richard a écrit : 15 févr. 2019, 11:10Tout observateur doit pouvoir disposer de lois adéquates sans se préoccuper du déroulement du temps dans un référentiel différent du sien.
Tout à fait. C'est d'ailleurs là le principe de relativité du mouvement.
Mathématiquement, dans un espace-temps où toutes les interactions se propagent, au maximum, à une même vitesse maximale c, cette invariance des lois de la physique lors d'un changement de référentiel inertiel s'exprime mathématiquement sous la forme des transformations dites de Lorentz
Les transformations de Galilée en sont le cas limite. Elles correspondent aux transformations de Lorentz dans le cas d'une vitesse limite de propagation d'Mbappés hypervéloces capables d'atteindre une vitesse de propagation c = +00 (1).
En effet, en posant v/c = th(phi) , les transformations de Lorentz s'écrivent :
x = x' ch(phi)) + ct' sh(phi)
ct = x' sh(phi) + ct' ch(phi)
Quand C --> +00, sh(phi) et phi = v/c --> 0 et donc
c sh(phi) --> c phi = v
ch(phi) --> 1 si bien que
x = x' ch(phi) + ct' sh(phi) --> x' + v t'
ct = x' sh(phi) + ct' ch(phi) --> ct'
Ce résultat mathématique plus l'invariance de Lorentz de l'équation de propagation des ondes lumineuses, montre que ????
????? Eurêka ! Les scientifiques se sont tous trompés !!
La vitesse de la lumière est forcément infinie puisque la simultanéité est absolue et que les bonnes transformations sont
les transformations de Galilée. En partant de ces transformations, que l'on sait vraies
pour cause d'intime conviction découlant de l'absence de doute raisonnable (une preuve faute de doute donc), on peut en effet établir mathématiquement que la vitesse maximale de propagation des interactions (dont celle de la lumière) est infinie.
(1) C'est effet grâce à leur hypervélocité
infinie que deux rayons Mbappiens, partant ensemble en même temps du milieu du train et courant avec leurs petites jambes hypervéloces
sur le quai de la gare atteignent l'avant et l'arrière du train en même temps (au lieu que soit atteint
d'abord l'arrière du train allant à la rencontre de l'Mbappé courant vers lui et
ensuite seulement l'avant cherchant au contraire à s'enfuir d'un Mbappé cherchant à l'atteindre en courant, le pôvre, à la vitesse maximale autorisée par de dogmatiques scientifiques.
Ces méchants scientifiques ont en effet interdit, de façon autoritaire et parfaitement anti-démocratique, le dépassement de cette vitesse maximale pour limiter, paraît-il, le nombre d'accidents de fusée).
Il s'agit là clairement d'une violation éhontée et scandaleuse du principe de simultanéité absolue de richard. L'opinion publique devrait se lever pour dénoncer avec vigueur cette violation des bases démocratiques de la recherche scientifique par des scientifiques éloignés de réalités bien comprises par les hommes de terrain (dotés, au contraire d'un solide bon sens), comme la réalité objective de l'évident, donc incontestable, caractère absolu de la simultanéité.