La libération des femmes par le droit à la grossièreté et par le droit de tuer
La libération des femmes par le droit à la grossièreté et par le droit de tuer
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Ça date de quelques années, mais ça montre bien la tendance à une libération inattendue de la femme face au monde.
Giedré, une franco-lituanienne dont je suis très amoureux depuis un bon moment et qui fait partie du vrai bataillon de la vraie libération de la brutalité des hommes qui n'aiment pas les femmes et aussi de la gentillesse des femmes qui n'aiment pas les femmes elles non plus ...
Toutes des putes
Nième degré, Ho !
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Ça date de quelques années, mais ça montre bien la tendance à une libération inattendue de la femme face au monde.
Giedré, une franco-lituanienne dont je suis très amoureux depuis un bon moment et qui fait partie du vrai bataillon de la vraie libération de la brutalité des hommes qui n'aiment pas les femmes et aussi de la gentillesse des femmes qui n'aiment pas les femmes elles non plus ...
Toutes des putes
Nième degré, Ho !
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Dernière modification par Mary Shostakov le 19 avr. 2019, 00:18, modifié 1 fois.
Re: La libération des femmes par le droit à la grossièreté
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Et, parallèlement au droit à la grossièreté, elles ont gagné aussi le droit de tuer du Taliban en Afghanistan et du Djijadiste-par-l'épée en Syrie, les bougresses !

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Et, parallèlement au droit à la grossièreté, elles ont gagné aussi le droit de tuer du Taliban en Afghanistan et du Djijadiste-par-l'épée en Syrie, les bougresses !
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Re: La libération des femmes par le droit à la grossièreté
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Mais, par-delà la facette anecdotique du droit à la grossièreté et de celui de tuer que se sont attribué certaines femmes avec l'aide des hommes soucieux de leur libération, que se passe-t-il, au juste ?
Quelle est le fond le plus profond d'une telle libération ?
Et par rapport à qui, à quoi ?
Le tableau scientifiquement établi suivant peut permettre de commencer à avoir une idée précise de tout ça

Voit-on bien la contrainte véritable imposée à toutes les femmes ?
Voit-on bien la contrainte dont certaines femmes se sont libérées, justement ?
Voit-on la contrainte imposée à toutes les femmes par la Nature elle-même, par la Nature amorale rendue sans le vouloir complice des exploiteurs de misères humaines, de misères féminines, plus particulièrement ?
La voit-on, ou faut-il que ce soit l'imbécile que je suis aux yeux du Pape et d'Allah qui la montre telle qu'elle est ?
(Je pose ainsi la question car un peu de cabotinage n'a jamais fait de mal à personne)
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Mais, par-delà la facette anecdotique du droit à la grossièreté et de celui de tuer que se sont attribué certaines femmes avec l'aide des hommes soucieux de leur libération, que se passe-t-il, au juste ?
Quelle est le fond le plus profond d'une telle libération ?
Et par rapport à qui, à quoi ?
Le tableau scientifiquement établi suivant peut permettre de commencer à avoir une idée précise de tout ça

