C’est trop général. Quel crime ? Quel délit ?viddal26 a écrit : 16 sept. 2018, 18:25 Pourquoi tu parles de taper sur la gueule ? Je parle d'expulser les criminels et les délinquants qui sont parmi les immigrés.
Un réfugié économique ne risque pas non plus la mort en n’ayant rien à bouffer ?Je fais la distinction car on ne peut pas renvoyer chez eux des gens qui y risquent la mort.
Parce qu’eux aussi sont des gens qui vont gagner leur croûte dans un autre pays. Ils sont donc, techniquement des migrants économiques mais pour le coup, pas des réfugiés.Je ne vois pas le rapport avec les frontaliers français en Suisse.
S’il avait eu tout de suite de quoi bouffer et un peu de considération, aurait-il volé, escroqué, agressé, violé ? Probablement pas.Doit-on accepter qu'un migrant, vole ou viole, ou escroque, ou agresse etc ?
C’est facile de dire que les réfugiés volent si on ne leur laisse aucun moyen de subvenir à leurs besoins vitaux.
OK sauf quand on lui interdit la présence sur le sol français parce qu’on a fait ce qu’il fallait pour refuser son dossier pour de bêtes raisons administratives. Il devient délinquant du seul fait de sa présence.
Et toi migrant.Je vois bien que tu veux absolument placer le mot réfugié

Ha bon.

Ce n’est même pas un appel à l’émotion mais à un minimum d’humanité, ce dont tu sembles manquer.
Qui a dit qu’ils sont illégaux ? Des textes de loi fait exprès pour les emmerder un maximum donc l’appel à la loi…Renvoyer des migrants illégaux ou refuser des migrants économiques ce n'est pas être inhumain mais pragmatique car il y a aussi une affaire de limite et à partir du moment qu'on sait qu'une large part des migrants ne pourront pas être intégrés correctement, il est normal de ne plus en laisser rentrer.

Et donc tu es pour les laisser crever la dalle la gueule ouverte.Ca n'a aucun sens s'il s'agit de réfugiés, car on abandonne pas femmes et enfants derrière soit. La réponse est simple il s'agit de migrants économique, ce que confirme le lien que je t'ai donné. Et non les pays européen n'ont aucune obligation à les accepter.
Haaa, on y vient : « incompatibilités culturelles profondes » et il n’y a pas de dimension raciale ? Noooon, sans déconner ?Tu pars en vrille en attribuant très malhonnêtement une dimension raciale à mes propos, je te pris de t'abstenir. Non la situation n'est pas comparable, prend le cas des frontaliers en Suisse, ils ne sont même pas migrants. Plus généralement on ne parle pas dans l'écrasante majorité de cas de migrations massives avec incompatibilités culturelles profondes. Bref tu réponds à côté.