sens classique (revoit le texte de Kant) c'est un rapport entre le sujet, l'objet et le discours.
Il ne peut pas y avoir de vérité en soi, c'est l'homme qui déclare que telle proposition est vrai ou fausse.
Pour finir je te conseille à nouveau très vivement de toujours penser au contexte dans lequel on parle et d'avoir en tête le ou les termes qui oppose à celui qui fait débat.
Absolu s'oppose à relatif.
Est absolu ce qui est indépendant
Est relatif ce qui dépend d'autre chose