Voit-on bien la contrainte véritable imposée à toutes les femmes ?
Voit-on bien la contrainte dont certaines femmes se sont libérées, justement ?
Voit-on la contrainte imposée à toutes les femmes par la Nature elle-même, par la Nature amorale rendue sans le vouloir complice des exploiteurs de misères humaines, de misères féminines, plus particulièrement ?
La voit-on, ou faut-il que ce soit l'imbécile que je suis aux yeux du Pape et d'Allah qui la montre telle qu'elle est ?
(Je pose ainsi la question car un peu de cabotinage n'a jamais fait de mal à personne)
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Re: La libération des femmes par le droit à la grossièreté
J'aime bien le droit à la grossièreté, c'est vrai qu'a travers une certaine vision de la culture et de l'histoire (qu'on nous sert à la télé principalement, a tort ou a raison je ne sais pas), il semblais moins acceptable qu'une femme sois libre et grossière qu'un homme. Mais, je me demande si c’était pas surtout une question de classe sociale ?
A une époque (avant et 19/20eme disons) les femmes dans les milieux de la haute bourgeoisie semblais plus servir d'image de richesse et d'incubateur à bébés des l'age de 20 ans, voir moins, qu'autre chose. Mais quand-était t'il des milieux les plus défavorisés de cette époque ou la tache de représentation d'un "savoir vivre" était absente ? N'avait t'elles pas plus de liberté langagière ?
Désormais (de nos jours), a cette age la, bcp plus de femmes issues des milieux les plus riches vont faire la teuf, boivent, voyagent et copulent, se "libèrent" (parfois en passant même dans des milieux moins bien lotis), avant de se "caser" (ou pas même).
A une époque, ce genre de parcours était bcp plus difficile il me semble, surtout dans des milieux ou l'image de la famille et de la richesse était un "art de vivre" (liberticide en fait). Mais je ne m'y connait pas.
Et du coup, je me demande si c’était pas autant liée au milieu sociale qu'a l'identité sexuelle. Plus probablement les deux ?
A une époque (avant et 19/20eme disons) les femmes dans les milieux de la haute bourgeoisie semblais plus servir d'image de richesse et d'incubateur à bébés des l'age de 20 ans, voir moins, qu'autre chose. Mais quand-était t'il des milieux les plus défavorisés de cette époque ou la tache de représentation d'un "savoir vivre" était absente ? N'avait t'elles pas plus de liberté langagière ?
Désormais (de nos jours), a cette age la, bcp plus de femmes issues des milieux les plus riches vont faire la teuf, boivent, voyagent et copulent, se "libèrent" (parfois en passant même dans des milieux moins bien lotis), avant de se "caser" (ou pas même).
A une époque, ce genre de parcours était bcp plus difficile il me semble, surtout dans des milieux ou l'image de la famille et de la richesse était un "art de vivre" (liberticide en fait). Mais je ne m'y connait pas.
Et du coup, je me demande si c’était pas autant liée au milieu sociale qu'a l'identité sexuelle. Plus probablement les deux ?
Dernière modification par Nicolas78 le 18 avr. 2019, 22:17, modifié 1 fois.
Re: La libération des femmes par le droit à la grossièreté
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Juste une question, Nicolas :
As-tu vu, voire regardé et analysé le graphique placé plus haut ?
(en bleu clair le salaire des hommes, en bleu foncé celui des femmes)
(dans six pays riches)
(avant la naissance de leur premier enfant, les femmes gagnent autant d'argent que les hommes)
(après cette naissance elles en gagnent beaucoup moins)
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Juste une question, Nicolas :
As-tu vu, voire regardé et analysé le graphique placé plus haut ?
(en bleu clair le salaire des hommes, en bleu foncé celui des femmes)
(dans six pays riches)
(avant la naissance de leur premier enfant, les femmes gagnent autant d'argent que les hommes)
(après cette naissance elles en gagnent beaucoup moins)
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Re: La libération des femmes par le droit à la grossièreté
Oui, mais je me suis intéressé à ton premier post uniquement. Et la vidéo qui va avecMary Shostakov a écrit : 18 avr. 2019, 22:13 .
Juste une question, Nicolas :
As-tu vu, voire regardé et analysé le graphique placé plus haut ?
(en bleu clair le salaire des hommes, en bleu foncé celui des femmes) (dans six pays riches)
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Ces histoires de graphiques, je ne comprend pas bien le but.
Pour moi, le sexisme et la libération et égalité des femmes c'est avant tout un problème de culture. Pourquoi ne pas voir des femmes comme des déesses grâce à ce POUVOIR de la Nature ? Les hommes devant charbonner sous leurs volonté ?
En disant cela :
Tu vois certaines choses comme des contraintes...alors que c'est surtout la culture qui te fait voir cela ainsi.Voit-on la contrainte imposée à toutes les femmes par la Nature elle-même
Si il s'agit d'une contrainte réelle que je ne nie pas (porter un enfant n'est pas tjr facile, l'accouchement j'en parle pas, et après...), cette contrainte pourrait très bien devenir une source de respect et d'adulation, voir de pouvoir, pour les femmes...
Fut une époque et dans certaines régions, les êtres les plus adulés était bien les femmes, porteuse d'enfant...
Ce que je veut dire, c'est que la question culturelle, tu l'a défonce, alors qu'elle me parait importante aussi.
Mais d'un point de vue "naturaliste"

Amha, il faut étudier tout cela avec toutes les optiques possibles. Ne pas être timide.
La culture en fait nécessairement partie, de ce problème, autant que les attributs naturels et les différences naturelles (physique et "fonctionnelle") entre hommes et femmes.
Pourquoi cette question ?
Re: La libération des femmes par le droit à la grossièreté
Parce que ce n'est justement pas la culture qui permet de libérer la femme, mais l'indépendance financière.
Les femmes vraiment libérées n'ont pas d'enfant.
«Ni rire, ni pleurer, mais comprendre»
Spinoza
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Re: La libération des femmes par le droit à la grossièreté
@Mary
Vous pensez qu'être asservi par la marchandise, travailler 40 ans pour être logé dans des logements de fonctions ( être proche de son esclavagiste ) est une liberté ?
Vous pensez sincèrement que c'est une évolution pour les femmes, d'un point de vue patronal ? Ou plutôt serait-ce une énième ruse du capital pour exploiter encore davantage ?
Les révolutionnaires, les "vraies féministes", n'ont jamais revendiqués le droit à l'esclavage moderne.
Ni les humains d'ailleurs.
Vous pensez qu'être asservi par la marchandise, travailler 40 ans pour être logé dans des logements de fonctions ( être proche de son esclavagiste ) est une liberté ?

Vous pensez sincèrement que c'est une évolution pour les femmes, d'un point de vue patronal ? Ou plutôt serait-ce une énième ruse du capital pour exploiter encore davantage ?
Les révolutionnaires, les "vraies féministes", n'ont jamais revendiqués le droit à l'esclavage moderne.
Ni les humains d'ailleurs.
« Il faut choisir entre le champagne pour quelques-uns et l'eau potable pour tous » -Thomas Sankara-
- Kant Locke
- Messages : 542
- Inscription : 23 nov. 2017, 18:36
Re: La libération des femmes par le droit à la grossièreté
Curieux, relis ce qu'écrit Mary. MerciCurieux_ a écrit : 19 avr. 2019, 00:56 Les révolutionnaires, les "vraies féministes", n'ont jamais revendiqués le droit à l'esclavage moderne.
Ni les humains d'ailleurs.
Comment puis-je être libre ? Libre de quoi ?
Re: La libération des femmes par le droit à la grossièreté
Il me parlait d'indépendance financière qui serait garant de liberté.Kant Locke a écrit : 19 avr. 2019, 01:17Curieux, relis ce qu'écrit Mary. MerciCurieux_ a écrit : 19 avr. 2019, 00:56 Les révolutionnaires, les "vraies féministes", n'ont jamais revendiqués le droit à l'esclavage moderne.
Ni les humains d'ailleurs.
J'ai pas besoin de relire le reste

