Exaptator a écrit : 23 sept. 2018, 17:32le NIST lui-même à reconnu plus tard qu'il y avait eu chute libre.
Ou bien des instants de chute libre ?
Exaptator a écrit : 23 sept. 2018, 17:32
jean7 a écrit : 22 sept. 2018, 02:45
- résolution de la caméra
Pas nécessaire, puisqu'on voit les fenêtres.
il faut détecter leur mise en mouvement et détecter la variation de leur position.
Exaptator a écrit : 23 sept. 2018, 17:32Pour le début exact on doit deviner, mais ça se joue vraiment à environ 5 centièmes de seconde.
Je veux bien, mais pourquoi ?
Comment a été évaluée cette valeur ?
Exaptator a écrit : 23 sept. 2018, 17:32
jean7 a écrit : 22 sept. 2018, 02:45
- dimensions du capteur
- focale de l'objectif
Non. Là tu chipotes.
Je ne sais pas si ce sont vraiment des détails sans importance. La distorsion géométrique due à l'objectif fausse-t-elle pas l'évaluation des distances en fonction de la position dans la zone cadrée ? Selon l'éloignement et l'angle de visée, ce serait "a priori" négligeable ? Pas besoin de le vérifier ? (si je ne m'abuse on parle d'utiliser une caméra de surveillance comme outil de mesure pour affirmer la valeur et la régularité de l'accélération... Ce vaut le coup de vérifier, non ?)
Exaptator a écrit : 23 sept. 2018, 17:32
jean7 a écrit : 22 sept. 2018, 02:45
- distance projetée horizontale caméra-verticale du point de repère
- distance projetée verticale caméra-verticale du point de repère
- trajectoire projetée sur un plan horizontal du point de repère pendant ces 2s
Non, si tu avais lu ses explications et les miennes tu aurais compris que ça ne joue pas. Il ne se base que sur les étages que l'on peut compter et un point de repère fixe (un coin de toit de bâtiment devant la tour. La caméra n'a pas bougée.
J'ai bien compris. Ligne de départ, ligne d'arrivée.
Mais pour connaitre la précision de ce qu'on fait en traçant ces lignes virtuelles il faut connaitre les éléments dont je parle.
Sinon, on fait des mesures sur un modèle sans l'avoir adossé à l'enregistrement.
Surtout si la chute n'est pas parfaitement verticale.
Exaptator a écrit : 20 sept. 2018, 22:38Si l'analyse de Chandler est correcte, cela signifie que les soutiens du bâtiment n'offraient plus la moindre résistance à sa chute sur 8 étages.
Ou bien une résistance moindre que celle qui aurait été nécessaire pour qu'on puisse observer la perte d'accélération induite ?
Sachant que ce que l'on observe est encore loin de l'interface d'écrasement.
(Pour un train percutant un autre en face à face, il existe un nombre de wagon à partir duquel l'effet de l'accident sera parfaitement indiscernable d'un arrêt normal.)
Exaptator a écrit : 23 sept. 2018, 17:32Dernière remarque : l'uniformité de cette accélération pendant ce temps reste dans tous les cas incontestable.
Ben ça dépend.
Si tu parle de la lecture d'une courbe dans un rapport, en effet, je comprend.
Si tu prend le problème un chouia en amont : comment mesurer sur une vidéo la position en fonction du temps avec une précision suffisante pour estimer l'uniformité de l'accélération, c'est, il me semble, beaucoup moins évident.
Exaptator a écrit : 23 sept. 2018, 17:32 Elle suffit avec la symétrie de l'effondrement observé pour conclure.
Et sur quoi il se base pour affirmer la symétrie ?
- La tour a été endommagée de façon non symétrique.
- le pan de façade indemne de tout écrasement ou de chute peut-il être expliqué dans un effondrement vertical symétrique du bâtiment ?