« Il faut choisir entre le champagne pour quelques-uns et l'eau potable pour tous » -Thomas Sankara-
Re: La libération des femmes par le droit à la grossièreté
Curieux_ a écrit : 19 avr. 2019, 00:56 @Mary
Vous pensez qu'être asservi par la marchandise, travailler 40 ans pour être logé dans des logements de fonctions ( être proche de son esclavagiste ) est une liberté ?![]()
Vous pensez sincèrement que c'est une évolution pour les femmes, d'un point de vue patronal ? Ou plutôt serait-ce une énième ruse du capital pour exploiter encore davantage ?
Les révolutionnaires, les "vraies féministes", n'ont jamais revendiqués le droit à l'esclavage moderne.
Ni les humains d'ailleurs.
«Ni rire, ni pleurer, mais comprendre»
Spinoza
Le patron, aujourd'hui, ça peut être une femme qui ne se précipitera pas sur l'acquisition du dernier yacht de luxe pour se taper le plus d'hommes possible ...
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Re: La libération des femmes par le droit à la grossièreté et par le droit de tuer
« Il faut choisir entre le champagne pour quelques-uns et l'eau potable pour tous » -Thomas Sankara-
Re: La libération des femmes par le droit à la grossièreté et par le droit de tuer
Une femme peut être libre de dire des insultes, sortir, voyager, avoir une sexualité et faire ce qu'elle veut ou presque mais aussi dépendre financièrement de quelqu'un...Mary Shostakov a écrit : 18 avr. 2019, 22:57
Parce que ce n'est justement pas la culture qui permet de libérer la femme, mais l'indépendance financière.
Les femmes vraiment libérées n'ont pas d'enfant.
«Ni rire, ni pleurer, mais comprendre»
Spinoza
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Mais pour plus de liberté, elle doit l’être (indépendante financièrement), mais comme un homme en fait...Un homme qui dépend de ses parents, de sa copine, d'amis, etc, n'est pas totalement libre...
Ou alors, choisir de ne pas avoir de "finance", se libérer du travail et vivre en nomade ou en vagabond...L'homme libre ne travail pas, tien...
Avant de parler de liberté en des termes aussi concis (thune/enfant et point barre...), il faudrait définir ce qu'est la liberté. Avant.
J'irais même plus loin, pour l'avoir expérimenté, quand je me suis retrouvé avec des responsabilités envers un enfant (et une femme sans emplois), je me suis sentit moins libre (mais alors, bcp moins...). Moins libre de changer de travail, moins libre de sortir, moins libre de prendre des risques professionnels, moins libre de dire des insultes, de dépenser mon propre salaire, etc

L'homme libre n'a pas d'enfant aussi...
Les femmes qui ont des enfants sont encore moins libres que les hommes a cause des responsabilités qui vont avec le rôle que notre culture leurs donne.
Sauf qu'ont peut imaginer un pays ou les femmes ayant des enfants toucherait des salaires plus fort que les femmes sans enfants (et les hommes), parce-que ce pays considérerait la maternité comme "sacrée" pour l'avenir du pays.
Ce qui est légèrement le cas dans certains pays, ou la naissance fait toucher des aides sociales (et ce ne fut pas tjr le cas) et des droits (pour les femmes entre autres). Mais actuellement ces aides profitent normalement a l’ensemble de la famille. Et dans le cas d'une mère isolée les aides financières lui reviennent à elle seule, même si ça ne suffit pas toujours.
La ou tu à raison, c'est que la femme prend généralement la majorité des soins de l'enfant en bas age pendant que l'homme travail (ou est partis

Cela pose des problèmes. Notamment ceux qui tu dénonce. Et je ne rejette pas ces choses. Elles me paraissent réalistes.
C'est en partie naturel dans le sens ou la femme porte l'enfant 9 mois, accouche, et l’allaite, et par ce biais créer un lien particulier avec l'enfant qu'un père n'a pas forcement au début. Mais c'est aussi culturel dans le sens ou la société pourrait reconnaître encore plus cette tache primordiale qui est l’éducation d'un enfant et le soin maternelle, et totalement aplanir les différences de salaires par des aides plus fortes ou des salaires plus élevés aux taux horaire pour les femmes.
Pour en revenir à la liberté de la femme dans sont ensemble, sans parler d'enfant, il y à des peuples qui donnent bcp plus de pouvoirs aux femmes qu'on ne le pense selon les époques et les lieux. Une histoire d'époque et de lieu, qui prouve que la liberté et la condition de la femme est aussi une question culturelle. La femme aujourd’hui est plus libre qu'il y à 200 ans. A certaines époques lointaines, les femmes-mères était possiblement vues comme des déesses, elles était possiblement adorées, leurs rôle spirituel semblais important. Plus qu'après l'apparition du monothéisme et d'autres formes d'organisations sociales en tout cas...Les premières religions "proto-monothéistes" (comme le Judaïsme) on d'ailleurs partiellement héritées de ce passif (matrilinéaire).
Il existe aussi encore des sociétés matriarcales/matrilinéaires de nos jours (par exemple les Minangkabaus ou les Juchitáns), et certains animaux proches de l'humains sont organisés de manière "matriarcale" (des cousins à nous

Bref. Encore une foi, je ne crois pas en une explication purement naturelle ni purement culturelle, mais bien les deux.
Ce qui, en rien, n'entre en contradiction avec tes graphiques, que je ne remet pas en question ! Ils sont surement juste (quoi que, mais c'est pas la question) et ce que tu en dit l'est aussi, je trouve

Tu ne le pense pas non-plus ?
Dernière modification par Nicolas78 le 19 avr. 2019, 02:09, modifié 1 fois.
Re: La libération des femmes par le droit à la grossièreté et par le droit de tuer
La dépendance des femmes se trouve dans son utérus.
Aucune femme n'a été libérée de son utérus par le vote.
Les femmes vraiment libérées de toutes les contraintes sociales n'ont pas d'enfant, ce qui leur permet d'avoir une indépendance financière libératrice.
Libératrice de quoi ?
De la dépendance financière d'un mari porté statistiquement à lui manquer de respect, voire à la battre carrément ...
C'est un fait. .
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Ni rire, ni pleurer, mais comprendre
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Re: La libération des femmes par le droit à la grossièreté et par le droit de tuer
Nicolas78 a écrit : 19 avr. 2019, 01:56Une femme peut être libre de dire des insultes, sortir, voyager, faire ce qu'elle veut et dépendre financièrement de quelqu'un.Mary Shostakov a écrit : 18 avr. 2019, 22:57Parce que ce n'est justement pas la culture qui permet de libérer la femme, mais l'indépendance financière.
Les femmes vraiment libérées n'ont pas d'enfant.
«Ni rire, ni pleurer, mais comprendre»
Spinoza
Je te mets au défi de trouver un nombre significatif d'hommes capables d'accepter sereinement que leur femme couche avec le premier venu sans être jaloux au point d'en venir au manque de respect suivi de coups et blessures.
Nicolas78 a écrit : 19 avr. 2019, 01:56 Un homme qui dépend de ses parents, de sa copine, d'amis, etc, n'est pas totalement libre...
Ou alors, choisir de ne pas avoir de "finance", se libérer du travail...L'homme libre ne travail pas, tien...
Du point de vue d'une considération philosophique de l'essence de la liberté en soi, c'est toujours au sein d'une prison que s'exerce la liberté de l'humain. Plus la prison est vaste, plus l'humain est libre ...
Mais d'un point de vue pragmatique, la liberté consiste à faire ce qu'on veut pendant les deux-tiers de sa journée, nous dit Nietzsche, qui d'après moi a raison.
Cela dit, le problème de l'asservissement de l'homme par rapport à celui de la femme, c'est qu'à partir de sa tendance naturellement agressive, il forme 98 % de la population des prisons, alors que la femme n'en constitue que 2 %.
Nicolas78 a écrit : 19 avr. 2019, 01:56 Je ne crois pas en une explication purement naturelle ou purement culturelle, mais bien les deux.
Ce qui, en rien, n'entre en contradiction avec tes graphiques, que je ne remet pas en question ! Ils sont surement juste et ce que tu en dit l'est aussiMais c'est la une perspective, parmi plusieurs, pour expliquer tout cela.
Tu ne le pense pas non-plus ?
Je ne met pas sur le même pied la nature et la culture, pour la bonne raison que la première précède la seconde.
C'est la lourdeur phénoménale de l'investissement de la femme voulu par la nature par rapport à l'enfantement, face à la légèreté phénoménale de l'investissement de l'homme voulu par la nature par rapport au même enfantement, c'est ça qui commande toutes les cultures concernant les rapports homme-femme.
Depuis la culture religieuse jusqu'à celle des démocraties, on trouve le même schéma d'asservissement de la femme par l'homme.
Mais depuis l'émergence des technosciences, ça a drôlement changé. À commencer par la libération de la femme grâce à la pilule anticonceptionnelle, et donc grâce à une libération par rapport à son utérus.
Aujourd'hui, grâce aux technosciences, une femme peut facilement exercer un métier réservé culturellement aux hommes par le fait-même que ces métiers n'exigent plus une force physique extraordinaire (gestion des affaires, informatique, édition littéraire, pilotage d'avions, ou de drone tueur, commerce international, traduction, chirurgie lourde, etc,). Les femmes exerçant ce genre de métier peuvent se considérer comme bien plus libres qu'avant, à condition d'éviter la maternité, auquel cas elles retombent dans leur servitude, par nature.
Tous ces phénomènes ont leur origine dans la génétique expliquant la sélection naturelle des espèces, sachant qu'on commence à se douter un peu que l'homme et la femme sont des espèces animales différentes jusque dans leur cerveau ! ... (étonnant, n'est-ce pas, d'un point de vue exclusivement culturel ...).
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Re: La libération des femmes par le droit à la grossièreté et par le droit de tuer
Sans être jaloux, non. Mais sans violence j'en connait 3, et optionnellement moi en plus (donc 4) dans le sens ou, à un moment de faiblesse, je la soupçonne d'avoir eu un coup de "crush" un jour et d’être passé à l'acte. Je n'en suis pas certain. Et je ne lui en ai jamais tenu rigueur ni demande insisté, et elle ne m'en à jamais parlé dans les détails (mais de quelques sentiments oui).Mary a écrit :Je te mets au défi de trouver un nombre significatif d'hommes capables d'accepter sereinement que leur femme couche avec le premier venu sans être jaloux au point d'en venir au manque de respect suivi de coups et blessures.
Et je suis pas le seul. Et d'autres sont bcp plus ouverts que tu ne le pense... (si je puis dire).
Et je vois pas le rapport, tu t’égare...
Moi je te met au défis de ne pas écrire de connerie plus grosse que toi dans ton prochain post...
Bha moi, je trouve que le travail est souvent une prison.Du point de vue d'une considération philosophique de l'essence de la liberté en soi, c'est toujours au sein d'une prison que s'exerce la liberté de l'humain. Plus la prison est vaste, plus l'humain est libre ...
On fait comment du coup pour avoir une indépendance financière la ?
Pourquoi projette-tu TA vision de la liberté sur toute l'humanité ?
Ce qu'aucune femme NI homme ne fait quand ils assument leurs responsabilités de parents...A moins de vivre en nantis. Ou en n’assumant pas (ce qui arrive surtout pour les hommes, chose qui est un problème que devrait mieux être pris en charge).Mais d'un point de vue pragmatique, la liberté consiste à faire ce qu'on veut pendant les deux-tiers de sa journée, nous dit Nietzsche, qui d'après moi a raison.
Ouaip, l'homme n'est pas comme la femme, naturellement.Cela dit, le problème de l'asservissement de l'homme par rapport à celui de la femme, c'est qu'à partir de sa tendance naturellement agressive, il forme 98 % de la population des prisons, alors que la femme n'en constitue que 2 %.
Ce qui ne répond en rien à mes questions sur la culture. Qui sont des faits, aussi...Aussi évident que les différences naturelles...
Ce qui est totalement un critère arbitraire...Je ne met pas sur le même pied la nature et la culture, pour la bonne raison que la première précède la seconde.
Non, pas toutes les cultures..C'est la lourdeur phénoménale de l'investissement de la femme voulu par la nature par rapport à l'enfantement, face à la légèreté phénoménale de l'investissement de l'homme voulu par la nature par rapport au même enfantement, c'est ça qui commande toutes les cultures concernant les rapports homme-femme.
Et pas en tout les lieux...Ni dans toutes les époques. Ni dans tout les couples.
Tes aussi radical qu'un communiste en fait toi...Pire, tes aussi radicale qu'un néolibérale (les cocos c'est passé de mode)

Pas partout non. Mais globalement oui, on peu imaginer pleins de raisons à cela, notamment la façon d'ont la culture Chrétienne et Musulmane ont dominés une bonne partie du monde par la guerre, mais aussi pour d'autres raisons...j'en ai parlé dans mon post précédent. Mais tu n'en tien pas compte.Depuis la culture religieuse jusqu'à celle des démocraties, on trouve le même schéma d'asservissement de la femme par l'homme.
Non, certaines femmes aiment s'occuper d'enfants...Quitte à gagner moins...Aujourd'hui, grâce aux technosciences, une femme peut facilement exercer un métier réservé culturellement aux hommes par le fait-même que ces métiers n'exigent plus une force physique extraordinaire (gestion des affaires, informatique, édition littéraire, pilotage d'avions, ou de drone tueur, commerce international, traduction, chirurgie lourde, etc,). Les femmes exerçant ce genre de métier peuvent se considérer comme bien plus libres qu'avant, à condition d'éviter la maternité, auquel cas elles retombent dans leur servitude, par nature.
Et elles s'y sentent plus libres qu'au travail. D'autres non et elles préfèrent bosser, faire des études, et voila une liberté moderne garante de l'auto-éducation. On est AUSSI, d'accord. Bref, ya pas de parfait modèle...Mais des concessions, des nuances, des individus différents avec des visions de la vie différentes...
D'autres font des enfants pour avoir plus d'aides sociales et moins dépendre de leurs ex ou de leurs parents (ou juste pour avoir plus de thunes)...
Bref. Tes trop radical et donc trop dans l'arbitraire.
Le seul truc ou je suis d'accord avec toi, c'est que les mères devrait toucher autant qu'un homme qui garde sont rythme de travail toute sa vie. Et on est loin du compte !
Si il y à une chose d'ont je doute de moins en moins. C'est de tes tendances faussement scientifiques, et profondément politiques, peu claires appuyées par tes envolées lyrique sans nuances.Tous ces phénomènes ont leur origine dans la génétique expliquant la sélection naturelle des espèces, sachant qu'on commence à se douter un peu que l'homme et la femme sont des espèces animales différentes jusque dans leur cerveau ! ... (étonnant, n'est-ce pas, d'un point de vue exclusivement culturel ...).
Celui de faire passer toutes ces questions dans le seul spectre de la nature (avec un N majuscule), sans même la définir, et en utilisant des mots normatifs parfaitement sociaux...
Si ces différences naturelles d'ont tu parle on apportés des effets culturels, l'inverse (causalité inversée) peut aussi être valable.
Et l'histoire démontre que cette piste est tout aussi intéressante à étudier... Puisque la culture et l'histoire des femmes est loin d’être aussi uniforme que tu le sous-entend.
Dernière modification par Nicolas78 le 19 avr. 2019, 03:31, modifié 3 fois.
Re: La libération des femmes par le droit à la grossièreté et par le droit de tuer
Non content de tout expliquer sur quelques critères naturels (même si ils sont justes !), comme un bon ethico-pseudo-scientifique que tu semble être, tu ajoute en plus une notion de liberté financière discutable et normative. Puis tu te targue de tout expliquer par La Nature...C'est pas très clair.Mary a écrit :La dépendance des femmes se trouve dans son utérus.
Aucune femme n'a été libérée de son utérus par le vote.
Les femmes vraiment libérées de toutes les contraintes sociales n'ont pas d'enfant, ce qui leur permet d'avoir une indépendance financière libératrice.
Si la finance libère par rapport à celle des autres, le travail lui, souvent le seul garant de la finance dans nos société, ne libère pas tout le monde... Sauf a travailler dans un milieu qu'on choisis et qui nous passionne. Ce qui n'est pas le cas d'une majorité de gens sur Terre...

De plus, la "liberté financière" en prend un coup dans une société ou passer des IRM et faire des chimios indispensable pour la survie de certains coûte le prix de 50 ans de (bons) salaires...
Je ne dit pas que ça existe pas hein ...Je fait tout, personnellement, pour être financièrement le plus indépendant possible, et donc le plus libre possible ! Donc oui, tu à raison. Mais cela à un prix...Et c'est une autre partie de la liberté, ce prix...(pour moi en tout cas). Donc non, tu n'a pas que raison quand tu parle de "liberté" et de "contraintes sociales"...
Bref. Plus ça va, plus je pense que tu est trop radical pour être autre chose qu'une personne politisé qui avance un blouse blanche...
Je me rend compte, suite à ce post que je cite, que la seule chose qui à changée depuis 10 ans, c'est ton approche rhétorique, mais rien d'autre.
"La dépendance des femmes se trouve dans son utérus."
Désolé mesdames...Pour Mary, votre courage n'y est pour rien, vos choix assumés et réfléchies non-plus (vous êtes connes), votre amour pour vos enfants pareil et n'est QUE et seulement QUE une prison, pas une libération d'un travail qui donne du sens a la vie (vous êtes niaises)...Tout est une question de thunes et de mioche (et de niaises/connes)...Les femmes vraiment libérées de toutes les contraintes sociales n'ont pas d'enfant, ce qui leur permet d'avoir une indépendance financière libératrice.
Merci Mary de nous montrer la lumière. Grace à toi et ta vision, les femmes seront un jour Vraiment Libéré de Toutes les Contraintes Sociales. Amen.
Rien que ça...(mais pas les hommes, eux on s'en tape, ils on cas bosser et être libre car la liberté c'est forcement la sécurité financière [et je suis d'accord, c'est ça le pire !] et voila... [mais il manque des trucs la ? Non ? La liberté, ça peut aussi être un peu plus complexe, voir totalement en dehors de la fiance non ? ]...).
Ramen.
Puis avec ta logique radicale...Si les femmes arrêtent de faire des mioches, ta "dépendance financière" durera quoi...Un siècle grand max

Ha non merde ! La science proposera très vite des solutions pour faire des gamins sans que maman et papa soit absolument obligatoire (pour quelques générations cryogénisée surement). Reste plus qu'a faire accepter moralement et juridiquement, donc politiquement, que les gamins du futur soit pris en charge par des robots (ou des hommes. Pour la vengeance !).
Armée de psychopathes et de sociopathes en approche !

Ou extinction de l'espèce. Au choix. Enfin non. Au non-choix.
Re: La libération des femmes par le droit à la grossièreté et par le droit de tuer
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Je tInvite à découvrir par toi-même et par tous les moyens dont tu disposes les arguments scientifiques de tout ce que j'avance ici, mais avec cependant la volonté de ne plus m'amuser à discuter ici de considérations personnelles concernant ce que tu viens de lire sous ma plume.
Salut ! ...
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Je tInvite à découvrir par toi-même et par tous les moyens dont tu disposes les arguments scientifiques de tout ce que j'avance ici, mais avec cependant la volonté de ne plus m'amuser à discuter ici de considérations personnelles concernant ce que tu viens de lire sous ma plume.
Salut ! ...
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Re: La libération des femmes par le droit à la grossièreté et par le droit de tuer
Tu peu aussi vérifier tout ce que j'ai dit concernant les questions aussi bien naturelles que culturelle et sociales...
J'ai même donné des noms de peuples + ou - matriarcales/matrilinéaires pour t'aider. Des époques. etc.
En partant des données naturelles et culturelles, tu devrais retrouver la suite causale du patriarcat liberticide pour les femme. Mais, cette suite causale ne me parait pas aussi plate, sans nuance et rectiligne que tu ne le dit. De plus, ta position pour les femmes est intenable pour la survie de l'espèce humaine.
La société actuellement change pour permettre aux femmes de garder un peut mieux leurs indépendance avec des enfants, enfants qu'elles on la liberté de faire et d'aimer, et qui peu etre tout aussi liberateur qu'un emplois garant de l'indépendance financière.
Ta vision même de la liberté est très diminué.
Même si, quelque part, une forme de radicale est louable pour faire avancer les choses encore plus en faveur des femmes, car il le faut ! Justement pour qu'elles puisse avoir la liberté de travailler et d’être indépendante ET de faire des enfants si elles le souhaite.
Et si je suis pas d'accord avec ta vision étriquée des choses, je suis d'accord que sur ce point, il reste encore des progrès à faire !
Du moins dans les sociétés patriarcales qui sont majoritaires. Mais pas exclusives...(dans le temps, les époques, et même dans certains groupes sociaux ou même couples, puisque tout les couples ne sont pas aussi violent face à la liberté que tu ne le pense...).
Au passage, tu peu aussi prouver tout ce que tu dit scientifiquement ?
Genre, "Les femmes vraiment libérées de toutes les contraintes sociales n'ont pas d'enfant", et autres conneries ?
J'ai même donné des noms de peuples + ou - matriarcales/matrilinéaires pour t'aider. Des époques. etc.
En partant des données naturelles et culturelles, tu devrais retrouver la suite causale du patriarcat liberticide pour les femme. Mais, cette suite causale ne me parait pas aussi plate, sans nuance et rectiligne que tu ne le dit. De plus, ta position pour les femmes est intenable pour la survie de l'espèce humaine.
La société actuellement change pour permettre aux femmes de garder un peut mieux leurs indépendance avec des enfants, enfants qu'elles on la liberté de faire et d'aimer, et qui peu etre tout aussi liberateur qu'un emplois garant de l'indépendance financière.
Ta vision même de la liberté est très diminué.
Même si, quelque part, une forme de radicale est louable pour faire avancer les choses encore plus en faveur des femmes, car il le faut ! Justement pour qu'elles puisse avoir la liberté de travailler et d’être indépendante ET de faire des enfants si elles le souhaite.
Et si je suis pas d'accord avec ta vision étriquée des choses, je suis d'accord que sur ce point, il reste encore des progrès à faire !
Du moins dans les sociétés patriarcales qui sont majoritaires. Mais pas exclusives...(dans le temps, les époques, et même dans certains groupes sociaux ou même couples, puisque tout les couples ne sont pas aussi violent face à la liberté que tu ne le pense...).
Au passage, tu peu aussi prouver tout ce que tu dit scientifiquement ?
Genre, "Les femmes vraiment libérées de toutes les contraintes sociales n'ont pas d'enfant", et autres conneries ?
Re: La libération des femmes par le droit à la grossièreté et par le droit de tuer
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Je tInvite à découvrir par toi-même et par tous les moyens dont tu disposes les arguments scientifiques de tout ce que j'avance ici, mais avec cependant la volonté de ne plus m'amuser à discuter ici de considérations personnelles concernant ce que tu viens de lire sous ma plume.
Salut, mon p'tit vieux ! ...
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Nicolas78 a écrit : 19 avr. 2019, 03:12Sans être jaloux, non. Mais sans violence j'en connait 3, et optionnellement moi en plus (donc 4) dans le sens ou, à un moment de faiblesse, je la soupçonne d'avoir eu un coup de "crush" un jour et d’être passé à l'acte. Je n'en suis pas certain. Et je ne lui en ai jamais tenu rigueur ni demande insisté, et elle ne m'en à jamais parlé dans les détails (mais de quelques sentiments oui).Mary a écrit :Je te mets au défi de trouver un nombre significatif d'hommes capables d'accepter sereinement que leur femme couche avec le premier venu sans être jaloux au point d'en venir au manque de respect suivi de coups et blessures.
Et je suis pas le seul. Et d'autres sont bcp plus ouverts que tu ne le pense... (si je puis dire).
Et je vois pas le rapport, tu t’égare...
Moi je te met au défis de ne pas écrire de connerie plus grosse que toi dans ton prochain post...
Bha moi, je trouve que le travail est souvent une prison.Du point de vue d'une considération philosophique de l'essence de la liberté en soi, c'est toujours au sein d'une prison que s'exerce la liberté de l'humain. Plus la prison est vaste, plus l'humain est libre ...
On fait comment du coup pour avoir une indépendance financière la ?
Pourquoi projette-tu TA vision de la liberté sur toute l'humanité ?
Ce qu'aucune femme NI homme ne fait quand ils assument leurs responsabilités de parents...A moins de vivre en nantis. Ou en n’assumant pas (ce qui arrive surtout pour les hommes, chose qui est un problème que devrait mieux être pris en charge).Mais d'un point de vue pragmatique, la liberté consiste à faire ce qu'on veut pendant les deux-tiers de sa journée, nous dit Nietzsche, qui d'après moi a raison.
Ouaip, l'homme n'est pas comme la femme, naturellement.Cela dit, le problème de l'asservissement de l'homme par rapport à celui de la femme, c'est qu'à partir de sa tendance naturellement agressive, il forme 98 % de la population des prisons, alors que la femme n'en constitue que 2 %.
Ce qui ne répond en rien à mes questions sur la culture. Qui sont des faits, aussi...Aussi évident que les différences naturelles...
Ce qui est totalement un critère arbitraire...Je ne met pas sur le même pied la nature et la culture, pour la bonne raison que la première précède la seconde.
Non, pas toutes les cultures..C'est la lourdeur phénoménale de l'investissement de la femme voulu par la nature par rapport à l'enfantement, face à la légèreté phénoménale de l'investissement de l'homme voulu par la nature par rapport au même enfantement, c'est ça qui commande toutes les cultures concernant les rapports homme-femme.
Et pas en tout les lieux...Ni dans toutes les époques. Ni dans tout les couples.
Tes aussi radical qu'un communiste en fait toi...Pire, tes aussi radicale qu'un néolibérale (les cocos c'est passé de mode)![]()
Pas partout non. Mais globalement oui, on peu imaginer pleins de raisons à cela, notamment la façon d'ont la culture Chrétienne et Musulmane ont dominés une bonne partie du monde par la guerre, mais aussi pour d'autres raisons...j'en ai parlé dans mon post précédent. Mais tu n'en tien pas compte.Depuis la culture religieuse jusqu'à celle des démocraties, on trouve le même schéma d'asservissement de la femme par l'homme.
Non, certaines femmes aiment s'occuper d'enfants...Quitte à gagner moins...Aujourd'hui, grâce aux technosciences, une femme peut facilement exercer un métier réservé culturellement aux hommes par le fait-même que ces métiers n'exigent plus une force physique extraordinaire (gestion des affaires, informatique, édition littéraire, pilotage d'avions, ou de drone tueur, commerce international, traduction, chirurgie lourde, etc,). Les femmes exerçant ce genre de métier peuvent se considérer comme bien plus libres qu'avant, à condition d'éviter la maternité, auquel cas elles retombent dans leur servitude, par nature.
Et elles s'y sentent plus libres qu'au travail. D'autres non et elles préfèrent bosser, faire des études, et voila une liberté moderne garante de l'auto-éducation. On est AUSSI, d'accord. Bref, ya pas de parfait modèle...Mais des concessions, des nuances, des individus différents avec des visions de la vie différentes...
D'autres font des enfants pour avoir plus d'aides sociales et moins dépendre de leurs ex ou de leurs parents (ou juste pour avoir plus de thunes)...
Bref. Tes trop radical et donc trop dans l'arbitraire.
Le seul truc ou je suis d'accord avec toi, c'est que les mères devrait toucher autant qu'un homme qui garde sont rythme de travail toute sa vie. Et on est loin du compte !
Si il y à une chose d'ont je doute de moins en moins. C'est de tes tendances faussement scientifiques, et profondément politiques, peu claires appuyées par tes envolées lyrique sans nuances.Tous ces phénomènes ont leur origine dans la génétique expliquant la sélection naturelle des espèces, sachant qu'on commence à se douter un peu que l'homme et la femme sont des espèces animales différentes jusque dans leur cerveau ! ... (étonnant, n'est-ce pas, d'un point de vue exclusivement culturel ...).
Celui de faire passer toutes ces questions dans le seul spectre de la nature (avec un N majuscule), sans même la définir, et en utilisant des mots normatifs parfaitement sociaux...
Si ces différences naturelles d'ont tu parle on apportés des effets culturels, l'inverse (causalité inversée) peut aussi être valable.
Et l'histoire démontre que cette piste est tout aussi intéressante à étudier... Puisque la culture et l'histoire des femmes est loin d’être aussi uniforme que tu le sous-entend.
Je tInvite à découvrir par toi-même et par tous les moyens dont tu disposes les arguments scientifiques de tout ce que j'avance ici, mais avec cependant la volonté de ne plus m'amuser à discuter ici de considérations personnelles concernant ce que tu viens de lire sous ma plume.
Salut, mon p'tit vieux ! ...
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Re: La libération des femmes par le droit à la grossièreté et par le droit de tuer
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« Nicolas78, qui est actuellement dans votre liste d’utilisateurs ignorés, a publié ce message. »
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Re: La libération des femmes par le droit à la grossièreté et par le droit de tuer
Tant va la cruche à l'eau, qu'elle se casse !
Русский военный корабль, иди нахуй !


Re: La libération des femmes par le droit à la grossièreté et par le droit de tuer
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... tu ne parles pas de celle-là, j'espère ...
https://cdn2.img.sputniknews.com/images ... 473783.jpg
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Re: La libération des femmes par le droit à la grossièreté et par le droit de tuer
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Sur la question des violences conjugales dans la douce France :
«En moyenne, le nombre de femmes âgées de 18 à 75 ans qui au cours d’une année sont victimes de violences physique et/ou sexuelles commises par leur ancien ou actuel partenaire intime, est estimé à 219 000 femmes.
L’auteur de ces violences est le mari, concubin, pacsé, petit-ami ; ancien ou actuel ; cohabitant ou non.
3 femmes victimes sur 4 déclarent avoir subi des faits répétés
8 femmes victimes sur 10 déclarent avoir également été soumises à des atteintes psychologiques ou des agressions verbales.»
référence : https://stop-violences-femmes.gouv.fr/l ... r-les.html
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Sur la question des violences conjugales dans la douce France :
«En moyenne, le nombre de femmes âgées de 18 à 75 ans qui au cours d’une année sont victimes de violences physique et/ou sexuelles commises par leur ancien ou actuel partenaire intime, est estimé à 219 000 femmes.
L’auteur de ces violences est le mari, concubin, pacsé, petit-ami ; ancien ou actuel ; cohabitant ou non.
3 femmes victimes sur 4 déclarent avoir subi des faits répétés
8 femmes victimes sur 10 déclarent avoir également été soumises à des atteintes psychologiques ou des agressions verbales.»
référence : https://stop-violences-femmes.gouv.fr/l ... r-les.html
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Re: La libération des femmes par le droit à la grossièreté et par le droit de tuer
149 000 hommes ont été victimes de violences au sein de leur couple en 2012 et 2013, selon l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (qui s'appuie l'enquête de victimisation « cadre de vie et sécurité »).Mary Shostakov a écrit : 19 avr. 2019, 07:47 .
Sur la question des violences conjugales dans la douce France :
«En moyenne, le nombre de femmes âgées de 18 à 75 ans qui au cours d’une année sont victimes de violences physique et/ou sexuelles commises par leur ancien ou actuel partenaire intime, est estimé à 219 000 femmes.
L’auteur de ces violences est le mari, concubin, pacsé, petit-ami ; ancien ou actuel ; cohabitant ou non.
3 femmes victimes sur 4 déclarent avoir subi des faits répétés
8 femmes victimes sur 10 déclarent avoir également été soumises à des atteintes psychologiques ou des agressions verbales.»
référence : https://stop-violences-femmes.gouv.fr/l ... r-les.html
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On n'arrête pas le progrès.
« Il faut choisir entre le champagne pour quelques-uns et l'eau potable pour tous » -Thomas Sankara-
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